La toute première scène du tout premier acte !
Paolino et Carolina, en proie à un coup de foudre, se
sont mariés en secret depuis deux mois et, partagés
entre l'anxiété et le subterfuge, s’adorent sans
pouvoir s’appartenir, ce qui accroît leur tendresse
et leur ardeur. Paolino veut persuader son épouse
secrète à fuir, mais elle hésite, torturée par
mille douleurs. Autour des deux amants, gravite une
petite foule de personnages typiques de la comédie du
dix-huitième siècle : G...(+)
La toute première scène du tout premier acte !
Paolino et Carolina, en proie à un coup de foudre, se
sont mariés en secret depuis deux mois et, partagés
entre l'anxiété et le subterfuge, s’adorent sans
pouvoir s’appartenir, ce qui accroît leur tendresse
et leur ardeur. Paolino veut persuader son épouse
secrète à fuir, mais elle hésite, torturée par
mille douleurs. Autour des deux amants, gravite une
petite foule de personnages typiques de la comédie du
dix-huitième siècle : Geronimo, le père de Carolina,
sourd, marchand cupide et riche (il est le patron de
Paolino) ; le comte Robinson, riche prétendant anglais
; Elisetta, sœur aînée de Carolina, au tempérament
espiègle, ambitieuse, acerbe et maligne (et destinée
par son père à épouser le comte Robinson) ; la tante
Fidalma, riche veuve qui a investi son capital dans les
entreprises de son frère Geronimo, également prise
d’une passion dévorante pour le jeune Paolino.
L’intrigue s'embrouille agréablement : le comte
Robinson, qui, selon les plans de Paolino doit se
marier avec Elisetta, tombe amoureux de Carolina dès
qu’il la voit et l'autre ne veux pas le savoir.
Geronimo proteste, mais Robinson lui propose de
renoncer à la moitié de la dot s’il lui donne la
main de Carolina au lieu de celle d’Elisetta. La
colère d’Elisetta et les déclarations d'amour de
Fidalma à Paolino compliquent les choses encore plus,
et en conséquence, ils décident alors de s’enfuir.
Mais la fuite ne réussit pas, car tout est découvert,
mais heureusement, tout s'arrange dans une fin
heureuse.
(Wikipédia, qui explique sans doute mieux que je ne
l'aurais fait !)
Si vous désirez une traduction des paroles, si cela
vous intéresse, faites-le moi savoir et je prendrai le
temps de la publier ! ;)
Ecrit le 2015-08-12 par Alexis Chauvet Encore à
l'état de projet,
"Il Matrimonio
Segreto" pourrait
être le tout
premier opéra que je
compose. En effet, j'ai
voulu m'essayer au genre
de
l'opéra et
commencer par une
comédie, ou
"dramma giocoso" en
italien,
et
n'ayant pas de
librettiste à ma
disposition ^^, j'utilise
un livret d'opéra
existant qui n'est nul
autre qu'"Il
Matrimonio Segreto", le
Mariage Secret,
de Giovanni Bertati. Cet
opéra est rendu
célèbre par
Domenico Cimarosa
qui l'a composé en
1792. Je compose donc pour un
orchestre (2 flûtes, 2
hautbois, 2 clarinettes, 2
bassons, 2 cors, 2 trompettes,
timbales,
clavecin, violons 1&2,
alti, violoncelles &
contrebasses), et tente de
faire
un opéra "comme au
18ème-19ème"
;, c'est-à-dire
qu'en plus du style
musical, je compose
également des
récitatifs classiques,
d'où la
présence
du clavecin. Actuellement,
j'ai composé le
premier acte et commence tout
juste le second. Je mettrai
une vidéo sur Youtube
de l'opéra quand
je
l'aurai terminé.
Je ne peux vraiment pas vous
donner une fourchette de
dates auxquelles j'aurais
probablement fini pour la
raison que je ne veux
pas me presser, pour que je
puisse terminer
tranquillement, sans
pression, ce projet qui me
tient à coeur et qui,
je l'espère, vous
plaira
aussi :) En guise
d'avant-goût, je
vous mets un lien vers une de
mes
vidéos Youtube,
l'ouverture (pour piano
seulement) de mon opéra
! Ouverture pour piano
d'"Il Matrimonio
Segreto"