Parfois juste au-delà de l'horizon parfois sous nos pieds. C'est un pays insai...(+)
Parfois juste au-delà de l'horizon parfois sous nos pieds. C'est un pays insaisissable fait de crépuscule et de brume de chimères et lueurs un monde qui nous intrigue et nourrit notre imagination. Imaginez un cortège coloré de créatures et de personnages tout droit sortis des mythes ancestraux et légendes incroyables : magiciens et sorcières bouffons et jongleurs ménestrels et troubadours échassiers et monocyclistes lutins et gargouilles gnomes bruyants et farfadets riants dragons géants et fées volantes carrosses rutilants tirés par des licornes caracolantes tous se dirigent vers le château de Merlin l?Enchanteur.La musique est à l?image du scénario imaginé par lecompositeur : originale et lumineuse pour mieux nous livrer les secrets des couleurs médiévales. La percussion ouvre le cortège puis vient le temps de l?exposition des thèmes avant de les unir dans un subtil mélange aux couleurs de plus en plus intenses jusqu?au tableau final : l?entrée au château du devin et magicien Merlin.
Il est regrettable de constater que le compositeur français Jean-Philippe Ramea...(+)
Il est regrettable de constater que le compositeur français Jean-Philippe Rameau (1683-1764) est essentiellement reconnu de nos jours comme un influent théoricien de la musique. Pourtant il fut considéré en son siècle comme un grand compositeur au style harmonique et mélodique très novateur.En 1725 suite à la venue à Paris de deux Indiens de La Louisiane Rameau écrivit une pièce pour clavecin qu?il intitula Les Sauvages. Plus tard il réutilisa cet air pour la scène finale de la quatrième entrée Les Sauvages ou La danse du grand calumet de la paix de son opéra-ballet Les Indes Galantes. Cette œuvre jouissait d?une popularité touteparticulière au XVIIIe siècle notamment en France.L?arrangement pour Orchestre d?Harmonie de Rob Wiffin se veut fidèle à la version originale tout en portant un regard nouveau sur cette œuvre. L?écriture est peu exigeante mais le style doit être très dansant pour une interprétation pleine de verve.
Parfois juste au-delà de l'horizon parfois sous nos pieds. C'est un pays insai...(+)
Parfois juste au-delà de l'horizon parfois sous nos pieds. C'est un pays insaisissable fait de crépuscule et de brume de chimères et lueurs un monde qui nous intrigue et nourrit notre imagination. Imaginez un cortège coloré de créatures et de personnages tout droit sortis des mythes ancestraux et légendes incroyables : magiciens et sorcières bouffons et jongleurs ménestrels et troubadours échassiers et monocyclistes lutins et gargouilles gnomes bruyants et farfadets riants dragons géants et fées volantes carrosses rutilants tirés par des licornes caracolantes tous se dirigent vers le château de Merlin l?Enchanteur.La musique est à l?image du scénario imaginé par lecompositeur : originale et lumineuse pour mieux nous livrer les secrets des couleurs médiévales. La percussion ouvre le cortège puis vient le temps de l?exposition des thèmes avant de les unir dans un subtil mélange aux couleurs de plus en plus intenses jusqu?au tableau final : l?entrée au château du devin et magicien Merlin.
Il est regrettable de constater que le compositeur français Jean-Philippe Ramea...(+)
Il est regrettable de constater que le compositeur français Jean-Philippe Rameau (1683-1764) est essentiellement reconnu de nos jours comme un influent théoricien de la musique. Pourtant il fut considéré en son siècle comme un grand compositeur au style harmonique et mélodique très novateur.En 1725 suite à la venue à Paris de deux Indiens de La Louisiane Rameau écrivit une pièce pour clavecin qu?il intitula Les Sauvages. Plus tard il réutilisa cet air pour la scène finale de la quatrième entrée Les Sauvages ou La danse du grand calumet de la paix de son opéra-ballet Les Indes Galantes. Cette œuvre jouissait d?une popularité touteparticulière au XVIIIe siècle notamment en France.L?arrangement pour Orchestre d?Harmonie de Rob Wiffin se veut fidèle à la version originale tout en portant un regard nouveau sur cette œuvre. L?écriture est peu exigeante mais le style doit être très dansant pour une interprétation pleine de verve.