La fascination de Robert Schumann pour les gitans est
née de sa rencontre avec Emmanuel Geibel (Poèmes
tziganes), et a finalement trouvé son expression dans
sa pièce pour cheour et piano ?Zigeunerleben, opus 29
(n ° 3.)?. Schumann y dépeint musicalement la
description colorée de Geibel : un feu de camp gitan.
La pièce commence par le calme mystérieux des «bois
remplis avec des ombres et des bruissements de branches
», puis l'augmentation des lignes vocales représente
les flammes qui ...(+)
La fascination de Robert Schumann pour les gitans est
née de sa rencontre avec Emmanuel Geibel (Poèmes
tziganes), et a finalement trouvé son expression dans
sa pièce pour cheour et piano ?Zigeunerleben, opus 29
(n ° 3.)?. Schumann y dépeint musicalement la
description colorée de Geibel : un feu de camp gitan.
La pièce commence par le calme mystérieux des «bois
remplis avec des ombres et des bruissements de branches
», puis l'augmentation des lignes vocales représente
les flammes qui « flambent pour illuminer les arbres
». La fin de la pièce capte l'aspect nomade de la vie
gitane avec le texte final, «Mais où s'en vont-ils'
Qui sait où? ».