« Je longeais le chemin avec deux amis. C?est alors
que le soleil se coucha. Le ciel devint tout à coup
rouge couleur sang. Je m?arrêtai et m?adossai épuisé
à mort contre une barrière. Le fjord d'un noir
bleuté et la ville étaient inondés de sang et
ravagés par des langues de feu. Mes amis poursuivirent
leur chemin tandis que je tremblais encore d'angoisse.
Et je sentis que la nature était traversée par un
long cri infini »....(+)
Le Cri, 1893 - Tempera sur panneau, (83,5×66cm)
« Je longeais le chemin avec deux amis. C?est alors
que le soleil se coucha. Le ciel devint tout à coup
rouge couleur sang. Je m?arrêtai et m?adossai épuisé
à mort contre une barrière. Le fjord d'un noir
bleuté et la ville étaient inondés de sang et
ravagés par des langues de feu. Mes amis poursuivirent
leur chemin tandis que je tremblais encore d'angoisse.
Et je sentis que la nature était traversée par un
long cri infini ». (Munch, 1892)