un travail excellent plaqué sur les fameuses inventions de J.S. Bach. ça coule, fluide et délicat, aérien frôlant la mousse des choses et du vent, tel un papillon; La partie et c'est drôle, toute espiègle qu'elle est évoque Bela Bartok. Encore plus magique avec ces fameuses (encore) basses d'Alberti. Joao, tu/vous êtes très doué. On se diras « tu », si tu me le permets. La partie III rayonne lentement comme une table renaissance derrière des vitraux , un calme s'insinue dans cette pièce parfaite comme du Michele, du Metivier ou du Vignon, on rêve et la musique nous transporte, elle cherche telle une passacaille les mille replis de la vie. Partie IV. Sûrement un mouvement vif. Gagné ! Le mouvement n'est pas trop vif mais plus altéré, altéré autrement qu'à la façon Bartok, il y a ces mouvements contraires propres à Denys Vignon. Partie U ou V comme ultime ou le cinquième doigt. On retourne à Bartok, ça gigote et crépite dans la cheminée d'un soir d'automne, c'est presque du jazz. Vient une conclusion plaquée que j'aime peu car trop vulgaire mais bon, j'ai tort comme toujours, on devrait dire et ne pas dire ce qu'on pense. Il faut qu'une émotion soit sincère ... encore mille bravo Joao à tes « Invenzioni e divertimenti 16? .. à bientôt, cher Joao le plaisir de t'entendre et de lire tes partitions tout autant et à les analyse. A bientôt je l'espère,cordialement, François ...
↪ Cher François. Mon francais n'est pas soufi pour répondre comme il faut. Merci beaucoup pour votre commentaires. À cet égard, je suis très heureuse. A bientôt.
, 07 Déc 2019 à 21:51 
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