Cette pièce est construite comme une rengaine médiévale. Elle est donc répétitive. Ce rôle de répétition est souvent confié au second alto, pendant que le premier recrée une variante. C'est le canon à l'unisson ou l'écho perpétuel... La partie B, plus lente, repose l'auditeur (et les musiciens!) . La partie C, n'est pas une reprise stricte, mais plutôt un écho de A, présenté autrement et enrichi.
Merci François pour ton appréciation de cette modeste pièce.
médiéval aux beaux échos dans les arbres. Promenade au délices du printemps à aller cueillir les filles. Amer tu me prends. Amertume prends le dans tes lacets. Un écho baroque indéfinissable, savant comme du Vivaldi. Oyez, oyez ce contrechant. MAIS, le second mouvement, vibrant et déchirant se montre comme une araignée qu'on écrasera pas aux beaux yeux luisant, à la toile fragile au vent. Parti B, tu es parti B. B comme bavard et beau dans la baignoire de l'enfant qui geint et crie devant la vie qui l'attend. Tu es parti B. C arrive, plus riche encore et brodé d'or. Les contrechants, Dame, qu'ils sont soyeux et méditatifs comme deux unissons qui se courent et se font la chasse. L'air est dans le vent d'un orage, électrique. Cet oeuvre est étrangement fabuleuse et inspirée. Difficile de faire plus inspiré. Ca déchire comme un éclair le ciel devenu bien sombre ! Bravo et merci maestro ! François
La partie B, plus lente, repose l'auditeur (et les musiciens!) .
La partie C, n'est pas une reprise stricte, mais plutôt un écho de A, présenté autrement et enrichi.
Merci François pour ton appréciation de cette modeste pièce.