Das Bläserwerk. Par SCHNEIDER WILLY. Das Bläserwerk, Heft 7/ Recueil / 3 Trombones

Trois contes basés sur des textes traditionnels, disposés comme un mélodrame par Enjott Schneider. Les contes exigent un narrateur de préhension et un organiste imaginative qui trouve sons colorés et doux qui sont dramaturgique approprié, en fonction de la spécification de l'organe. Un atout précieux pour le répertoire des concerts d'orgue, inaugurations d'organes ou pour les enfants et des concerts de jeunes. / Voix Et Orgue

L'une des premières choses qui vient à l'esprit lors de la lecture du titre de l'orgue Symphonie #9 ' Pathétique ' par acteur Schneider est une autre oeuvre avec cette épithète : Symphonie #6 Tchaïkovski. Et ce n'est aucun un hasard : le compositeur en ce qui concerne son oeuvre d'orgue en hommage à cette ' soeur aînée '. Alors que Tchaïkovski, dans un programme secret, fait sa propre vie pour constituer une lutte longue épreuve au point de son suicide soupçonné, acteur Schneider présente ces heures comme le conte ultime du malheur dans laquelle Jésus avait bel et bien devenir humain, mortellement portant la douleur et la misère de toutes les personnes. ' Gethsémani ', ' Geiselung : Ecce homo', ' Golgatha ' et ' Grablegung ': Maria Magdalena' sont les noms des stades et des mouvements. Le mot grec 'pathos' signifie ' forte émotion, se sentant, passion ou des souffrances ' - de Schneider orgue Symphonie #9, cela se réalise, musicalement, dans son conflit interne, lutte, s'attaquer à son destin, la cruauté de la crucifixion et le silence mortel. / Orgue

Par SCHNEIDER ENJOTT. Le compositeur de films de Munich et professeur de composition acteur Schneider (* 1950) a eu une relation spéciale avec l'orgue depuis son temps comme un étudiant de musique d'église à Ratisbonne. La toccata ' frère of Sleep '(ED 8525) (du film du même nom par j. Vilsmaier) est l'un de ses plus célèbres oeuvres pour orgue. Sa nouvelle oeuvre pour orgue et des cuivres, convenant de concert ou de performances liturgiques, est décrite ainsi par le compositeur: ' Jubilus se compose de variations sur une forme archaïque de l'écriture mélodique mélismatiques sans paroles. Il a été utilisé depuis l'Antiquité dans les chants de la synagogue et des exemples de la ' Alléluia 'ont survécu à la tradition de Christian grégorien au début. L'ambiance sous-jacent est positive, plein de joie et de confiance dans le monde visible et l'invisible, trop'. Cette composition commence avec le calendrier grégorien 'Jubilus' de Milan, qui apparaît comme une devise à la tête de la musique et peut être chantée comme introduction./ Répertoire / 2 Trompettes, 2 Trombones et Orgue

Musica arcaica #1 ' est la première pièce dans une série de oeuvres de musique de chambre dans laquelle Schneider comme un compositeur examine la musique des autres cultures (chants, danses, entre autres). Le vieux chypriote Pastourelle Voskos inspiré le compositeur à appliquer les techniques de composition archaïque de drone, hétérophonie et ostinato. La chanson exprime différentes ambiances : la première moitié de la chanson est dominée par l'aspiration lament im Pferch eingesperrt bin ich geboren, im Pferch werde ich sterben'. Définit la seconde moitié du fantastique et perdu, mais aussi avec fierté subi une pensée de la mort ' Niemand von euch kennt den Tod, noch das Altern! ' à la musique. Schneider présente ces émotions de façon convaincante et passionnante au moyen d'instruments. / Violon, Violoncelle Et Piano

4 Mantras For Saxophone Quartet. Par SCHNEIDER ENJOTT. Panta rhei - tout est dans un état de flux ' est la ligne de fond de ce qu'en pense le philosophe grec Heraclitus. ' Tout est dans un Etat continuel de flux et de changement ' - lui, c'était ' logos ', ordre rationnel. Il est à l'interface entre la pensée personnelle et rituel archaïque que les quatre mantras pour quatuor de saxophones ont été créés. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, ' mantras ' sont sacrées phrases, les messages clés, les ' instruments de pensée et d'expression '. Ils étaient adressées à des divinités comme une forme de culte et de mode de concentration et consistent principalement en des mots et des syllabes continuellement répétés. Dans cet esprit, chaque mouvement dans ' Panta rhei ' a été donné à un motif principal (surtout un geste base rythmique) qui est répété dans les variations et les cycles mais toujours différemment - dans un perpétuel état du flux. (Acteur Schneider)/ Répertoire / 4 Saxophones

Par SCHNEIDER FRIEDRICH. Friedrich Schneider is known today above all for his extensive oeuvre in the area of the oratorio. No less important, however, in addition to his symphonic work, is his group of works for piano and/or chamber music. His cello sonata in F major, with all four movements large in scale, was probably composed in 1831 for the daughter of the Cologne music patron, Dr. Erich Heinrich Verkenius. With its expressiveness, monumental structure, and post-Beethovenian sensuality, this sonata already seriously anticipates Romanticism. Our edition offers two solo parts: an unmarked original text as well as a version with fingerings and bowings by the Leipzig based cellist Jürnjakob Timm./ Répertoire / Violoncelle et Piano

Martin Luther. Par SCHNEIDER ENJOTT. On the occasion of the quincentenary of Reformation Day in 2017, the composer Enjott Schneider thoroughly studied Martin Luther the individual and all his contradictions. The result is a brilliant, demanding organ symphony which is perfect for concerts on the subject of Reformation and Martin Luther. The composer describes the five movements of the symphony as follows: '1st movement: Wir glauben all an einen Gott with its quintuplet-like beginning is very Gregorian in style, outlining the range of Lutheran emotionalism between the Middle Ages and the modern era. The irrationality of 'faith' ultimately has priority over any thought and evidence. At the beginning of the movement, sounds of knocking on wood remind of the nailing of the Ninety-Five Theses to the doors of churches in Wittenberg. The chorale melody sometimes hides with an almost rough medieval saltarello, referring to Luther's robustness and vitality with which he knew to carry away even common people. 2nd movement: In 1530, the electoral prince of Saxony presented to Luther at Coburg Castle the golden signet ring with the 'Luther rose' which became the symbol of his theology of grace. A white heart with black cross is fixed on a five-petalled rose. To him, 'white' is the colour of angels and ghosts, 'black' stands for the pain of crucification: 'The just shall live by faith, but by faith in the Crucified.' But the fact that the rose and the heart are the dominating symbols shows how Catholic Marian piety remained an ingredient of Luther's spirituality throughout his life. In line with the dominant five-petal structure of the rose, this movement was composed, to a large extent, in accordance with the floating, lyrical rhythm in 5/8 time. 3rd movement: The omnipresence of death and dying – from the plague and war to the never-ending dangers of daily life – was an essential part of the world view of that time. Fears ensued that might heighten into the grotesque, e.g. in the pictures of Hieronymus Bosch. The 'Danse macabre' was a popular motif in those years. Luther's chorale 'Mitten wir im Leben sind / mit dem Tod umfangen' from 1524 ('Enchiridion' from Erfurt) is based on the Gregorian chant 'Media vita in morte sumus' created in France around 750 and, with its idea of transience, inspired a simplistic air. 4th movement: The famous confession delivered at the Diet of Worms in 1521, 'I stand here and can say no more. God help me. Amen', are not Luther's words but the version later used as text for a pamphlet. However, it represents quite plainly the straightforwardness and inevitability of his mission. Musically, it was made into a 'perpetuum mobile', i.e. a dogged, ostinato and never-ending musical air. 5th movement: The 'Mighty Fortress', on the other hand, is one of the great symbols of Martin Luther which, with its shining C major key, embodies the Protestant ideology and willful nature of the Reformation unlike any other song. Heinrich Heine called it the 'Marseille anthem of the Reformation', Friedrich Engels the 'Marseillaise of the Peasants' Wars'. This disputability is not thought through to the end but rather interrupted: With a jubilant 'birdcall version' of the melody, the finale shows a rather chamber-music-like side of the 'ideals of freedom of Christians'.'/ Répertoire / Orgue

Tropus. Par SCHNEIDER ENJOTT. In this composition Schneider uses the famous words from the liturgy for Good Friday: “Darkness fell, and on the ninth hour Jesus called out with a loud voice: My God, why hast Thou forsaken me?” Here he draws on the earlier form of the “trope”, using what was a common device in composition in medieval times, inserted into already completed works as a sort of commentary. In this sense - making use of the post-modern principle of suggesting links across the ages - TENEBRAE makes reference to the motet “Tenebrae factae sunt” (Schott, C 51305) by Davide Perez (1711-1782), from which some melodic fragments have been taken and freely developed. An explosively contrived stylisation is set against the self-contained world of sound in the original piece./ Répertoire / Soprano, Violon et Orgue

Die Romanische. Par SCHNEIDER ENJOTT. As inspiration for his Organ Symphony No. 14, Enjott Schneider draws from the atmosphere and the Romanesque style of the Imperial Cathedral of Speyer: the massive walls, the round arches, the western belfry. The work requires a large organ with at least three manuals./ Répertoire / Orgue