Par PAULME-SCHAEFFNER DENISE / GERGELY JEAN. « André Schaeffner était un homme d’une immense culture – comme on n’en voit plus – et l’un des derniers témoins de cette éblouissante pér... Lire plus
Par PAULME-SCHAEFFNER DENISE / GERGELY JEAN. « André Schaeffner était un homme d’une immense culture – comme on n’en voit plus – et l’un des derniers témoins de cette éblouissante période de l’entre-deux-guerres qu’il a, lui aussi, marquée de son empreinte aux côtés de ceux – de Mauss à Strawinsky – dont il fut le familier. L’ethnologie française, sans lui, n’aurait pas été la même ; il l’a dotée d’un nouveau chapitre, musical, et surtout, par son exemple, il l’a gardée solidaire de la vie intellectuelle et artistique, bien au-delà de ses frontières, et il lui a insufflé une sensibilité qui, autrement, lui aurait manqué. » (Claude Lévi-Strauss)
Ces Variations Schaeffner, publiées par la Société française de musicologie en hommage à l’un de ses anciens présidents, ont été réunies à l’initiative de Mme Denise Paulme-Schaeffner, avec le concours de Jean Gergely. / Date parution : 1982-12-01/ Livre / Livre
Par DE SAINTE-COLOMBE JEAN. En 1973, la Société française de musicologie publiait les 67 Concerts à deux violes esgales du sieur de Sainte-Colombe, édités par Paul Hooreman d’après le manuscr... Lire plus
Par DE SAINTE-COLOMBE JEAN. En 1973, la Société française de musicologie publiait les 67 Concerts à deux violes esgales du sieur de Sainte-Colombe, édités par Paul Hooreman d’après le manuscrit de la bibliothèque d’Alfred Cortot, et révélait ainsi l’œuvre de l’énigmatique violiste. Depuis, tandis que les Concerts trouvaient leur place dans le répertoire des violistes et que Sainte-Colombe venait à connaître une célébrité inattendue grâce au cinéma, trois autres sources de sa musique pour viole seule ont refait surface et de nouvelles recherches biographiques ont tenté de lever le voile sur son identité.
La seconde édition, parue en 1998, a été révisée par Jonathan Dunford dans le sens d’une plus grande fidélité à la notation du manuscrit original, entré depuis au département de la Musique de la bibliothèque nationale de France. Elle reprend l’introduction originale de Paul Hooreman avec des compléments tenant compte des recherches et découvertes plus récentes sur la biographie du compositeur (par Corinne Vaast) et sur les sources de l’œuvre de Sainte-Colombe (par François-Pierre Goy). En appendice sont éditées les pièces pour viole seule des manuscrits d’Édimbourg et de Tournus qui concordent avec des passages des Concerts à deux violes esgales, ainsi qu’une nouvelle suite à deux violes provenant des manuscrits d’Édimbourg.
Sommaire
part. Introduction p. VII
L’auteur p. VII
Le manuscrit p. VIII
L’œuvre p. XIV
L’appendice p. XVI
part. Introduction à l’édition révisée p. XVII
L’auteur p. XVII
Le manuscrit p. XXIII
L’œuvre p. XXVIII
Les appendices p. XXIX
Sigles et abréviations p. XXXII
Notation musicale pour l’édition révisée p. XXXII
Planches I à IV p. XXXIV
part. Concerts à deux violes esgales du sieur de Sainte-Collombe p. XXXIX
Table alphabétique p. XLI
Concerts en Dlaré tierce mineure p. 1
Concerts en Dlaré tierce majeure p. 139
Concerts en Grésol tierce mineure p. 147
Concerts en Grésol tierce majeure p. 161
Concerts en Csolut tierce majeure p. 187
Concerts en Csolut tierce mineure p. 213
Appendice I : nouvelle suite à deux violes de Sainte-Colombe d’après les manuscrits MSS 9468 et 9469 d’après la National Library of Scotland d’Edinburgh p. 223
Appendice II : concordances des pièces de viole seule des manuscrits de la National Library of Scotland d’Edinburgh et de la Bibliothèque de Tournus avec les Concerts à deux violes esgales p. 229
Essai de reconstitution des passages lacunaires p. 244
Table des pièces et des titres p. 245
Table des noms de personnes cités dans les concerts p. 246
/ Date parution : 1998-01-01/ Répertoire / Deux Violes
Par . Le Chansonnier de Montchenu, qui est peut-être le plus beau recueil de chansons du xve siècle, fut composé en Savoie vers 1470. Il contient une sélection de chansons italiennes et française... Lire plus
Par . Le Chansonnier de Montchenu, qui est peut-être le plus beau recueil de chansons du xve siècle, fut composé en Savoie vers 1470. Il contient une sélection de chansons italiennes et françaises parmi lesquelles figurent les plus belles chansons des années 1440-1470. L’édition elle-même fut le plus grand projet musicologique de Geneviève Thibault, comtesse de Chambure (décédée en 1975). Elle inclut une étude de Jean Porcher sur le propriétaire du manuscrit, l’évêque Jean de Montchenu. Les commentaires musicaux sont de David Fallows (né en 1945), professeur de musicologie à l’université de Manchester et président de la Société internationale de musicologie (International Musicological Society). / Date parution : 1991-07-01/ Répertoire / Voix
Par DEUTSCH CATHERINE / RAGNARD ISABELLE. Ce livre brosse un portrait collectif des femmes en musicologies francophones depuis l’émergence de la discipline à la fin du xixe siècle jusqu’à la p... Lire plus
Par DEUTSCH CATHERINE / RAGNARD ISABELLE. Ce livre brosse un portrait collectif des femmes en musicologies francophones depuis l’émergence de la discipline à la fin du xixe siècle jusqu’à la phase finale de son institutionnalisation universitaire dans les années 1970. Il met en regard différents contextes et réseaux dans lesquels la musicologie était pratiquée en français, des sphères parisiennes, à Strasbourg, Clermont-Ferrand, Poitiers, Liège et Bruxelles, en passant par l’Aurès, Ravensbrück, la Grèce et le Bourbonnais. Sans échapper aux inégalités et aux normes de genre contemporaines, la musicologie française s’est néanmoins révélée dans un premier temps plus inclusive que ses homologues allemandes, autrichiennes ou états-uniennes, favorisant l’émergence de figures marquantes telles que Michel Brenet/Marie Bobillier, , Geneviève Thibault de Chambure ou Solange Corbin, et de nombreuses autres souvent méconnues de nos jours. Chercheuses, enseignantes à l’université, musiciennes, bibliothécaires, ou collectionneuses, ces femmes ont largement contribué à l’essor de leur discipline, parfois en marge des circuits académiques. À travers quatre axes – leur rôle dans l’institutionnalisation de la discipline, leur apport théorique, leur participation à la redécouverte des musiques anciennes et leur contribution aux débuts de l’ethnomusicologie – cet ouvrage retrace les trajectoires de ces pionnières à travers de nombreuses sources jamais exploitées. Il offre ainsi une contribution inédite et nécessaire à l’histoire de la musicologie et à l’histoire des femmes scientifiques. / Date parution : 2024-12-30/ Livre / Livre
Par BERLIOZ HECTOR. Alors que Berlioz entame en 1860 ses dernières années de collaboration au Journal des débats, le monde musical est en émoi avec l’arrivée de Wagner, venu conquérir Paris. ... Lire plus
Par BERLIOZ HECTOR. Alors que Berlioz entame en 1860 ses dernières années de collaboration au Journal des débats, le monde musical est en émoi avec l’arrivée de Wagner, venu conquérir Paris. Hermétique à la « musique de l’avenir », Berlioz préférera confier à son ami d’Ortigue le compte rendu de Tannhäuser, représenté à l’Opéra en 1861.
Les concerts continuent à un rythme effréné, et Berlioz ne sait plus quels éloges trouver pour tous ces virtuoses solistes, chambristes, et ces orchestres qui, comme dans les concerts populaires de Pasdeloup au Cirque Napoléon, améliorent le goût du public.
Même s’il obtient un vif succès à Bade avec Béatrice et Bénédict dans lequel Anne Charton-Demeur l’enchante, Berlioz est épuisé par sa santé qui se dégrade, et tout à fait lassé de son métier de critique. L’occasion de démissionner se présente enfin et le 8 octobre 1863, il signe son dernier article du Journal des débats, sur Les Pêcheurs de perles de Bizet. Un monde se referme, un autre s’ouvre… / Date parution : 2020-11-09/ Livre / Livre
Par BACH JOHANN SEBASTIAN / CHOPIN FREDERIC. Le présent fac-similé reproduit une édition du premier livre du Clavier bien tempéré, annotée par Chopin. Entièrement autographes, les annotations c... Lire plus
Par BACH JOHANN SEBASTIAN / CHOPIN FREDERIC. Le présent fac-similé reproduit une édition du premier livre du Clavier bien tempéré, annotée par Chopin. Entièrement autographes, les annotations concernent l’exécution (doigtés, répartitions des voix intermédiaires entre les deux mains, etc.), l’« analyse » des fugues les plus élaborées à travers un repérage des thèmes sous leurs diverses présentations, enfin le report très soigneux – pour les premiers Préludes et Fugues – des indications d’exécution par Czerny (1837), dont il a pris connaissance à travers la publication parisienne de la veuve Launer. Cette humilité en fin de carrière n’est pas le trait le moins émouvant d’un document neuf et inconnu, qui vient éclairer d’un jour précis les liens de Chopin avec son maître à penser, comme dans son rôle de pédagogue. / Date parution : 2020-04-09/ Livre / Livre
Par LESURE FRANCOIS / THIBAULT GNEVIEVE. Cette bibliographie constitue la seconde étape du « Vogel français » qui a été entrepris par Nicolas Du Chemin. Elle couvre la plus grande partie de la... Lire plus
Par LESURE FRANCOIS / THIBAULT GNEVIEVE. Cette bibliographie constitue la seconde étape du « Vogel français » qui a été entrepris par Nicolas Du Chemin. Elle couvre la plus grande partie de la production française pendant un demi-siècle et son travail de rassemblement a été très complexe, notamment par la dispersion des sources, inaccessibles au lendemain de la guerre.
Ce livre fait apparaître à quel point la musique française de la Renaissance reste un monde à découvrir, notamment par le peu de rééditions modernes aujourd’hui disponibles. / Date parution : 1955-06-01/ Livre / Livre
Par D’ORTIGUE JOSEPH. Pendant près de quarante ans, le Cavaillonnais Joseph d’Ortigue fit carrière à Paris comme « musicien-littérateur ». Il mit à profit sa riche bibliothèque pour éto... Lire plus
Par D’ORTIGUE JOSEPH. Pendant près de quarante ans, le Cavaillonnais Joseph d’Ortigue fit carrière à Paris comme « musicien-littérateur ». Il mit à profit sa riche bibliothèque pour étoffer ses écrits dont le sérieux et la fiabilité offrent peu d’exemples dans la presse française contemporaine. S’il s’intéresse évidemment à l’art lyrique, il place au premier rang l’œuvre instrumentale de Beethoven. Homme de conviction, il affronte avec passion François-Joseph Fétis dans une querelle sur le « mouvement » et la « résistance » en musique, proclamant une foi dans le progrès qui fera de lui un des plus solides soutiens de Berlioz. Témoins du foisonnement artistique qui anime Paris sous la Restauration et du goût musical de cette époque, les écrits de d’Ortigue ouvrent la voie à l’analyse et à l’histoire de la musique. / Date parution : 2003-01-01/ Livre / Livre
Par FAVIER THIERRY. Parallèlement aux productions parodiques et populaires, les cantiques et airs spirituels composés sur les plus beaux recueils de poésie lyrique chrétienne, comme les Cantiques ... Lire plus
Par FAVIER THIERRY. Parallèlement aux productions parodiques et populaires, les cantiques et airs spirituels composés sur les plus beaux recueils de poésie lyrique chrétienne, comme les Cantiques spirituels de Racine, les Stances chrétiennes de l’abbé Testu ou les Psaumes de la pénitence d’Élisabeth-Sophie Chéron, explorent toutes les ressources de la musique baroque française et offrent un témoignage de civilisation et de culture aussi éloquent que les meilleures réussites des genres profanes et religieux latins. Ces cantiques spirituels savants sont signés des plus grands noms – Michel-Richard de Lalande, Pascal Colasse ou André Campra – mais aussi de musiciens aujourd’hui moins connus comme Bénigne de Bacilly, Jean-Baptiste Moreau, Pierre-César Abeille ou Antonia Bembo, qui jouèrent un rôle important dans le succès de ce répertoire. / Date parution : 2009-01-01/ Livre / Livre
Par LACOMBE HERVE. Au cours des siècles se sont édifiées une idée française de l’Italie et une idée italienne de la France. Dans l’histoire complexe des liens entre opéra français et opér... Lire plus
Par LACOMBE HERVE. Au cours des siècles se sont édifiées une idée française de l’Italie et une idée italienne de la France. Dans l’histoire complexe des liens entre opéra français et opéra italien, il n’est pas exagéré de parler de rapports passionnels, faits d’attirances et de répulsions. L’opéra est un lieu d’échanges exceptionnellement riche, puisqu’il engage l’histoire de la musique et des musiciens ou encore des institutions et des idées.
Traiter des échanges franco-italiens dans le domaine lyrique demande donc de diversifier les analyses et les méthodes. Ainsi cet ouvrage propose la comparaison d’opéras français et italiens et de leur dramaturgie : Camille de Dalayrac et Paër ; Gustave III d’Auber et Un ballo in maschera de Verdi ; une réflexion sur le modèle italien dans Don Procopio de Bizet, ou dans les grands opéras de Massenet ; des analyses plus spécifiquement littéraires des sources d’Il Pirata de Bellini et de Tosca de Puccini. / Date parution : 2000-08-01/ Livre / Livre
Par MAGNARD ALBERIC. La correspondance d’Albéric Magnard comprend 405 lettres adressées à des musiciens (Chausson, Dukas, d’Indy, Ropartz, Doret, Labey, Castéra), à des amis (Poujaud, Cordon... Lire plus
Par MAGNARD ALBERIC. La correspondance d’Albéric Magnard comprend 405 lettres adressées à des musiciens (Chausson, Dukas, d’Indy, Ropartz, Doret, Labey, Castéra), à des amis (Poujaud, Cordonnier, Lallemand) et à des critiques et hommes de lettres (Rolland, Zola, Carraud, Maus). Au travers de cette correspondance, la personnalité de ce dreyfusard apparaît forte et originale dans sa farouche indépendance. Cet élève de d’Indy, qui a le culte de Beethoven, n’hésite pas à adresser des jugements critiques à ses collègues après l’audition de leurs œuvres, y compris à son ancien maître. Solitaire et quelque peu misanthrope, Magnard se montre exigeant avec lui-même comme avec les autres, d’une extrême franchise, ayant le sentiment de vivre dans une « société de mufles ». / Date parution : 1997-04-01/ Livre / Livre
Par BERLIOZ HECTOR. Entre deux séjours à l’étranger où ses œuvres connaissent un grand retentissement, Berlioz nous entraîne dans le tourbillon de la vie des théâtres et des concerts qui sé... Lire plus
Par BERLIOZ HECTOR. Entre deux séjours à l’étranger où ses œuvres connaissent un grand retentissement, Berlioz nous entraîne dans le tourbillon de la vie des théâtres et des concerts qui sévit à Paris dans les premières années du Second Empire.
Se succèdent à l’Opéra reprises et créations d’opéras de Verdi (Les Vêpres siciliennes), Halévy (Jaguarita l’Indienne), Gounod (La Nonne sanglante) tandis qu’à l’Opéra-Comique et au tout nouveau Théâtre-Lyrique s’affichent, à un rythme soutenu, des ouvrages dont le public est friand, de Reber, Massé, Clapisson, Grisar, Adam, Ambroise Thomas ou Eugène Gautier.
À cette activité lyrique foisonnante s’ajoutent les publications d’albums et de livres savants, l’émergence de sociétés musicales comme celle que fonde Pasdeloup, les concerts parisiens en tous genres où brillent Ernst, Vieuxtemps, Bottesini et tant d’autres, sans oublier les tournées triomphales à l’étranger « qui nous enlèvent nos étoiles ». / Date parution : 2016-09-01/ Livre / Livre
Par BERTON-BLIVET NATHALIE. Ce catalogue décrit pour la première fois mille quarante-quatre motets publiés en France entre 1647 (première publication française de motets avec basse continue) et l... Lire plus
Par BERTON-BLIVET NATHALIE. Ce catalogue décrit pour la première fois mille quarante-quatre motets publiés en France entre 1647 (première publication française de motets avec basse continue) et la fin de l’Ancien Régime. Réparties dans quatre-vingt-sept recueils et attribuées à soixante-quatorze compositeurs différents, ces pièces composées en parallèle au type émergeant du motet à grand chœur montrent l’extraordinaire vitalité d’un genre multiforme, reflet de pratiques musicales et de publics diversifiés. Chaque pièce musicale fait l’objet d’une description détaillée accompagnée, le cas échéant, de celle des différentes versions musicales recensées. L’ensemble des recueils répertoriés est également analysé. Un système de renvois permet d’aller de l’une à l’autre de ces parties. Classées selon l’ordre alphabétique des noms de compositeurs, les œuvres sont décrites suivant l’ordre alphabétique de leur incipit latin, tandis que les recueils le sont suivant leur date de publication. Plusieurs index sur les compositeurs, les poètes, les effectifs musicaux, les incipits musicaux, les incipits latins, les usages liturgiques et les titres des recueils complètent cet ensemble. / Date parution : 2011-05-01/ Livre / Livre
Par HERLIN DENIS / QUESNEY CECILE. « Ce magicien montrait aux flûtistes comment on joue de la flûte, aux chanteurs comment il faut chanter. Il révélait la musique aux musiciens, la beauté à to... Lire plus
Par HERLIN DENIS / QUESNEY CECILE. « Ce magicien montrait aux flûtistes comment on joue de la flûte, aux chanteurs comment il faut chanter. Il révélait la musique aux musiciens, la beauté à tout le monde » écrivait Roland-Manuel à propos de son collègue et ami André Caplet (1878-1925).
Remarquable musicien, chef d’orchestre et compositeur exigeant, Caplet était porté par l’idéal d’un art vocal et instrumental intime, parfois audacieux et très souvent inspiré par le sentiment religieux. Sa personnalité musicale, marquée par celle de Debussy, s’est développée au fil d’une carrière très dense, mais aussi discontinue, partagée entre composition et interprétation. À partir des nombreuses sources disponibles aujourd’hui, le présent volume examine les différentes étapes du parcours de Caplet et les spécificités de son œuvre envoûtante et protéiforme. Enrichies de documents inédits, dont de nouvelles lettres de Debussy, ces contributions dévoilent toutes les facettes d’une figure marquante de la musique française du début du xixe siècle. / Date parution : 2020-07-30/ Livre / Livre
Par MASSIP CATHERINE. Michel Lambert, beau-père de Jean-Baptiste Lully, fut, en son temps, le plus célèbre compositeur d’airs sérieux. Plus de trois cents pièces dispersées dans les manuscrits... Lire plus
Par MASSIP CATHERINE. Michel Lambert, beau-père de Jean-Baptiste Lully, fut, en son temps, le plus célèbre compositeur d’airs sérieux. Plus de trois cents pièces dispersées dans les manuscrits et les éditions françaises du xviie siècle ainsi que deux cycles de Leçons de ténèbres témoignent de cette activité foisonnante. Lié aux cercles de poètes précieux, ayant travaillé pour divers mécènes dont le cardinal de Richelieu et Fouquet, puis titulaire d’une charge de maître de la musique de la Chambre auprès de Louis XIV, il exerça une influence profonde et durable sur le chant français au xviie siècle. De nombreux témoignages attestent d’un art qu’il inculqua à ses élèves et disciples. / Date parution : 1999-10-01/ Livre / Livre
Par SIMON YANNICK. Fondée en 1877, l’Association artistique d’Angers propose chacune des seize saisons de son activité environ vingt-cinq concerts populaires qui se déroulent dans un cirque-th... Lire plus
Par SIMON YANNICK. Fondée en 1877, l’Association artistique d’Angers propose chacune des seize saisons de son activité environ vingt-cinq concerts populaires qui se déroulent dans un cirque-théâtre, le dimanche après-midi entre les mois d’octobre et d’avril. Ses deux principaux fondateurs, le banquier Jules Bordier et le comte Louis de Romain, tous les deux compositeurs et abonnés des concerts du Châtelet organisés par Édouard Colonne à Paris, font venir à Angers de nombreux artistes et compositeurs. Charles Gounod est le président d’honneur de l’association et Jules Massenet y dirige pour la première fois un concert. D’une richesse extraordinaire, le répertoire de cet orchestre professionnel fait la part belle aux compositeurs contemporains. / Date parution : 2006-01-01/ Livre / Livre
Par CHIMÈNES MYRIAM / GETREAU FLORENCE / MASSIPCATHERI. Henry Prunières (1886-1942), l’un des grands musicologues français de la première moitié du xxe siècle, demeure présent pour tous ceux... Lire plus
Par CHIMÈNES MYRIAM / GETREAU FLORENCE / MASSIPCATHERI. Henry Prunières (1886-1942), l’un des grands musicologues français de la première moitié du xxe siècle, demeure présent pour tous ceux qui s’intéressent à l’histoire de la musique de cette période et qui se sont nourris des riches pages de La Revue musicale ou de l’un des importants ouvrages qu’il a signés. Pourtant, jusqu’ici, aucune monographie ne lui avait été consacrée. Fruit des travaux d’un séminaire de recherche international, cet ouvrage comble cette lacune.
Auteur de deux thèses sur L’Opéra italien en France avant Lully et Le Ballet de cour avant Benserade et Lully, Henry Prunières est aussi ouvert à la musique de son temps et côtoie de nombreux compositeurs de premier plan. / Date parution : 2015-10-20/ Livre / Livre
Par SIRET NICOLAS. Claveciniste et organiste de la cathédrale de Troyes, Nicolas Siret (1663-1754) a laissé deux livres de pièces de clavecin dont il ne subsiste de chacun d’eux que deux exemplai... Lire plus
Par SIRET NICOLAS. Claveciniste et organiste de la cathédrale de Troyes, Nicolas Siret (1663-1754) a laissé deux livres de pièces de clavecin dont il ne subsiste de chacun d’eux que deux exemplaires. Ces pièces, qui n’avaient jamais fait l’objet d’une édition critique moderne, étaient connues par un fac-similé sur lequel de nombreux ornements avaient disparu, lors des retouches. Une comparaison entre les deux exemplaires du premier livre a révélé que Siret avait introduit des corrections et des changements dans le texte musical et que l’ouvrage avait donc fait l’objet d’au moins deux tirages. Cette édition critique offre aux clavecinistes un texte fiable de ces pièces si imprégnées de l’art du XVIIe siècle français, chaînon indispensable pour comprendre l’évolution stylistique du répertoire de clavecin de Chambonnières à François Couperin. / Date parution : 2001-01-01/ Répertoire / Clavecin
Par LANES MATHIEU. Sommaire
part. Introduction p. VII
Biographie p. VIII
Description et contenu du recueil des « Petites Pièces d’Orgue » p. XII
Esthétique p. XIII
Datation du recueil p.... Lire plus
Par LANES MATHIEU. Sommaire
part. Introduction p. VII
Biographie p. VIII
Description et contenu du recueil des « Petites Pièces d’Orgue » p. XII
Esthétique p. XIII
Datation du recueil p. XIII
L’orgue de Saint-Étienne de Toulouse p. XVI
À Saint-Étienne de Toulouse. Tableau chronologique récapitulatif p. XVII
part. Planches p.
I. Orgue de Saint-Étienne, Toulouse, 1610 p. XIX
II. Première page du manuscrit : Petites Pièces d’orgue de M. Lanes Page 47 du manuscrit : Petites Pièces du premi en s si mi Lire Petites Pièces du premier ton en E si mi p. XXI
III. Page 54 du manuscrit « Le Rossignol en amour, lentement et très tendrement quoyque mesuré » Copie de la pièce de François Couperin et page 92 du manuscrit : « Basse de Trompette ». (Écriture nouvelle : J. Ch. Desforats ?) p. XXII
part. Table des pièces p.
1. Plein jeu p. 1
2. Duo p. 1
3. Cornet p. 1
4. Basse de trompette p. 2
5. Récit de Trompte p. 2
6. Fugue gaye p. 2
7. Duo p. 3
8. Récit de voix humaine p. 3
9. Plein jeu p. 4
10. Récit de cromhorne p. 4
11. Dessus de Tierce p. 5
12. Duo p. 5
13. Basse de trompette p. 6
14. Plein jeu p. 6
15. Récit de trompette p. 7
16. Cornet p. 7
17. Fugue gaye p. 7
18. Basse de trompette p. 8
19. Trio p. 8
20. Duo p. 8
21. Grand jeu p. 9
22. Récit tendre p. 9
23. Cornet p. 9
24. Grand jeu p. 10
25. Grand jeu p. 11
26. Duo p. 16
27. Basse de trompette p. 17
28. Dialogue p. 19
29. Récit de Tierce p. 20
30. Grand jeu p. 22
31. Basse de trompette p. 24
32. Fugue gaie p. 25
33. Duo p. 26
34. Basse de trompette p. 28
35. Récit de cromhorne p. 30
36. Grand jeu p. 31
37. Récit de cromhorne p. 33
38. Plein jeu p. 35
39. Fugue grave p. 35
40. [Plein jeu] p. 35
41. [Récit] p. 36
42. [Fugue gaie] p. 37
43. [Récit] p. 38
44. [Basse de trompette] p. 39
45. (Le rossignol en amour de Fr. Couperin : non transcrit) p. 40
46. (Double du Rossignol en amour : non transcrit) p. 40
47. Plein jeu p. 41
48. Fugue grave p. 41
49. (Sans titre) p. 41
50. Trio p. 42
51. Cromhorne à plein p. 42
52. Dialogue p. 43
53. Plein jeu p. 43
54. Cornet p. 44
55. Basse de trompette p. 44
56. Récit de cromhorne p. 45
57. Récit p. 45
58. [Basse de trompette ou de cromhorne] p. 46
59. Basse de trompette p. 47
60. Grand jeu p. 49
61. Gavote p. 50
62. (Fanfare pour la Suite de la Diane, de Fr. Couperin : non transcrit) p. 50
63. [Dialogue] p. 50
64. Grand jeu p. 51
65. Grand jeu p. 53
66. Cornet ou Dessus de Tierce p. 55
67. Dialogue p. 57
68. Récit de cromhorne p. 58
69. Duo p. 59
70. Grand jeu p. 61
71. Duô p. 63
72. Dessus de tierce p. 65
73. Basse de trompette p. 66
74. Dialogue p. 68
75. Plein jeu p. 69
76. Duo. Très vite p. 69
77. Récit de cromhorne p. 70
78. Prélude p. 70
79. Plein jeu p. 72
80. Duo p. 72
81. Eleuation recit lent p. 73
82. Plein jeu p. 74
83. Grand jeu p. 74
84. Rondeau p. 76
85. La piemontoisse p. 79
86. (La Voluptueuse de Fr. Couperin : non transcrit) p. 80
87. Duo p. 83
88. Dessus de Tierce p. 84
89. Basse p. 85
90. Dessus de Cornet ou tierce p. 86
91. Grand jeu p. 87
92. Sonate p. 88
Extraits sonores
/ Date parution : 1970-04-01/ Répertoire / Orgue
Par KAYAS LUCIE / LACOMBE HERVE. Pétrie d’influences, écrite dans des genres établis, fondamentalement tonale, l’œuvre de Francis Poulenc montre de manière éclatante qu’il est encore possi... Lire plus
Par KAYAS LUCIE / LACOMBE HERVE. Pétrie d’influences, écrite dans des genres établis, fondamentalement tonale, l’œuvre de Francis Poulenc montre de manière éclatante qu’il est encore possible, durant la première moitié du xxe siècle, de tirer un style éminemment personnel d’un langage hérité.
Animée de paradoxes et oscillant du profane au sacré, empruntant constamment sa matière à d’autres auteurs sans jamais perdre son caractère propre, la musique du compositeur français est reconnaissable entre toutes. Elle porte la marque de singularités que cet ouvrage se propose d’identifier, d’explorer et d’expliquer en croisant approches et méthodes d’analyse aussi stimulantes qu’inattendues. Les différents genres dans lesquels Poulenc s’est exprimé sont abordés de la messe à l’opéra, de la mélodie à la musique de film, de la symphonie à la musique de chambre, du concerto à la sonate. / Date parution : 2016-01-30/ Livre / Livre
Par MOREAU JEAN-BAPTISTE. Esther, avant-dernière tragédie de Racine, fut écrite pour les « Demoiselles » de la maison royale de Saint-Cyr, créée à l’initiative de Mme de Maintenon, épouse... Lire plus
Par MOREAU JEAN-BAPTISTE. Esther, avant-dernière tragédie de Racine, fut écrite pour les « Demoiselles » de la maison royale de Saint-Cyr, créée à l’initiative de Mme de Maintenon, épouse de Louis XIV. Elle y fut créée devant un public de courtisans au carnaval de 1689 et inaugura dans cette institution une éphémère tradition de théâtre à intermèdes musicaux. La musique fait intervenir un ensemble instrumental à trois parties (prélude, ouverture, entracte), un chœur formé des jeunes filles de la suite d’Esther, des solos et des ensembles vocaux. Bien qu’elle ait été conçue pour voix de femmes, la musique de Moreau peut aussi être interprétée par un ensemble de voix mixtes. Cette édition présente pour la première fois le texte déclamé, conservé en orthographe ancienne, et l’intégralité de la musique établie d’après les sources contemporaines de la création de l’œuvre. / Date parution : 2003-01-01/ Répertoire / Voix De Femmes (Solos Et Chœur), Ensemble
Par BERLIOZ HECTOR. « Aide-toi, le ciel t’aidera », dit en conclusion le ministre à la musique, dans l’article que Berlioz consacre à la situation musicale de ces années qui ont suivi la r... Lire plus
Par BERLIOZ HECTOR. « Aide-toi, le ciel t’aidera », dit en conclusion le ministre à la musique, dans l’article que Berlioz consacre à la situation musicale de ces années qui ont suivi la révolution de 1848, résumant dans un brillant dialogue imaginaire les griefs qu’il accumule contre la médiocrité où se complaisent compositeurs, interprètes et publics, et l’attitude désastreuse d’un jeune gouvernement qui asphyxie les beaux projets faute d’argent (Journal des débats, 28 septembre 1849).
C’est sur ce fond de désillusion que, tout au long du présent volume, en particulier à travers les comptes rendus des nombreuses créations et reprises d’opéras et d’opéras-comiques, Berlioz ne va pas craindre d’exprimer encore et toujours ses convictions, s’adressant parfois au lecteur pour le prendre à témoin. / Date parution : 2014-01-17/ Livre / Livre
Par HERLIN DENIS. La bibliothèque de Versailles possède l’un des fonds musicaux les plus remarquables de l’Île-de-France, tant par sa richesse que par sa qualité. Les précieux exemplaires d... Lire plus
Par HERLIN DENIS. La bibliothèque de Versailles possède l’un des fonds musicaux les plus remarquables de l’Île-de-France, tant par sa richesse que par sa qualité. Les précieux exemplaires d’opéras de la Musique du roi annotés pour l’exécution ou les nombreux volumes de motets des demoiselles de Saint-Cyr sont autant de témoignages de la vie musicale à la cour. Divisé en deux sections, l’une consacrée aux imprimés, l’autre aux manuscrits, ce catalogue retrace également, dans l’introduction et les annexes, la genèse de cette collection prestigieuse. / Date parution : 1995-05-01/ Livre / Livre
Par CHOPIN FREDERIC / CHERUBINI LUIGI. Chopin a toujours voué un soin particulier à l’art du contrepoint. Au début des années 1840, il se plonge notamment dans l’étude du Cours de contrepoint... Lire plus
Par CHOPIN FREDERIC / CHERUBINI LUIGI. Chopin a toujours voué un soin particulier à l’art du contrepoint. Au début des années 1840, il se plonge notamment dans l’étude du Cours de contrepoint et de fugue de Cherubini (1832), dont il transcrit trois fugues pour piano. L’autographe, inédit et conservé dans une collection particulière, figure parmi ceux que Chopin a écrits avec le plus grand soin. Il est reproduit dans ce volume pour la première fois. Dans l’introduction, Jean-Jacques Eigeldinger retrace l’histoire de ce manuscrit fascinant et revient sur l’importance du contrepoint pour Chopin, qui en prit le goût dès sa jeunesse, à Varsovie, avec ses maîtres Zywny et Elsner, qui lui transmirent aussi le culte de J.-S. Bach et du Clavier bien tempéré.
Le volume est augmenté de plusieurs exemples musicaux, illustrations (portraits de Chopin à sa table de travail et de Cherubini), facsimilés et transcriptions des autres rares manuscrits contrapuntiques de Chopin et des notes critiques. / Date parution : 2017-12-01/ Livre / Livre
Par K. WOLF EUGENE. Le présent catalogue, rédigé entre 1746 et 1783, constitue un document majeur pour l’étude de la musique et des pratiques musicales au XVIIIe siècle. La section la plus int... Lire plus
Par K. WOLF EUGENE. Le présent catalogue, rédigé entre 1746 et 1783, constitue un document majeur pour l’étude de la musique et des pratiques musicales au XVIIIe siècle. La section la plus intéressante consigne l’ensemble de la musique instrumentale acquise par cette institution au cours du xviiie siècle, ensemble malheureusement perdu. Si la plupart des œuvres sont connues, le catalogue signale également de nombreux unica et quelques pièces dont on ne possède qu’un ou deux témoins. À l’évidence, les musiciens du Collegium Wilhelmitanum avaient à leur répertoire les pages les plus modernes de la musique diffusée en Europe au milieu du xviiie siècle. Ce seul élément confère à ce catalogue une importance inestimable pour l’histoire de la musique en général, et en particulier pour l’histoire de la vie musicale à Strasbourg au xviiie siècle. / Date parution : 2008-04-01/ Livre / Livre
Par NATTIEZ JEAN-JACQUES. Entre le 27 juillet et le 12 août 1850, Wagner a écrit deux esquisses musicales pour Siegfried’s Tod, première version du Götterdämmerung. Cette étude présente et c... Lire plus
Par NATTIEZ JEAN-JACQUES. Entre le 27 juillet et le 12 août 1850, Wagner a écrit deux esquisses musicales pour Siegfried’s Tod, première version du Götterdämmerung. Cette étude présente et commente la première transcription complète, comparative et critique de ces esquisses. Discutant les travaux antérieurs que Curt von Westernhagen et Robert Bailey leur avaient consacrés, Jean-Jacques Nattiez propose sa propre « intrigue » du processus créateur révélé par ces traces et donne sa version des raisons pour lesquelles Wagner a décidé de remonter du Götterdämmerung au Rheingold. À cet égard, l’irruption inattendue et la présence du thème de la chevauchée des Walkyries dans ces manuscrits joue un rôle important. Au début et à la fin de son texte, l’auteur souligne l’analogie entre la démarche créatrice de Wagner et celle de Proust. / Date parution : 2004-01-01/ Livre / Livre
Par BARDET BERNARD. Cet ouvrage se propose de mettre en lumière l’organisation du corps que formaient les violons du Roi, ceux de la Grande et la Petite Bande de la Chambre, ainsi que leur vie priv... Lire plus
Par BARDET BERNARD. Cet ouvrage se propose de mettre en lumière l’organisation du corps que formaient les violons du Roi, ceux de la Grande et la Petite Bande de la Chambre, ainsi que leur vie privée et professionnelle.
La période du règne de Louis XIV coïncide exactement avec des événements capitaux de l’histoire des violons du Roi : le début de la régence d’Anne d’Autriche voit se former la première organisation complète des Vingt-quatre Violons en association, et, quand le Roi-Soleil s’éteint, les Petits violons formés au temps de Lully, disparaissent. Les nombreuses découvertes de documents inédits dans les minutes notariales parisiennes permettent de comprendre comment se perpétuait le métier, comment s’édifiaient les dynasties de musiciens ou quels étaient les liens entre l’ancienne corporation des joueurs d’instruments et la musique royale. Les contours de leurs activités musicales se dessinent grâce aux musiques qu’ils ont laissées et aux livrets des spectacles de cour auxquels ils ont participé. / Date parution : 2016-12-26/ Livre / Livre