Lise

Par BERTRAND ELISE. « Si les artistes rendent si rarement compte de leurs instants d'inspiration, la raison en est bien simple: c'est qu'à ces moments-là du processus créateur ils ne sont nullement présents par la conscience. Ils ne peuvent pas davantage s'épier psychologiquement au cours de la création elle-même qu'ils ne peuvent, par-dessus leur épaule, se regarder écrire. » Egon Schiele « Artists: Sometimes the best way to address a problem in your work is to go in the cage with it and let it devour you. » Jerry Saltz Ces deux maximes qui décrivent à merveille ce que je peux ressentir au moment d'écrire à propos de ma dernière ?uvre pour piano Dans les abysses de lumière. Composée en parallèle de ma Sonate pour violon seul, mon ?uvre pour piano Dans les abysses de lumière op.17 (2021-2022) est un retour aux sources important, comme a pu l'être chaque retour à la composition d'une ?uvre pour piano (Préludes op.1 en 2014-2015, puis le Poème, op.5 en 2016, les Quasi Variazioni op.7 en 2018). La sensation de ressourcement lors de l'écriture pour piano seul vient intimement de mon enfance, où le piano est arrivé dans ma vie dès mes cinq ans. Chaque ?uvre pour piano que j'ai écrite marque un tournant dans mon rapport à la composition, une étape nouvellement franchie. Avec cet op.17, c'est un regard plus distancié et ouvert que j'ai posé sur la structure, le langage, le rapport au temps et à la dissonance. Durant un an, sans contrainte de temps, je suis revenue périodiquement à la composition de cette pièce, sans y toucher parfois pendant des semaines entières. J'y percevais alors des paysages, des couleurs, des instants de vie qui se faisaient écho. Puis, l'obsession revenait et je composais d'une traite un pan entier. La pièce en « cours de composition » vivait à mes côtés. Élise BERTRAND / Date parution : 2023-06-01/ Etude / Piano

Piano / Edition Delrieu / Bach : Aria Beethoven : Pour Élise Brahms : Berceuse Chopin : Polonaise héroïque Liszt : Rêve d'amour Lully : Menuet du Bourgeois Gentilhomme Mendelssohn : Chanson du printemps Schubert : Moment musical Tchaïkovski : Concerto Weber : Invitation à la valse Mouvement perpétuel

Every piano student, young or old, wants to play for Elise. They will love this winning new arrangement, a shortened version of Beethoven's classic that remains faithful to the original. Correlates with Level 5 of the Hal Leonard Student Piano Library. / Piano

Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. A number of questions regarding Beethoven’s most famous bagatelle, „Für Elise“, remain unanswered until today: What happened to the complete autograph and who was „Elise“? The bagatelle was written between 1808 and 1810. It was first published in 1867 by the Beethoven scholar Ludwig Nohl who still had access to Beethoven’s autograph. What has survived, however, is an extensive autograph draft that Beethoven substantially revised around 1822 for a planned but then unrealised collection of bagatelles and which differs significantly from the known printed version. The critical edition by the renowned Beethoven scholar Mario Aschauer comes to new conclusions. It offers, in addition to the version of the first printing from 1867, a transcription of Beethoven's draft that makes the changes to the 2nd version visible in grey print as well as a performable completion by the editor of that 2nd version. The work’s complicated genesis and source situation are explained in the Preface (Ger/Eng), and in the Critical Commentary (Eng) differing readings and editorial decisions are discussed. This definite edition with historically-informed fingering invites you on an exciting voyage to rediscover this popular piece!/ Répertoire / Piano

Die ?Romance sans paroles dédiée à Mlle. Lise Christiani' - so der Wortlaut des überlieferten Autographs - wurde erst 1868 aus dem Nachlass des Komponisten als op. 109 veröffentlicht. Die französische Cellistin Lise Christiani gab im Oktober 1845 mehrere Konzerte in Leipzig, wo sie mit Mendelssohn zusammenkam und mutmaßlich den Auftrag für die Komposition dieses reizvollen Stücks gab. Es handelt sich um das einzige ?Lied ohne Worte', das Mendelssohn nicht für Klavier solo, sondern für zwei Instrumente schrieb. Bisher nur im Sammelband HN 669 mit anderen Stücken für diese Besetzung greifbar, liegt die bei Cellisten äußerst beliebte ?Romance sans paroles' nun auch als Einzelausgabe im Henle-Urtext vor. / Violoncelle Et Piano

Romance sans paroles op. 109 Editeur: Ernst-Günter Heinemann Doigtés: Klaus Schilde Doigtés vc.: Claus Kanngiesser Edition Urtext, reliure paperback Pages: 17 (VI, 5, 3, 3), Dimension 23,5 x 31,0 cm N° d'article HN 1294 · ISMN 979-0-2018-1294-6 La «Romance sans paroles dédiée à Mlle. Lise Christiani» ' intitulé figurant sur l'autographe conservé ' ne fut publiée qu'en 1868 à partir des archives du compositeur sous le numéro d'opus 109. La violoncelliste française Lise Christiani donna en octobre 1845 plusieurs concerts à Leipzig; elle y rencontra Mendelssohn et passa probablement commande de la composition de cette pièce charmante. Il s'agit de la seule «Romance sans paroles» que Mendelssohn n'a pas écrite pour piano seul mais pour deux instruments. Jusqu'alors uniquement disponible dans le recueil HN 669 avec d'autres compositions pour cette formation, nous proposons désormais cette «Romance sans paroles» si appréciée des violoncellistes en édition séparée Urtext.