En 2001, le monde musical commémore le 100e anniversaire de la mort de Giuseppe Verdi. Verdi a été longtemps synonyme de l'opéra italien dans la conscience populaire, pas seulement depuis les concerts de la 'trois ténors'. Chaque année, des milliers de personnes font le pèlerinage à l'aréna de Vérone pour profiter de la musique, la voix brillante et les productions de somptueuses. Cette sélection de mélodies de Verdi est facile à jouer et ne manquez de vieux favoris : la Marche triomphale de Aida, choeur du prisonnier de Nabucco, ' La donna e mobile ' (Rigoletto), l'étroite de Il Trovatore, la chanson à boire de La Traviata et ensemble lot plus. / Piano

Giuseppe Verdi's Quattro Pezzi Sacri for SATB and Piano.The single works forming the sacred music cycle 'Quattro pezzi sacri' were composed as independent pieces between 1889 and 1897. The scoring ranges from solo voices a cappella to double choir with large orchestra. In 1898 the year of their first joint performance Verdi had them published together as 'Quattro pezzi sacri'. With the composition of the 'Quattro pezzi sacri' in the last years of his life Verdi thus returned to his church musician origins. Already at the age of 10 Verdi performed the duties of organist in his home congregation and later in Busseto where he received his first music lessons. Themasses at the collegiate church in Busseto formed some of his most important musical impressions. During the time Verdi composed 'Falstaff' his last opera he was once again composing sacred music this time in a conscious encounter with historical models such as Palestrina and Bach.

dall' opera 'Un Ballo in Maschera'-Pour la création du premier livret d?Un ballo in maschera (Un Bal masqué 1859) Giuseppe Verdi s?est inspiré du grand-opéra de Daniel-François Auber Gustave III ou le bal masqué représenté pour la première fois à Paris en 1833 et dont l?intrigue relate un fait historique : l?assassinat de Gustave III roi de Suède.Mais lorsque Verdi soumet son livret à l?opéra de Naples la censure lui impose d?importantes modifications. Les exigences de la censure napolitaine sont si nombreuses que Verdi se montre intransigeant. Il refuse de modifier le livret et quitte Naples. Cependant il cédera aux exigences des autorités de Rome et acceptera de transposer l?action de Stockholmà Boston et de changer l?identité des personnages principaux. Gustave III devient Riccardo Comte de Warwick Gouverneur du Massachusetts.L?Acte II s?ouvre sur un prélude très court introduisant la scène au pied du gibet. En quelques mesures seulement Verdi réussit à nous offrir à travers une prière d?espoir un brillant condensé de la tourmente intérieure qui habite les protagonistes.

dall' opera Ernani-En 1844 Giuseppe Verdi compose Ernani>/I> son cinquième opéra basé sur la pièce de Victor Hugo. Le succès d?Ernani comme celui de Nabucco et des Lombards à la première croisade (I Lombardi alla prima crociata) repose sur deux éléments particuliers : l?idée mélodique et l?idée patriotique. Le choix de l?idée mélodique est d?une grande importance. Elle est le vecteur qui sert à toucher et à éveiller l?intérêt du public. L?idée patriotique nourrit l?enthousiasme et les émotions. Environ dix ans plus tard Verdi reprendra une histoire similaire à celle du personnage d?Ernani un noble banni de la cour à travers le personnage de Manrique dans LeTrouvère. Dans le Prélude du premier acte de l?opéra Ernani Verdi réussit en trois minutes seulement à nous offrir un superbe condensé des éléments principaux qui jalonnent le drame. On distingue très clairement les thèmes de l?amour de la promesse et de la mort.

Ouverture-En 1854 Giuseppe Verdi réside à Paris et se consacre à la composition des Vêpres Siciliennes (I Vespri Siciliani) une œuvre de commande pour l?Opéra de Paris. Très rapidement il se montre agacé par les exigences du « Grand Opéra français » qui lui impose de lourdes contraintes. Il déclare alors : « Lorsque j?aurai fini Les Vêpres Siciliennes je serai un homme heureux. Composer un opéra pour l?Opéra de Paris est aussi harassant que de tuer un bœuf. Cinq heures de musique ? ? Pouh ! ». Après la première de l?opéra Hector Berlioz écrivit dans un article pour le Journal des Débats : « Il faut bien reconnaître que la profonde intensitéde l?expression mélodique la somptueuse diversité de l?orchestration l?ampleur et la poésie du son d?ensemble la vivacité chaleureuse qui rayonne à travers toute l?œuvre et la force passionnée bien qu?elle se dévoile lentement - un des éléments caractéristiques du style de Verdi - donnent aux Vêpres Siciliennes une grandeur une impression de souveraineté majestueuse encore plus marquante que dans toutes les productions lyriques précédentes de Verdi. » Dans l?Ouverture véritable chef-d?œuvre d?impétuosité on trouve la fraîcheur et la puissance des premières heures du risorgimento italien.

Ouverture-En 1854 Giuseppe Verdi réside à Paris et se consacre à la composition des Vêpres Siciliennes (I Vespri Siciliani) une œuvre de commande pour l?Opéra de Paris. Très rapidement il se montre agacé par les exigences du « Grand Opéra français » qui lui impose de lourdes contraintes. Il déclare alors : « Lorsque j?aurai fini Les Vêpres Siciliennes je serai un homme heureux. Composer un opéra pour l?Opéra de Paris est aussi harassant que de tuer un bœuf. Cinq heures de musique ? ? Pouh ! ». Après la première de l?opéra Hector Berlioz écrivit dans un article pour le Journal des Débats : « Il faut bien reconnaître que la profonde intensitéde l?expression mélodique la somptueuse diversité de l?orchestration l?ampleur et la poésie du son d?ensemble la vivacité chaleureuse qui rayonne à travers toute l?œuvre et la force passionnée bien qu?elle se dévoile lentement - un des éléments caractéristiques du style de Verdi - donnent aux Vêpres Siciliennes une grandeur une impression de souveraineté majestueuse encore plus marquante que dans toutes les productions lyriques précédentes de Verdi. » Dans l?Ouverture véritable chef-d?œuvre d?impétuosité on trouve la fraîcheur et la puissance des premières heures du risorgimento italien.

Giuseppe Verdi's Il Trovatore was based on a play by Gutierrez adapted by Salvtor Cammerano. Although the critics may complain about its lack of subtlety - it is filled with exactly the kinds of twists and unlikely coincidences that form the modern jokey stereotype of opera - 'Il Trovatore' will always be an audience favorite because of its wealth of great music. Verdi was stirred to the height of his inspiration by this work and from its premiere it was an even greater success than its predecessor 'Rigoletto'. The importance of Verdi's 'Il Trovatore' lies in its music; it displays some of the most ingratiating and beautiful melodies he ever wrote. This edition ofthe Vocal Score is in Italian with an English translation by Natasha McFarren and an essay by E. Irenaeus Stevenson.

Aroldo (1857) vingt deuxième des trente deux opéras de Giuseppe Verdi est sans nul doute l'une des œuvres les plus méconnues du « génie de Busseto ». L'immense succès des opéras de la trilogie dite « populaire » - Rigoletto Le Trouvère et La Traviata - composés durant cette même période détourna l'attention du public et Aroldo ne fut pas reconnu à sa juste valeur. Cet arrangement pour Orchestre d?Harmonie révèle pourtant une remarquable finesse du style et contient des instants de pur lyrisme. Aroldo débute sur un brillant solo de trompette le plus long que Verdi ait écrit pour cet instrument.

Vocal Score-Full Vocal score of Giuseppe Verdi's successful and resoundingly popular opera Aida. With Italian and English lyrics and synopsis in Italian English French and German. Commissioned by the khedive of Egypt to celebrate the opening of the Suez Canal Aida was first performed at the Cairo Opera Theatre on the 24th of December 1871. The following year it received its Italian premiere at the Teatro alla Scala in Milan. Verdi set the narrative with a variety of theatrical and musical solutions that effectively illustrate the love story in all its intricate excess resulting in unavoidable tragedy when the volatile and entangled dimensionof personal passions clashes with the power of patriotic conscience.

Edited by David Rosen-The Works of Giuseppe Verdi is the first critical edition of the composer’s oeuvre. Together with his operas the series presents his songs his choral music and sacred pieces and his string quartet and other instrumental works. This edition of Messa da Requiem is based on Verdi’s autograph score and other original sources. The appendices include two pieces from the compositional history of the Requiem: an early version of the Libera me composed in 1869 as part of a collaborative work planned as a memorial to Rossini and the Liber scriptus which in the original score of the Manzoni memorial Requiem was composed as a fugue for chorus. The introduction to the score tracesthe complex compositional and performance histories of the Requiem and discusses the work’s problems of instrumentation and notation while the critical commentary gives a full description of the sources and an account of all editorial decisions.

Aroldo (1857) vingt deuxième des trente deux opéras de Giuseppe Verdi est sans nul doute l'une des œuvres les plus méconnues du « génie de Busseto ». L'immense succès des opéras de la trilogie dite « populaire » - Rigoletto Le Trouvère et La Traviata - composés durant cette même période détourna l'attention du public et Aroldo ne fut pas reconnu à sa juste valeur. Cet arrangement pour Orchestre d?Harmonie révèle pourtant une remarquable finesse du style et contient des instants de pur lyrisme. Aroldo débute sur un brillant solo de trompette le plus long que Verdi ait écrit pour cet instrument.

Cette oeuvre rassemble trois fragments de trois célèbres opéras de Giuseppe Verdi. L?éclatante ouverture est donnée par la Marche triomphale extrait d?Aïda suivie par deux motifs distincts de La force du destin auxquels succèdent le célèbre refrain gitan du Trouvère. L?arrangement pour orchestre d?harmonie de Wil van der Beek est une scintillante reprise de cette incontournable musique d?opéra connue et aimée de tous.

Cette oeuvre rassemble trois fragments de trois célèbres opéras de Giuseppe Verdi. L?éclatante ouverture est donnée par la Marche triomphale extrait d?Aïda suivie par deux motifs distincts de La force du destin auxquels succèdent le célèbre refrain gitan du Trouvère. L?arrangement pour orchestre d?harmonie de Wil van der Beek est une scintillante reprise de cette incontournable musique d?opéra connue et aimée de tous.