This beautiful and varied solo work full of lyricism and technique is a challenge for every euphonium player. 'Symphonic Rhapsody' is not just a solo with an accompaniment but certainly a fascinating interplay between solo and orchestra. The theme exposed by the euphonium is known as 'Old Chariot' and this theme is varied throughout the piece. Dit fraaie en gevarieerde solowerk vol lyriek en techniek is een uitdaging voor iedere euphoniumblazer.De 'Symphonic Rhapsody' is ook niet enkel een solo met een begeleiding maar wel degelijk een boeiend samenspel tussen solo en orkest. Het thema dat na 25 maten door de euphonium wordt voorgedragen is bekendonder de naam 'Old Chariot' en op dit thema wordt gedurende het werk gevarieerd.

Ole Olsen (4 July 1850 - 4 November 1927) was a Norwegian organist composer conductor and military musician. Originally written for piano this lovely tender lullaby has been arranged by Tom Brevik for fanfare band and solo quartet.There are three (optional) quartets delivered: 1. Soprano Sax / Alto Sax 1/Alto Sax 2/Tenor Sax 2. Soprano Sax 1/Soprano Sax 2/Alto Sax / Tenor Sax 3. Trumpet / Cornet / Flugelhorn 1 -Trompet/Cornet/Flugelhorn 2 - Horn (F / Eb) - Euphonium / Baritone (Bb / treble clef) Ole Olsen (4 juli 1850 - 4 november 1927) was een Noors componist organist dirigent en militaire muzikant. Oorspronkelijk geschrevenvoor piano werd dit mooie tedere slaapliedje gearrangeerd door Tom Brevik.Een kwartet met begeleiding van het fanfare-orkest is een ongebruikelijke combinatie. Waarom eigenlijk? Er worden 3 (optionele) kwartetten aangeleverd: 1. Sopraan Sax/Alt Sax 1/Alt Sax 2/Tenor Sax 2. Sopraan Sax 1/Sopraan Sax 2/alt Sax/Tenor Sax 3. Trompet/Cornet/Flugelhorn 1 -Trompet/Cornet/Flugelhorn 2 - Hoorn (F/Eb) - Euphonium/Bariton (Bb/g-sleutel)

Par SPARKE PHILIP. Till We Meet Again est une commande du Floraskulen Brassband de Florø, en Norvège, en hommage à son ancien tubiste, Gunstein Strømsnes, décédé prématurément en 2017 dans un accident de la route. L’œuvre a été créée en décembre 2018. Après une courte introduction, un solo d’euphonium entonne une mélodie modale de style traditionnel. Celle-ci est reprise par le bugle et mène à une série de courts solos qui se fusionnent en un choral majestueux pour l’orchestre entier. L’ambiance s’apaise pour réintroduire la mélodie modale, après quoi des allusions à l’introduction et une courte cadence d’euphonium mènent tranquillement l’œuvre à sa conclusion. / Date parution : 2022-07-20/ Répertoire / Fanfare

Il pourrait paraître surprenant qu?un ensemble japonais puisse commander une pièce pour orchestre de fanfare puisque l?on rencontre surtout ce type de formation en Belgique aux Pays-Bas et au Luxembourg ainsi qu?en France et en Suisse. Senzoku Gakuen l?une des plus grandes et plus prestigieuses académies de musique du Japon compte une grande variété d?ensembles et d?orchestres. En 2006 s?y est ajouté un orchestre de fanfare fondé par Sotaru Fukaishi un professeur d?euphonium qui pensait qu?il était nécessaire d?offrir de plus larges possibilités aux cuivres de la région. Depuis qu?il avait assisté au World Music Contest de Kerkrade (Pays-Bas) plusieurs années auparavant Fukaishi se prit de passion pour le son chaud et généreux de l?orchestre de fanfare une formation atypique au Japon. Jan Van der Roost a favorablement adhéré à cette nouvelle initiative tandis que Manu Mellaerts collabora avec les deux hommes afin de concrétiser certains projets. Le professeur Kazuo Tomioka doyen du collège de musique soutint vigoureusement l?orchestre et commanda Ostinati. La création de l?oeuvre fut donnée le 11 juin 2011 au Maeda Hall de Mizonokuchi (Kawasaki) où se trouve Senzoku Gakuen. La pièce débute avec un impressionnant solo de timbales précédant l?entrée des cuivres et des saxophones. La pulsion rythmique est constante la musique est énergique et de caractère affirmé. Une mélodie pentatonique émerge graduellement alors que la trame musicale diminue d?intensité et s?adoucit. L?ostinato à la percussion revient fréquemment et la première partie de l?oeuvre se termine dans un climat semblable à celui du début. Le deuxième mouvement doux et romancé débute avec un long passage en mode mineur joué par les saxophones. Le même thème apparaît alors en mode majeur et se développe peu à peu ; la musique s?intensifie pour arriver à un majestueux et orchestral forte dont les sonorités rappellent celles d?un orgue d?église. Puis le thème revient à sa tonalité mineure d?origine avec un changement d?instrumentation qui mène

Cette composition est idéale pour débuter ou clore un concert de Noël. A Christmas Herald (?Le Messager de Noël?) débute avec une fanfare majestueuse qui cède sa place à l?exposition d?un thème lyrique qui forme un contrechant au noël Hark the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) introduit par les trombones et l?euphonium. La mélodie de ce célèbre chant de noël revient progressivement vers la fanfare initiale qui clôt l?œuvre sur un ton toujours aussi solennel.

Par VAN DER ROOST JAN. Knocking at Heaven's Gate (Aux portes du paradis) nous met brièvement en contact avec le paradis par le biais de la musique. L??uvre comporte de splendides solos pour euphonium et bugle, un rôle de premier plan pour les trompettes et trombones, mais l?orchestre entier prendra grand plaisir à l?interpréter. Des échos aériens, des mélodies expressives, de puissants tuttis et des accords éclatants : les plaisirs sont nombreux pour tout le monde, y compris votre public. / Date parution : 2022-10-12/ Répertoire / Fanfare

ette suite en 3 parties d?crit 3 endroits importants de Norv?ge.? Rjukan ? est connue pour sa centrale hydro?lectrique et c?est aussi une destination pris?e de week-end chez les Norv?giens.Dans ? Bryggen ? le compositeur d?crit le vent froid et glacial le long du quai de ce vieux port de Bergen qui au cours de l?histoire fut ravag? par plusieurs catastrophes.? Slottet ? d?crit musicalement le Palais Royal d?Oslo et l?activit? des rues commer?antes anim?es toutes proches. Vous trouverez de plus amples informations sur notre site web.Partie 1 : ? Rjukan ? est une petite ville de la r?gion montagneuse de Norv?ge centrale. Rjukan est surtout connue pour sa centralehydro?lectrique. On y trouve aussi diff?rentes infrastructures r?cr?atives. Beaucoup de Norv?giens citadins y poss?dent une hytte dans laquelle ils viennent passer le week-end ou les vacances.Une introduction courte mais majestueuse exprime le th?me principal qui revient tout au long de l??uvre. Vient ensuite un allegro enjou? dans lequel se retrouvent tous les groupes instrumentaux.Partie 2 : ? Bryggen ? est le quai du vieux port de la ville hans?atique de Bergen. Vers le 13e si?cle Bergen fut une des villes hans?atiques. Le commerce avec d?autres pays s?y d?veloppa rapidement. Le quai du port baptis? Bryggen en ?tait le centre.Au 14e si?cle on y comptait une trentaine de maisons que se partageaient diverses firmes commerciales. Les maisons ont ?t? plusieurs fois incendi?es et reconstruites. Depuis 1980 58 b?timents en bois ont ?t? inscrits au Patrimoine Mondial de l?Unesco.Dans cette partie le compositeur d?crit ce vieux port. Les musiciens imitent le vent froid et glacial en faisant un bruit de souffle avec la bouche. Un premier th?me ? l?euphonium d?crit l?histoire dramatique de cet endroit. Le solo qui lui fait suite est en fait le deuxi?me th?me ? d?guis? ?. Ces deux th?mes se rejoignent dans un grandioso.Partie 3 : ? Slottet ? est le palais royal qui se trouve ? la fin de la plus importante rue commer?ante d?Oslo la Karl

Cathedrals have always appealed to the imagination. Hundreds of years of manpower have been invested in their building and it is not for nothing that today they represent imposing symbols of architecture and history. The cathedral is also a great source of inspiration for compositions drawing on a full palette of acoustic echo effects Gregorian melodies and organ based choral themes.The work ?Catedrals? opens with a five tone motif using double tonguing which resonates through space. Then comes a Gregorian antiphonal theme ?Salve Regina? which is heard in the euphonium and later combines with the opening motif. The quicker passage that follows is basedentirely on the intervals in the motif which by now has added rhythmic variations and develops in different forms including a fugue. The work then builds towards its first climax from which unusual muted sounds emerge creating an atmosphere shrouded in mystery.Gradually more melodious fragments are added to the Gregorian antiphonal theme which develops into an expansive choral emulating the organ and which rises above the sound mass. The work grows more powerful and brilliant in sound until it culminates in a short and explosive finale wherein elements from the whole work come together.

Dear Lord and Father of Mankind-Dear Lord and Father of Mankind (Seigneur et Père de l?Humanité) est un hymne composé par l'organiste anglais Frederick Charles Maker (1844-1927) d?après un poème de John Greenleaf Whittier. Jan de Haan nous offre une adaptation calme et cependant intense de cet air méditatif. L?euphonium joue un rôle important dans la première partie de la pièce conduisant à l?une des plus belles mélodies de tous les hymnes anglais.

Une aria (un air) est une grande mélodie vocale interprétée par un soliste accompagnée par l?orchestre. Elle permet une pause lyrique au cœur du drame. L?Aria de Robert Finn est écrite pour un soliste instrumental. La trame nous fait revivre l?atmosphère mélancolique et nostalgique des grands airs et musiques de films italiens (et celles d?Ennio Morricone en particulier). / La partie soliste convient à l?euphonium/baryton au trombone ou au bugle.