Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE. Richer than ever – Rameau’s “Zoroastre” in the version of 1756. Opera in five acts. Rameau’s revised version of his opera “Zoroastre”, which could be heard and seen between 20 January 1756 and 26 March 1757 at the Académie royale de musique, was favourably received. Also from today’s point of view the work profits dramaturgically from many of the changes and seems altogether richer and more tightly woven than the original of 1749. The subject matter of the libretto, derived from Ancient Persian sources, is timeless: the struggle between good and bad. The good is embodied by the religious reformer Zoroastre, a representative of the supreme light being Orosmade. He is opposed by the ambitious magician Abramane who serves Ariman, the spirit of the dark. The opera includes some of Rameau’s most ecstatic and spiritual musical numbers, such as the episode of sun worship in Act 3 with the sublime „Hymne à la Lumière“, which, for unknown reasons, was not integrated in the revision of 1756. It is therefore included in Appendix 3 of this Bärenreiter edition. Incidentally, with “Zoroastre” the prologue, wh ich had been customary since the beginnings of French opera in the 1670s, was abandoned. Instead Rameau was the first to introduce an overture which set the scene for the entire drama and thereby anticipated Gluck’s opera reform by many years. Here we present the instrumental numbers for concert performance. - Based on the first scholarly-critical edition, published as part of “Opera Omnia Rameau” - Instrumental numbers in order of performance, but also grouped by key in the list of contents, enabling them to be combined freely into orchestral suites - Published with performance material on hire / Date parution : 2022-11-08/ Répertoire / Orchestre

Symphonies. Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE. The heroic pastoral Daphnis et Eglé was performed only once, on 29 October 1753, for the entertainment of King Louis XV at Fontainebleau and remained unpublished until today. Our complete edition (BA 8862) is based on Rameau's autograph manuscript, a copy of the separate parts, and the libretto published by Ballard in 1753. A comparison of the sources reveals two versions of the work: the original version and the one revised for Fontainebleau, whereby the differences lie mainly in the final divertissement. This edition recommends the Fontainebleau version—which is actually more complete in its musical form, in particular with its overture and two ariettas—but alsoreconstructs the original state of the final divertissement (presented in the appendix) before it was revised. Here we present the instrumental numbers from both operas for concert performance. Based on the first scholarly-critical edition, published as part of “Opera Omnia Rameau Instrumental numbers in order of performance, but also grouped by key in the list of contents, enabling them to be combined freely into orchestral suites Published with performance material on hire/ Répertoire / Orchestre

Zais a été le premier opéra de Rameau Entièrement consacré à 'la féerie' - le monde enchanté des mythes du Moyen-Orient, avec ses génies et fantasmatique êtres aériens. Créé à l'Opéra de Paris le 29 Février 1748, le travail a été beaucoup loué pour la force, l'élégance et la diversité de la musique et son pour la grâce de ses ballets. Cameo althoug Cahusac livre de critiques, cette oeuvre charmante prouvé populaire: il a été relancé en 1761 et 1769, l'entaillage jusqu'à plus de 100 représentations d'une période de plus que durant deux décennies.Cette édition est la première d'une série qui réunit les symphonies (pièces pour orchestre et danses) d'opéras publiés dans 'oeuvres complètes de Rameau'.Présenté dans l'ordre dans lequel ils apparaissent dans les oeuvres, ces pièces proviennent de l'édition critique de la partition complète (BR IV.15) et de conserver les numéros de bar et des marques de référence dans ce volume. Cela permet aux artistes référents si nécessaire qui apparaissent aux notes critiques uniquement dans l'édition critique de la partition complèteIl est délivré des dizaines de symphonies scène avec matériel d'orchestre. / Orchestre

Par LARUETTE JEAN-LOUIS. D'un petit volume déniché un peu par hasard à la bibliothèque de l'Arsenal a germé, après un jeu de piste passionnant, un opéra-comique : Cendrillon. C'est une ?uvre à tiroir, reflet d'une époque très particulière de la musique française, se glissant entre la fin du baroque flamboyant et le classicisme naissant. Le compositeur mêle des airs célèbres d'opéras (qu'il emprunte à des compositeurs comme Jean-Philippe Rameau, Egidio Duny, les parodiant parfois), à des chants populaires (les vaudevilles qui, par référence au texte original, permettaient le jeu de mot, le double sens) et compose ses propres pièces, qu'il adapte parfaitement au texte du librettiste Louis Anseaume. Rejouée pour la première fois en 2005 en version concert par l'ensemble Les Monts du Reuil à Vincennes, cette Cendrillon de 1759 n'a pas été sans poser beaucoup de questions. Nous tenions à respecter l'esprit d'une interprétation « baroque » attentive, tout en acceptant l'espace de liberté et de création suggéré par le genre. Nos choix s'appuient sur les conseils de musicologues et nous assumons la part évidente d'incertitude inhérente à l'interprétation d'un opéra-comique en vaudevilles de cette période. Soulignons que c'est devant la grande qualité du livret de Louis Anseaume et des airs de Jean-Louis Laruette que nous avons entrepris ce travail : Cendrillon nous dévoile un compositeur sensible qui s'exprime en demi-teintes et nous touche par ses mélodies tendres et délicates./ Répertoire / Conducteur