He lived in the shadow of death painfully aware of the tuberculosis that would kill him prematurely. But Frédéric Chopin attained immortality with his Piano works which endure as pinnacles of the instrument's repertoire. This biography by one of the nineteenth century's foremost pianists--Chopin's friend and fellow artist Franz Liszt--offers a highly informed assessment of the Polish composer's musical legacy. It is further enlivened by the author's personal acquaintance with Chopin's other friends who constituted the very cream of Parisian intellectual and artistic society.Born a year apart Chopin andLiszt came of age in an era favorable to musical change when audiences as well as performers were receptive to Romanticism's innovations. Liszt surveys the technical brilliance as well as the poetry of Chopin's masterpieces including the 'Adagio' from Piano Concerto No. 2 and Polonaise in F-sharp Minor. He also chronicles Chopin's progress from child prodigy to the darling of Parisian salons. A source of rare and unparalleled insights into Chopin's world of private anguish and public triumph this memoir recounts the composer's loneliness as a Polish emigré his tempestuous romance with George Sand and his life among a glittering social set that included Balzac Hugo Berlioz Delacroix and Schumann.Reprint of the Oliver Ditson Company Boston 1880 edition.

Personnage central du mouvement romantique, le hongrois Franz Liszt (1811-1886) enflamma dès sa jeunesse toute l?Europe par ses dons exceptionnels de virtuose qui développa les possibilités techniques de
son instrument de prédilection, le piano, et donna une nouvelle stature au métier de pianiste soliste.. Mais sa gloire tient aussi à ses talents de compositeur. Il oeuvra inlassablement pour promouvoir les oeuvres de ses confrères et enseigner aux générations suivantes de pianistes et de compositeurs. / Livre /

de Franz Liszt (Auteur), Pierre Brunel (Préface) - (Français) Poche – 6 janvier 2010 - Virtuose polonais exilé à Paris, Frédéric Chopin (1810-1849), rongé par la maladie, s'éteint à 39 ans. Son oeuvre, l'une des plus atypiques du répertoire romantique, fixe pour longtemps le sens de ces formes neuves que sont la Ballade, l'Impromptu, la Polonaise ou le Nocturne, et de ce tempo chopinien qu'est le rubato, " cette règle d'irrégularité ".Demeuré son sincère admirateur malgré les rivalités amoureuses et artistiques, Franz Liszt entreprend, dès la mort de Chopin, de " faire parler son affliction sur sa pierre sépulcrale ". Dans ses oeuvres, écrit-il, " on retrouve les traces des souffrances aiguës qui le dévoraient, comme on trouverait dans un beau corps celles des griffes d'un oiseau de proie ". Son livre, rédigé avec la complicité de la princesse russo-polonaise Carolyne de Sayn-Wittgenstein, son amie et secrétaire, paraît de février à août 1851 dans La France musicale. " Livre remarquable sous le rapport du style et de la fantaisie ", en dira Théophile Gautier. Quant à George Sand : " Un peu exubérant de style, mais rempli cependant de très belles pages. "En 1878, Liszt confiera à la princesse Wittgenstein une réédition de ce témoignage, lestée de joliesses et de digressions. C'est la version originale que nous publions. Liszt y défend l'" enfermement " de Chopin dans le piano et souligne la richesse de son expression musicale. Il célèbre également son sens de l'humour et de l'honneur, son charme, s'attache à décrire une soirée dans le salon de Chopin, avant d'évoquer les derniers instants de sa vie.