Arr. Yves Bouillot. Par TRADITIONNEL. 8'29 / Niveau : 3 / Orchestre / Recueil / Musique sacrée et Noëls

Arr. Yves Bouillot. Par TRADITIONNEL. 8'29 / Niveau : 3 / Orchestre / Recueil / Musique sacrée et Noëls

The Sacred Harp (La Harpe Sacrée) est un livre de chants religieux nés dans le Sud rural des États- Unis au XIXe siècle. James Curnow a puisé dans le vaste trésor que forment ces psaumes et mélodies polyphoniques chantés a capella et écrits en notation différenciée. Inventions from The Sacred Harp est un ensemble d?inventions qui constituent une série de variations sur la mélodie du Psaume 23.

Par CURNOW JAMES. The Sacred Harp (La Harpe Sacrée) est un livre de chants religieux nés dans le Sud rural des États- Unis au XIXe siècle. James Curnow a puisé dans le vaste trésor que forment ces psaumes et mélodies polyphoniques chantés a capella et écrits en notation différenciée. Inventions from The Sacred Harp est un ensemble d’inventions qui constituent une série de variations sur la mélodie du Psaume 23. / Niveau : 5 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Le 29 mai 2013 voit le 100e anniversaire de la première à Paris d'un travail une fois-dans-un-siècle: Igor Stravinsky 'Le Sacre du Printemps'. Cette date, qui est monumentale pour la musique et le ballet historiographie semblables, marque la percée de l'ère moderne.Pour marquer cet événement, la Fondation Paul Sacher à Bâle qui maintient la succession Stravinsky publie une édition anniversaire en trois volumes: deux fac-similés annotés - la partition autographe ainsi que la version pour piano à quatre mains - et un livre avec des contributions par des chercheurs de pointe. Un enrichissante, sinon édition indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à la musique et de l'art moderne! / Orchestre

La partition Sinfonia Sacra Pour Le Jour De Paques Partition D'OrchestreA CordesIn 8 Poche de Charpentier J. a été composée pour Conducteur et Poche et plus particulièrement pour Conducteur Et Poche. Cette partition musicale est éditée par une des nombreuses maisons d'édition française à savoir Leduc. Cette oeuvre musicale fait partie intégrante des oeuvres de style Classique. / Conducteur Et Poche / Partition

Indian Sketches. Par DE HAAN JACOB. Les Indiens Dakota (Sioux) des États américains du Dakota du Nord et du Dakota du Sud sont au centre de cette fresque musicale, dans laquelle Jacob de Haan dépeint certains aspects de leur culture et de leur histoire. Dans plusieurs mouvements de cette oeuvre, le compositeur a intégré une mélodie indienne ancienne provenant du Dakota du Sud. 1. Le Grand Esprit : la culture des Indiens Dakota était liée à la terre et au monde des esprits. Dans leurs croyances, le Grand Esprit avait créé la terre en jetant une balle noire dans l’eau, puis il prit une deuxième balle et créa les êtres vivants. 2. La chasse au bison : courir à bride abattue vers un bisonvigoureux nécessitait beaucoup d’adresse et de courage. Pourtant, les hommes attendaient impatiemment l’occasion de pouvoir faire leurs preuves à la chasse. 3. Fumer le calumet : le calumet était le symbole de la paix. On l’utilisait pour sceller une entente entre les hommes et les nations. Fumer le calumet était un gage de bonne volonté. Et lorsqu’un homme-médecine fumait le calumet, il communiait avec le Grand Esprit. 4. The Ghost Dance (“La Danse des Esprits”) Pour faire renaître l’espoir, les Indiens exécutaient une danse religieuse accompagnée d’incantations et des chants rituels. En 1890 à Wounded Knee, l’armée fédérale a ouvert le feu sur tous ceux qui célébraient la Ghost Dance. 5. Les pèlerins de Wounded Knee : la tragédie de Wounded Knee est un moment douloureux dans l’histoire des nations indiennes. Ils sont encore nombreux à faire un pèlerinage sur cette colline sacrée, balayée par le vent, où tant d’innocents ont été massacrés. / Niveau : 2.5 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Brass Band

Indian Sketches. Par DE HAAN JACOB. Les Indiens Dakota (Sioux) des États américains du Dakota du Nord et du Dakota du Sud sont au centre de cette fresque musicale, dans laquelle Jacob de Haan dépeint certains aspects de leur culture et de leur histoire. Dans plusieurs mouvements de cette oeuvre, le compositeur a intégré une mélodie indienne ancienne provenant du Dakota du Sud. 1. Le Grand Esprit : la culture des Indiens Dakota était liée à la terre et au monde des esprits. Dans leurs croyances, le Grand Esprit avait créé la terre en jetant une balle noire dans l’eau, puis il prit une deuxième balle et créa les êtres vivants. 2. La chasse au bison : courir à bride abattue vers un bisonvigoureux nécessitait beaucoup d’adresse et de courage. Pourtant, les hommes attendaient impatiemment l’occasion de pouvoir faire leurs preuves à la chasse. 3. Fumer le calumet : le calumet était le symbole de la paix. On l’utilisait pour sceller une entente entre les hommes et les nations. Fumer le calumet était un gage de bonne volonté. Et lorsqu’un homme-médecine fumait le calumet, il communiait avec le Grand Esprit. 4. The Ghost Dance (“La Danse des Esprits”) Pour faire renaître l’espoir, les Indiens exécutaient une danse religieuse accompagnée d’incantations et des chants rituels. En 1890 à Wounded Knee, l’armée fédérale a ouvert le feu sur tous ceux qui célébraient la Ghost Dance. 5. Les pèlerins de Wounded Knee : la tragédie de Wounded Knee est un moment douloureux dans l’histoire des nations indiennes. Ils sont encore nombreux à faire un pèlerinage sur cette colline sacrée, balayée par le vent, où tant d’innocents ont été massacrés. / Niveau : 2.5 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Indian Sketches. Par DE HAAN JACOB. Les Indiens Dakota (Sioux) des États américains du Dakota du Nord et du Dakota du Sud sont au centre de cette fresque musicale, dans laquelle Jacob de Haan dépeint certains aspects de leur culture et de leur histoire. Dans plusieurs mouvements de cette oeuvre, le compositeur a intégré une mélodie indienne ancienne provenant du Dakota du Sud. 1. Le Grand Esprit : la culture des Indiens Dakota était liée à la terre et au monde des esprits. Dans leurs croyances, le Grand Esprit avait créé la terre en jetant une balle noire dans l’eau, puis il prit une deuxième balle et créa les êtres vivants. 2. La chasse au bison : courir à bride abattue vers un bisonvigoureux nécessitait beaucoup d’adresse et de courage. Pourtant, les hommes attendaient impatiemment l’occasion de pouvoir faire leurs preuves à la chasse. 3. Fumer le calumet : le calumet était le symbole de la paix. On l’utilisait pour sceller une entente entre les hommes et les nations. Fumer le calumet était un gage de bonne volonté. Et lorsqu’un homme-médecine fumait le calumet, il communiait avec le Grand Esprit. 4. The Ghost Dance (“La Danse des Esprits”) Pour faire renaître l’espoir, les Indiens exécutaient une danse religieuse accompagnée d’incantations et des chants rituels. En 1890 à Wounded Knee, l’armée fédérale a ouvert le feu sur tous ceux qui célébraient la Ghost Dance. 5. Les pèlerins de Wounded Knee : la tragédie de Wounded Knee est un moment douloureux dans l’histoire des nations indiennes. Ils sont encore nombreux à faire un pèlerinage sur cette colline sacrée, balayée par le vent, où tant d’innocents ont été massacrés. / Niveau : 2.5 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Jacob De Haan. Par ALBINONI TOMASO. Tomaso Albinoni (1671-1751) est né à Venise. Il est le fils aîné d’un riche marchand. Dès son plus jeune âge, il développe un réel talent pour le chant et surtout pour le violon, et se met rapidement à composer. Albinoni a vécu et travaillé toute sa vie durant à Venise, mais a également séjourné à Florence et à Munich. Dans sa jeunesse, Albinoni compose de la musique sacrée mais sans grand succès. En 1694, il attire l’attention du public vénitien lors de la représentation de son premier opéra Zenobia, Regina de Palmireni (Zenobia, reine de Palmireni). Ses premières oeuvres de musique instrumentale datent de la même année. Par la suite, Albinoni se consacre surtout à lacomposition d’oeuvres vocales (opéras et cantates) et instrumentales (sonates et concertos). C’est en travaillant sur la biographie d’Albinoni, au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, que le musicologue milanais, Remo Giazotto, découvre à la Bibliothèque Nationale de Dresde, un manuscrit inédit, sur lequel est basé le célèbre Adagio. Il semblerait que les six mesures de la mélodie et la ligne de basse retrouvées aient constitué un passage d’un mouvement lent d’une sonate à trois. Vers 1945, en partant de ces éléments, Remo Giazotto reconstitue une oeuvre, célèbre de nos jours, comme l’Adagio d’Albinoni, alors qu’Albinoni lui-même ne serait probablement plus en mesure de reconnaître sa pièce. / Niveau : 2 / Répertoire / Brass Band

Arr. Jacob De Haan. Par ALBINONI TOMASO. Tomaso Albinoni (1671-1751) est né à Venise. Il est le fils aîné d’un riche marchand. Dès son plus jeune âge, il développe un réel talent pour le chant et surtout pour le violon, et se met rapidement à composer. Albinoni a vécu et travaillé toute sa vie durant à Venise, mais a également séjourné à Florence et à Munich. Dans sa jeunesse, Albinoni compose de la musique sacrée mais sans grand succès. En 1694, il attire l’attention du public vénitien lors de la représentation de son premier opéra Zenobia, Regina de Palmireni (Zenobia, reine de Palmireni). Ses premières oeuvres de musique instrumentale datent de la même année. Par la suite, Albinoni se consacre surtout à lacomposition d’oeuvres vocales (opéras et cantates) et instrumentales (sonates et concertos). C’est en travaillant sur la biographie d’Albinoni, au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, que le musicologue milanais, Remo Giazotto, découvre à la Bibliothèque Nationale de Dresde, un manuscrit inédit, sur lequel est basé le célèbre Adagio. Il semblerait que les six mesures de la mélodie et la ligne de basse retrouvées aient constitué un passage d’un mouvement lent d’une sonate à trois. Vers 1945, en partant de ces éléments, Remo Giazotto reconstitue une oeuvre, célèbre de nos jours, comme l’ Adagio d’Albinoni, alors qu’Albinoni lui-même ne serait probablement plus en mesure de reconnaître sa pièce. / Niveau : 2 / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Jacob De Haan. Par ALBINONI TOMASO. Tomaso Albinoni (1671-1751) est né à Venise. Il est le fils aîné d’un riche marchand. Dès son plus jeune âge, il développe un réel talent pour le chant et surtout pour le violon, et se met rapidement à composer. Albinoni a vécu et travaillé toute sa vie durant à Venise, mais a également séjourné à Florence et à Munich. Dans sa jeunesse, Albinoni compose de la musique sacrée mais sans grand succès. En 1694, il attire l’attention du public vénitien lors de la représentation de son premier opéra Zenobia, Regina de Palmireni (Zenobia, reine de Palmireni). Ses premières oeuvres de musique instrumentale datent de la même année. Par la suite, Albinoni se consacre surtout à lacomposition d’oeuvres vocales (opéras et cantates) et instrumentales (sonates et concertos). C’est en travaillant sur la biographie d’Albinoni, au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, que le musicologue milanais, Remo Giazotto, découvre à la Bibliothèque Nationale de Dresde, un manuscrit inédit, sur lequel est basé le célèbre Adagio. Il semblerait que les six mesures de la mélodie et la ligne de basse retrouvées aient constitué un passage d’un mouvement lent d’une sonate à trois. Vers 1945, en partant de ces éléments, Remo Giazotto reconstitue une oeuvre, célèbre de nos jours, comme l’Adagio d’Albinoni, alors qu’Albinoni lui-même ne serait probablement plus en mesure de reconnaître sa pièce. / Niveau : 2 / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Brass Band