Suites for Guitar Solo

This collection provides 50 arrangements from Bach's works arranged specifically for the classical guitarist including more than 35 pieces never before arranged for Guitar. Each piece is written out in standard notation as well as in Guitar TAB. The accompanying audio tracks available to download online include complete performances of all pieces. Enjoy music from Bach's cantatas oratorios the famous Passions sontatas suites and more!

Description Bach Lute Suites For Guitar Edited and fingered by Jerry Willard. The complete works for lute solo by Johann Sebastian Bach, newly transcribed and annotated. Songlist Fuge Prelude Prelude, Fuge And Allegro Suite I Suite II Suite III Suite IV

Clubs Among Jokers is the third of four suites for solo Guitar collectively entitled Tales From A Hand each of which takes its point of departure from one of the four suits of playing cards.

Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Bien que Johann Sebastian Bach n'a pas écrit toute musique pour guitare, transcriptions de sa chaîne non accompagnés de musique et de la musique pour luth ont longtemps été une partie du répertoire de la guitare. Malgré le respect que les commandes de cette musique entre les musiciens et débat public existe toujours sur ce qui constitue un moyen approprié de transcription, d'interpréter et de faire de cette musique à la guitare. C'est ce débat qui a poussé cette édition tant attendue des suites pour violoncelles non accompagnés de Bach par érudit et concert guitaristes Stanley Yates. Ce travail définitif comprend les scores de rendement, les scores de comparaison et un guide inestimable de 40 pages intitulé Arranging, interprétation et l'exécution de la musique de J.S. Bach. En outre, l'auteur offre des commentaires sur son processus d'arrangeur et suggestions sur l'utilisation de cette édition, y compris : l'ornementation, insultes, doigtés, notation et mise en oeuvre des résultats des comparaison. Ecrit en notation standard dans les clés de guitare facile. Le CD d'accompagnement inclus co... / Niveau : Intermédiaire / Classic - Solos / Répertoire / Guitare Classique

26 Pieces Arranged For Guitar - Stanley Yates (Transcribed). Par STANLEY YATES. Cette édition complète réunit toutes les pièces standard de l'adopté Albeniz ' répertoire de guitare ' avec des pièces supplémentaires que beaucoup d'autres regroupements et les suites complet publié au cours de la durée de vie du compositeur. Ces dispositions solos ont été prises tout en consultant les premières éditions des originaux piano, et sont fidèles aux indications de tempo Albeniz, dynamique, phrasé insultes et autres marques d'expression. Les sélections sont : Pavana-Capriccio, Opus 12 (1992) - Suite espanola, opus 47 (1886) - Recuerdos de viaje, opus 92 (1888) - Doce piezas espanolas, opus 164 (1889) - Espana, seis hojas de album, opus 165 (1890) - Sérénade espanola (Cadix, Canción), op. 181 (1890) - Mallorca, barcarola, opus 202 (1890) - Zambra granadina, danse orientale, WoO (1891) - Cadix-gaditana, WoO (1891) - et Chants d'Espagne, opus 232 (1891-1894). Soigneusement étudié et méticuleusement doits de la manière savante, on s'attendrait de Stanley Yates. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classic - Solos / Répertoire / Guitare Classique

Par MARTIN JUAN. Four exciting concert solos for flamenco guitar from Juan Martín's best-selling album 'The Andalucian Suites'. This is the first of the four suites on the album. These suites are transcribed into standard notation and flamenco tablature (cifra), with introductory playing notes by Juan Martín. The four solos on the accompanying CD are performed by Juan. The complementary and contrasting variety of styles and rhythms of the four solos provide a brilliant display of Juan's artistry and the expressive capabilities of the flamenco guitar. Each solo is complete in itself. A powerfully evocative Zambra Mora is followed by the much-requested rumba 'La Feria', then a gently melancholic Milonga and finally a thrilling Bulerías, which combines modern elements with pure gypsy falsetas from Moron del la Frontera. These solos provide an exceptional opportunity to learn and enjoy the music of a master flamenco guitarist, whose two volumes of graded 'Solos Flamencos' are already Mel Bay best-sellers. / Niveau : Intermédiaire / Flamenco - Solos / Tablatures / Guitare Tablatures Classique

All six of J.S. Bach's essential suites for unaccompanied Cello are arranged here for Bass Guitar in standard notation and tablature.Includes: Suite No. 1 in G Major BWV 1007 • Suite No. 2 in D Minor BWV 1008 • Suite No. 3 in C Major BWV 1009 • Suite No. 4 in Eb Major BWV 1010 • Suite No. 5 in C Minor BWV 1011 • Suite No. 6 in D Major BWV 1012.

Six Solos Arranged For Classical Guitar. Par NESTOR AUSQUI. Guitariste argentin virtuose Néstor Ausqui présente des arrangements de quinze pièces, dont deux suites complètes par XVIIe-XIXe siècle compositeurs : Bach, Buxtehude, Couperin, Paradis, Telemann et Weiss. Tandis que les doits généreusement, une grande partie de cette musique est très ornementée et donc recommandée pour le guitariste intermédiaire à avancé. Ecrit en notation standard uniquement. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classic - Solos / Recueil / Guitare Classique

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet ?] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée ?] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Par GRANADOS ENRIQUE. Enrique Granados (1867-1916), un des plus grands compositeurs du XXe siècle l'Espagne, était un pianiste fine et un enseignant qui a composé de nombreuses oeuvres pour piano, son instrument de prédilection. Son Escenas Poeticas (scènes poétique) et Escenas Romanticas (scènes romantiques) sont deux suites qui montrent pianistique influences de Grieg, Schumann et Liszt. Ces deux suites ne sont pas aussi bien connus en Amérique, ne sont pas comme ' espagnol ' comme certains de ses autres oeuvres - cependant, ils reflètent encore style de composition originale du compositeur et de la belle écriture mélodique. Le Escenas Romanticas contient six pièces de facile à difficile, alors que la Escenas Poeticas a trois pièces principalement facile au milieu en difficulté. Il s'agit de la première transcription et l'arrangement de ces oeuvres pour guitare. Ils sont écrits en notation standard uniquement. / Niveau : Intermédiaire / Spanish - Solos / Répertoire / Guitare Classique et Fingerpick

Nine pieces for solo guitar-Timescapes brings together nine varied compositions with the aim of broadening the repertoire of the intermediate Guitarist. Three of the pieces were originally written in 1979 as part of a cycle inspired by time and bylandscapes. These have now been integrated with more recent pieces which draw on similar or related ideas. The whole set can be played as a continuous suite with First Light and Beneath The Stars taking us almostfull circle. The pieces can also be performed individually and smaller suites can be created by grouping maybe three or four pieces together.

Media Type : Book Level : Intermediate Musical Genre : Baroque Number of pages : 56 While many electric bassists study the Bach cello suites at some point, fewer attempt the sonatas and partitas for un- accompanied violin (BWV 1001-1006). Composed around 1720, the sonatas and partitas display rich polyphonic writing, unlike the simpler monophonic cello suites. This collection features a challenging but rewarding transcription of the complete A minor Violin Sonata (BWV 1002), which fits particularly well on the bass. Also included are the well-known gavotte en rondeau from the E major violin partita (BWV1006) and the complete A minor partita for solo flute (BWV 1013), transposed here to D minor. Finally, an arrangement of the familiar chorale Jesu, Joy of Man's Desiring (from BWV 147) takes advantage of the bass's natural and artificial harmonics. Performance notes are included. Written in notation and tablature for the 4-string electric bass.