SKU: DZ.DZ-4120
ISBN 9782898520372.
This fourth booklet is dedicated to ensemble playing through five trios and three quartets of various styles (tango, ballad, rock, etc.) appropriate for the end of primary school with a few years of experience and the beginning of secondary school. Some pieces are written in a homorhythmic manner and can constitute an introduction to ensemble music, while others are rather polyrhythmic. They can constitute a first contact with the following techniques and effects: staccato, pizzicato, accent, louré, natural harmonic, percussion or crossed strings. This volume is therefore intended for guitarists who already know the notes in first position. Two pieces include a more advanced part with an introduction to playing in 5th position. These are short pieces that do not present technical challenges other than those allowing you to achieve the effects and play expressively.You will find in the scores indications of nuances, timbre, attack and fingerings which constitute suggestions for work and not prescriptions. Teachers and students are therefore invited to make interpretation choices different from those proposed or to try to convincingly render those already written.The pieces were composed or arranged by UQAM music education students as part of a course aimed at equipping musicians for teaching guitar in the school system. Many of them are musicians from different backgrounds (composition, performance, world music, etc.), which explains the creativity found in the pieces. All the pieces have been the subject of an audio recording available on the Productions dâÂÂOz website and on YouTube. Search for àvos guitares, prêt, joue! Vol. 4.Isabelle Héroux, editor, professor, Department of Music, UQAM.Louis-Edouard Thouin-Poppe, assistant editor, arranger and engraver.Ce quatrième cahier est consacré au jeu en ensemble grâce àcinq trios et trois quatuors de styles variés (tango, ballade, rockâ¦) appropriés pour la fin du primaire avec quelques années dâÂÂexpérience et le début du secondaire. Certaines pièces sont écrites de manière homorythmique et peuvent constituer une initiation àla musique dâÂÂensemble, alors que dâÂÂautres sont plutôt polyrythmiques. Elles peuvent constituer un premier contact avec les techniques et effets suivants : staccato, pizzicato, accent, louré, harmonique naturelle, percussion ou cordes croisées. Ce volume sâÂÂadresse donc aux guitaristes qui connaissent déjàles notes en première position. Deux pièces comportent une partie plus avancée avec une initiation au jeu en Ve position. Ce sont des pièces courtes qui ne présentent pas de défis techniques outre ceux permettant de réaliser les effets et de jouer de manière expressive. Vous trouverez dans les partitions des indications de nuances, de timbre, dâÂÂattaque et de doigtés qui constituent des suggestions de travail et non des prescriptions. Ainsi, les enseignants et les élèves sont invités àfaire des choix dâÂÂinterprétation différents de ceux qui sont proposés ou àtenter de rendre de manière convaincante ceux déjàécrits.Les pièces ont été composées ou arrangées par des étudiants en enseignement de la musique de lâÂÂUQAM dans le cadre dâÂÂun cours qui vise àoutiller les musiciens pour lâÂÂenseignement de la guitare dans le système scolaire. Beaucoup dâÂÂentre eux sont des musiciens provenant dâÂÂhorizons différents (composition, interprétation, musique du monde, etc.) ce qui explique la créativité que lâÂÂon retrouve dans les pièces. Toutes les pièces ont fait lâÂÂobjet dâÂÂun enregistrement audio disponible sur le site des Productions dâÂÂOz et sur YouTube. Recherchez àvos guitares, prêts, jouez! Vol. 4.Isabelle Héroux, éditrice, professeure, Département de musique, UQAM.Louis-Edouard Thouin-Poppe, assistant éditeur, arrangeur et graveur.
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Francis Bebey est né à Douala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller à l'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé à La Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé à Paris où il a commencé des études d'anglais à la Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux Ã?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèlement, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. Ã? Paris, le jazz, la musique à la mode à cette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait à de nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre à jouer de l'instrument lui-même.Il a commencé à composer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain à Paris), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivement, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile à concilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique à l'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment à travers le piano à pouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun à la Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité à se produire, à donner des conférences ou à rencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité à faire partie du jury d'un concours de guitare classique à Caracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès à la fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didnâ??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: DZ.DZ-4244
ISBN 9782898521614.
La Sonate n° 6 Kharkiv pour guitare solo a été composée en 2021, à la fin du confinement lié au COVID-19. Ã? ce moment-là , ma famille et moi étions restés dans notre ville natale de Kharkiv (également connue sous le nom de Kharkov), en Ukraine, pendant près de deux ans. Nous considérions cette période de pandémie comme un désastre, mais nous avons réalisé plus tard que c'était en fait un moment plutôt heureux, car la guerre est arrivée dans notre pays quelques mois plus tard. Depuis 2022, une fraction considérable des 1,5 million de citoyens de Kharkiv ont quitté leur foyer, ceux qui sont restés vivent sous des attaques incessantes de missiles, et beaucoup ont été tués. Je voudrais dédier cette Sonate à la ville frontalière de Kharkiv et, surtout, à ses citoyens souffrant de la guerre.Pourtant, la musique de la Sonate n'a aucun programme spécifique. Ici, je donnerai un bref aperçu de ses principaux éléments de composition pour faciliter les interprétations futures.Les premier et quatrième mouvements de cette Sonate sont basés sur l'interaction entre le principe dodécaphonique et le centre tonal de sol majeur, naturel pour la guitare. En particulier, le premier mouvement est basé sur l'interaction de la triade de sol majeur Solâ??Siâ??Ré des cordes de guitare à vide 2â??3â??4, le motif ascendant 1 impliquant les notes Miâ??Fa#â??Laâ??Do# (à l'origine sur la première corde), et le motif descendant 2 utilisant les notes Miâ??Doâ??Sibâ??La (à l'origine sur la corde de basse 6). Ces éléments se complètent presque pour former douze tons (à l'exception du Fa manquant), et les motifs alternent avec des fragments ostinato où chaque note de la triade de sol majeur est déplacée pas à pas d'un demi-ton vers le haut ou vers le bas.Le deuxième mouvement est un Scherzo impliquant de nombreux demi-tons dans des accords accentués et des passages rapides, ainsi qu'un mouvement mélodique chromatique dans la voix de basse. Il est presque atonal dans certains fragments, mais a un centre tonal global de la mineur.Le troisième mouvement est un Adagio méditatif basé sur un thème composé dans l'échelle hexatonique Réâ??Miâ??Faâ??Sol#â??Laâ??Si et des accords ostinato impliquant les cordes de basse à vide Miâ??Laâ??Ré et le demi-ton Siâ??Do.Enfin, le quatrième mouvement est basé sur le thème dodécaphonique complet composé de deux phrases comprenant les motifs 1 et 2 du premier mouvement : Solâ??Faâ??Sibâ??Labâ??Doâ??Mibâ??Ré et Miâ??Siâ??Do#â??Laâ??Fa#. Ce thème est présenté dans ses formes prime et rétrograde. Il y a des dialogues entre la première corde, les basses et les cordes médianes à vide, similaires au premier mouvement. Ã? son apogée, le thème dodécaphonique est interprété en utilisant le mouvement parallèle de l'accord de sol majeur standard de la guitare avec les cordes médianes à vide sur douze positions.La Sonate a été créée en première et enregistrée (CD Naxos No. 8.574630) par le célèbre guitariste ukrainien Marko Topchii, qui a également vécu et étudié à Kharkiv. Je lui suis extrêmement reconnaissant pour l'interprétation brillante de cette pièce.Je suis très redevable envers Productions d'Oz d'avoir conservé mes notations originales là où celles-ci ne correspondent pas au style de l'éditeur.Sonata No. 6 Kharkiv for guitar solo was composed in 2021, in the end of the COVID-19 lockdown. At that time my family and I were staying in our home city of Kharkiv (also known as Kharkov), Ukraine for almost two years. We considered that pandemic period as a disaster, but later have realized that it actually was a rather happy time, because a war came to our homeland just a few months later. Since 2022 a considerable fraction of the 1.5 millions of Kharkiv citizens have left their homes, those who stayed have been living under ceaseless missile attacks, and many have been killed. I would like to dedicate this Sonata to the frontier city of Kharkiv and, most of all, to its citizens suffering from the war.Yet, the music of the Sonata does not have any specific program. Here I will give a brief overview of its main composition elements to facilitate future interpretations.The first and fourth movements of this Sonata are based on the interplay between the twelve-tone principle and the G-major tonal center, natural for the guitar. Namely, the first movement is based on the interaction of the G-major triad Gâ??Bâ??D of the open guitar strings 2â??3â??4, ascending motif 1 involving the notes Eâ??F#â??Aâ??C# (originally on the first string), and descending motif 2 using the notes E-â??Câ??Bbâ??A- (originally, on the bass string 6). These elements supplement each other to almost make up twelve tones (apart from the missing F), and the motifs alternate with ostinato fragments where each note in the G major triad is step-by-step moved by a semitone up or down.The second movement is a Scherzo involving numerous semitones in accented chords and fast passages, as well as chromatic melodic motion in the bass voice. It is almost atonal in some fragments, but has an overall tonal center of A-minor.The third movement is a meditative Adagio based on a theme composed within hexatonic scale Dâ??Eâ??Fâ??G#â??Aâ??B and ostinato chords involving open bass strings Eâ??Aâ??D and semitone Bâ??C.Finally, the fourth movement is based on the complete twelve-tone theme consisting of two phrases including motifs 1 and 2 from the first movement: Gâ??Fâ??Bbâ??Abâ??Câ??Ebâ??D and Eâ??Bâ??C#â??Aâ??F#. This theme is presented in its prime and retrograde forms. There are dialogues between the first string, basses and open middle strings, similar to the first movement. In the culmination, the twelve-tone theme is performed using the parallel motion of the standard guitar G-major chord with open middle strings across twelve positions.The Sonata was premiered and recorded (CD Naxos No. 8.574630) by the prominent Ukrainian guitarist Marko Topchii who has also lived and studied in Kharkiv. I am extremely grateful to him for the brilliant performance of this piece.I am greatly indebted to Productions dâ??Oz for keeping my original notations in places where these do not conform to the publisherâ??s style.
SKU: DZ.DZ-4287
ISBN 9782898522048.
Antônio Francisco Braga (1868-1945) belongs to the generation of Brazilian composers of the first republican period, aesthetically tied to romanticism, alongside Henrique Oswald (1852-1931), Leopoldo Miguez (1850-1902), Glauco Velásquez (1884-1914), and Barrozo Neto (1881-1941). Born in Rio de Janeiro, on April 15th, 1868, he began his musical studies at the Asilo dos Meninos Desvalidos, in 1876. In 1883, he enrolled at the Imperial Conservatório de Música where he studied harmony and counterpoint with Carlos de Mesquita – a former student of César Franck, Durand, and Massenet – and clarinet with Antônio Luís de Moura. Braga's first compositions date from this period: Sonho de Dante (1885), Dolce far niente (1886), the first Valse Romantique for piano (1886), among others.In 1887, he premiered his first symphonic work, Fantasia-Abertura. In 1890, being one of the finalists in a competition to choose the new Brazilian national anthem, Braga was awarded a scholarship to study in Europe, where he took classes with Jules Massenet at the Paris Conservatory. During this period, he wrote some of his most important symphonic works, Paysage, Cauchemar, Episódio Sinfônico, and Marabá (which was performed by Richard Strauss and the Vienna Philharmonic in 1920, in Brazil). His opera Jupyra is considered one of the greatest Brazilian compositions of that genre.Back in Brazil, he was appointed professor of counterpoint, fugue, and composition at the Instituto Nacional de Música, in 1902. There, some of the finest Brazilian composers studied with him, like Glauco Velásquez and Lorenzo Fernândez.Braga wrote operas, symphonic works, songs, sacred music, two Masses, music for piano, different chamber formations, band, and choir. He is the author of many patriotic hymns, the most popular of which is Hino à Bandeira (with lyrics by Olavo Bilac). He explored Brazilian nationalist elements in some of his works, as in Variações sobre um Tema Brasileiro and in the Trio for violin, cello and piano, whose third movement is based on a lundu (a musical genre and dance of Afro-Brazilian origin).In addition to being a composer, Braga was one of the most active conductors of his time, having been ahead of three orchestras in Rio de Janeiro: Instituto Nacional de Música, Sociedade de Concertos Sinfônicos, and Theatro Municipal. Braga conducted the Brazilian premiere of major symphonic works such as La Mer (Debussy), Pacific 231 (Honegger) besides other numerous Brazilian compositions.In 1938, he retired from Instituto Nacional de Música. He passed away on March 14th, 1945, in Rio de Janeiro.Unfortunately, Francisco Braga never wrote for the guitar. However, over a century ago his music had already been incorporated to its repertoire. According to information found in newspapers of the time, Spanish guitarist Josefina Robledo included transcriptions of pieces by Braga in her programs when she performed in Brazil: Gavota e Minuete (from the melodrama Contratador de Diamantes), in 1919, in São Paulo, and the waltz-caprice Corrupio, in 1921, in Rio de Janeiro.The piano score of Madrigal Pavane was dedicated to Alexina Leitão and published by Casa Vieira Machado, in 1901. According to the composer’s catalogue, there are two other versions of this piece: strings orchestra (1901) and quartet (which is still in manuscript). Dedicated to Braga’s childhood friend José de Souza Rocha, Timburibá (the name of a Brazilian tree) is a tango for piano from 1886, published by Narciso & Arthur Napoleão.Antônio Francisco Braga (1868-1945) appartient à la génération des compositeurs brésiliens de la première période républicaine, esthétiquement liés au romantisme, aux côtés de Henrique Oswald (1852-1931), Leopoldo Miguez (1850-1902), Glauco Velásquez (1884-1914) , et Barrozo Neto (1881-1941). Né à Rio de Janeiro, le 15 avril 1868, il commence ses études musicales à l'Asilo dos Meninos Desvalidos, en 1876. En 1883, il s'inscrit au Imperial Conservatório de Música où il étudie l'harmonie et le contrepoint avec Carlos de Mesquita – ancien élève de César Franck, Durand et Massenet – et clarinette avec Antônio Luís de Moura. De cette période datent les premières compositions de Braga : « Sonho de Dante » (1885), « Dolce far niente » (1886), la première « Valse Romantique » pour piano (1886), entre autres.En 1887, il crée sa première œuvre symphonique, « Fantasia-Abertura ». En 1890, étant l'un des finalistes d'un concours pour choisir le nouvel hymne national brésilien, Braga obtient une bourse pour étudier en Europe, où il suit les cours de Jules Massenet au Conservatoire de Paris. Durant cette période, il écrit certaines de ses œuvres symphoniques les plus importantes, « Paysage », « Cauchemar », « Episódio Sinfônico » et « Marabá » (interprétée par Richard Strauss et la Philharmonie de Vienne en 1920, au Brésil). Son opéra « Jupyra » est considéré comme l'une des plus grandes compositions brésiliennes de ce genre.De retour au Brésil, il fut nommé professeur de contrepoint, de fugue et de composition à l'Instituto Nacional de Música, en 1902. Là, certains des meilleurs compositeurs brésiliens étudièrent avec lui, comme Glauco Velásquez et Lorenzo Fernândez.Braga a écrit des opéras, des œuvres symphoniques, des chansons, de la musique sacrée, deux messes, de la musique pour piano, différentes formations de chambre, un orchestre et une chorale. Il est l'auteur de nombreux hymnes patriotiques, dont le plus populaire est « Hino à Bandeira » (avec des paroles d'Olavo Bilac). Il a exploré des éléments nationalistes brésiliens dans certaines de ses œuvres, comme dans « Variações sobre um Tema Brasileiro » et dans le Trio pour violon, violoncelle et piano, dont le troisième mouvement est basé sur un « lundu » (un genre musical et une danse afro-américaine). Origine brésilienne).En plus d'être compositeur, Braga a été l'un des chefs d'orchestre les plus actifs de son époque, ayant dirigé trois orchestres à Rio de Janeiro : « Instituto Nacional de Música », « Sociedade de Concertos Sinfônicos » et « Theatro Municipal ». Braga a dirigé la première brésilienne d'œuvres symphoniques majeures telles que « La Mer » (Debussy), « Pacific 231 » (Honegger) ainsi que de nombreuses autres compositions brésiliennes.En 1938, il prend sa retraite de l'Instituto Nacional de Música. Il est décédé le 14 mars 1945 à Rio de Janeiro.Malheureusement, Francisco Braga n’a jamais écrit pour la guitare. Cependant, il y a plus d'un siècle, sa musique était déjà incorporée à son répertoire. Selon des informations trouvées dans les journaux de l'époque, la guitariste espagnole Josefina Robledo incluait des transcriptions de pièces de Braga dans ses programmes lorsqu'elle se produisait au Brésil : « Gavota e Minuete » (du mélodrame « Contratador de Diamantes »), en 1919, à São Paulo, et la valse-caprice « Corrupio », en 1921, à Rio de Janeiro.La partition pour piano de « Madrigal Pavane » a été dédiée à Alexina Leitão et publiée par « Casa Vieira Machado », en 1901. Selon le catalogue du compositeur, il existe deux autres versions de cette pièce : orchestre à cordes (1901) et quatuor (qui est encore manuscrit). Dédié à José de Souza Rocha, ami d'enfance de Braga, « Timburibá » (nom d'un arbre brésilien) est un tango pour piano de 1886, publié par « Narciso & Arthur Napoleão ».Envoyer des commentairesPanneaux latérauxHistoriqueEnregistrées.
SKU: MB.3802406058
ISBN 9783802406058. 8.25 x 11.75 inches.
Le début parfait pour apprendre la guitare électrique. Ce cours de guitare fournit au guitariste débutant les bases essentielles d'un instrument et de la musique en plusieurs étapes simples. Toutes les informations sont précieuses et clairement expliquées, ce qui signifie qu’elles peuvent être immédiatement mises en pratique. Les bases de la guitare électrique se composent de trois sections cohérentes: jouer des accords et accompagner des chansons; jouer des notes simples et des accords puissants; théorie de la musique et fondements. Le chapitre sur les accords de force contient tout ce que vous devez savoir sur cette technique de jeu indispensable. Le CD d'accompagnement avec des exercices et des morceaux de musique offre une aide précieuse pour la pratique. Rendre la guitare électrique encore plus amusant.The perfect start to learning the electric guitar. This guitar course provides the beginner guitarist with the essential instrument and music foundations in simple to follow steps. All information is both valuable and clearly explained, meaning it can be instantly put into practice. Electric Guitar Basics comprises of three cohesive sections: playing chords and accompanying songs; playing single notes and power chords; music theory and foundations. The chapter on power chords contains everything you need to know about this indispensable playing technique. The accompanying CD with exercises and music pieces offers a valuable aid to practice. Making playing the electric guitar even more fun.
SKU: DZ.DZ-4272
ISBN 9782898521898.
En septembre 2018, le guitariste Toby McWilliams a commandé à Cruz lâécriture dâune pièce solo en trois mouvements après avoir entendu ses Five Pieces in C dans lâémission de radio internationale Classical Guitar Alive. McWilliams a demandé que le premier mouvement soit en forme sonate-allegro, suivi de deux autres pièces reflétant les choix de tempo dâune sonatine en trois mouvements typique. Comme câest le cas pour la plupart des Åuvres de Cruz, cette Sonatine a été achevée en tant que musique pure, sans programme sous-jacent. Cependant, dans sa quête de trouver des titres autres que des indications de tempo, Cruz a extrait trois mots de la correspondance entre lui-même et McWilliams qui, ensemble, ajoutent une touche personnelle à la collection tout en suggérant une progression des événements dâune journée imaginaire.Un point dâintérêt dans le premier mouvement, le thème A : Cruz commence sur lâaccord IV et évite intentionnellement dâutiliser un accord I tout au long de la pièce. Bien que la section B commence dans la tonalité de dominante, elle se dirige rapidement vers un centre tonal de ré majeur.Festival (3ème mouvement) utilise un thème dâouverture bitonal : mi majeur dans la voix supérieure tandis que la ligne de basse utilise mi mineur.In September of 2018, guitarist, Toby McWilliams commissioned Cruz to write a three-movement guitar solo after hearing his Five Pieces in C on the internationally syndicated radio show, Classical Guitar Alive. McWilliams requested the first movement to be in sonata-allegro form followed by two other pieces that reflect the tempo choices of a typical three-movement sonatina. As is the case with most of Cruzâs music, this Sonatina was completed as music written for musicâs sake. However, in his quest to find titles other than tempo markings, Cruz plucked three words from the correspondence between himself and McWilliams that together, add a personal touch to the collection while suggesting a progression of an imaginary dayâs events.A point of interest in the first movement, A theme: Cruz begins on the IV chord and intentionally avoids using a proper I chord throughout. While the B section does begin in the dominant key, it moves quickly towards a D major tonal center.Festival (3rd movement) uses a bitonal opening theme: E major in the top voice while the bass line uses E minor.
SKU: DY.DO-1543
ISBN 9782897963231.
La pièce « Lamento et Rock Bulgare » a été écrite à la demande du Trio Ahn pour une série de concerts avec la guitariste Antigone Goni. On souhait que je utilise les matériels de Bulgarian Rock originalement composé pour violoncelle et guitare et en faire une nouvelle version pour violon, cello, piano et guitare. J’ai rajouté la partie lente au début (« Lamento ») car le Trio Ahn est constitué de trois soeurs qui venaient de perdre leur mere. Dans le Rock bulgare il y a un mélange du rythme typiquement bulgare à 11 temps (4+3+4) avec des modes de jeux que font référence très largement à la musique rock. La pièce à été créée au Festival Montana Chamber Music aux USA le 20 avril 2024.The piece Lamento et Rock Bulgarian was written at the request of the Ahn Trio for a series of concerts with guitarist Antigone Goni. We would like me to use the materials from Bulgarian Rock originally composed for cello and guitar and make a new version for violin, cello, piano and guitar. I added the slow part at the beginning (Lamento) because the Ahn Trio is made up of three sisters who had just lost their mother. In Bulgarian Rock there is a mixture of the typically Bulgarian 11-beat rhythm (4+3+4) with playing modes that refer very largely to rock music. The piece was premiered at the Montana Chamber Music Festival in the USA on April 20, 2024.
SKU: DZ.DZ-4275
ISBN 9782898521928.
When I was 8 years old I saw the series Mission Impossible. The music of the Argentinean Lalo Schifrin stayed in my heart from the first time.Later, when I was a teenager, I listened to Dave Brubeck's Take Five and Paul Desmond had the same effect on me. I discovered that both were written in an unusual rhythm for the music I usually listened to when I was a student at the conservatory.The 5/4 time signature in both of them has always fascinated me.Tallando en Jazz is a humble tribute to these three jazz greats. They have enlightened my way of feeling music.Quand j'avais 8 ans, j'ai vu la série Mission Impossible. La musique de l'Argentin Lalo Schifrin est restée dans mon cœur dès la première fois.Plus tard, quand j'étais adolescent, j'ai écouté Take Five de Dave Brubeck et Paul Desmond m'a fait le même effet. J'ai découvert que les deux étaient écrits dans un rythme inhabituel pour la musique que j'écoutais habituellement lorsque j'étais étudiant au conservatoire.La signature rythmique 5/4 dans les deux m’a toujours fasciné.Tallando en Jazz est un humble hommage à ces trois grands du jazz. Ils ont éclairé ma façon de ressentir la musique.