Langue : Français
/ Piano Et Chant
SKU: BT.PB1194
French.
Banlieue nord - Besoin d'amour - Le Blues du businessman - La Complainte de la serveuse automate - Les Villes de l'an 2000 - Quand on arrive en ville - Un garçon pas comme les autres - Les Uns contre les autres Recueil contenant les paroles complètes et un CD play-back avec les versions play-back de toutes les chansons du recueil.Titres : Banlieue nord - Besoin d´amour - Le Blues du businessman - La Complainte de la serveuse automate - Les Villes de l´an 2000 - Quand on arrive en ville - Un garçon pas comme les autres - Les Uns contre les autres.
SKU: LM.BOOK050
ISBN 9790231307665.
Ouverture - Quand on arrive en ville - Travesti - Complainte de la serveuse automate - Le Blues du businessman - Un garcon pas comme les autres - Un enfant de la pollution - La Chanson de Ziggy - Banlieue Nord - Coup de foudre - Petite musique terrienne - Monopolis - Les adieux d'un sex-symbol - Besoin d'amour - Ego trip - Quand on n'a plus rien a perdre - Duo d'adieu - Les uns contre les autres - Ce soir on danse a Naziland - S.O.S. d'un terrien en detresse - Le Reve de Stella Spotlight - Le monde est stone.
SKU: HL.44010560
UPC: 884088481704. 9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Marsyas ist ein Satyr aus den Metamorphosen des griechischen Dichters Ovid (43 v. Chr.-17 n. Chr.). Er findet eine von der Gottin Athene weggeworfene Flote und spielt bald so gut, dass ihn Apollo zu einem musikalischen Wettstreit zwischen Flote und Lyra herausfordert. Durch einen üblen Trick verliert Marsyas und erleidet eine grausame Strafe. Diese Sage bot eine ausgezeichnete Vorlage für ein spannendes Solowerk für Flote, in welchem auch die Harfe (Lyra) erklingt.Si les recits de metamorphoses furent tres populaires dans l'Antiquite greco-romaine, le recueil du poete latin Ovide [43 av. J.-C./17 apr. J.-C.] est de loin le plus celebre. Les quinze livres des Metamorphoses racontent la formation du monde et les transformations legendaires des dieux et des hommes en animaux, en plantes ou en objets. Parmi les nombreuses histoires de metamorphoses relatees par Ovide, on trouve celle de Marsyas, un satyre originaire de Celenes en Phrygie. Fils d'Hyagnis, considere comme l'inventeur de l'harmonie phrygienne, Marsyas excellait dans la musique. Un jour, Athena fit une flute double et en joua a un banquet des dieux. Tournee en derisionpar Hera et Aphrodite, et ayant constate elle-meme, en voyant le reflet de son visage dans l'eau, que l'instrument, quand elle en jouait, lui deformait les traits, elle jeta la flute en maudissant quiconque la ramasserait. Cette malediction frappa le satyre Marsyas qui la trouva et en joua magnifiquement, au grand plaisir des paysans des contrees phrygiennes qui l'ecoutaient et qui pretendirent que le dieu Apollon en personne n'aurait pu mieux faire avec sa lyre. Apollon entra dans une colere formidable et proposa a l'insolent satyre un concours musical dont le vainqueur pourrait faire subir au vaincu le chatiment de son choix. Les Muses et le roi Midas, choisis comme juges, ne reussirent pas a departager les concurrents. Alors, Apollon joua de la lyre a l'envers et demanda a Marsyas d'en faire autant avec son instrument. Cela etait impossible. Marsyas n'y parvint pas, et Apollon fut declare vainqueur. Il se vengea du satyre de la plus cruelle facon : il l'attacha a un pin et l'ecorcha vif.Certains racontent qu'Apollon, se repentant de sa vengeance, metamorphosa en fleuve le corps de Marsyas. D'autres pretendent que le sang de Marsyas ou les larmes versees par les nymphes et les satyres, prives des enchantements de sa flute, formerent le fleuve de Phrygie qui porte son nom. / Marsyas fut cree le 22 juillet 2005 a Bordes sur Arize en Ariege par le.
SKU: BU.EBR-A049
ISBN 9790560151229. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement à travers ses pièces.« Rêverie » révèle beaucoup de surprises. Le compositeur nous entraîne dans un voyage agité où rêverie rime avec intrépidité. Chevauchée mélodique et rythmique interrompues de contre temps, de silences, qui nous amène à découvrir des paysages changeants et très différents dans l'instant musical.
SKU: BT.DHP-1002209-010
Sinfonia Hungarica is a three-movement symphony that depicts the history of Hungary. All three movements were inspired by historical key figures, wars, and other important events from this country. This symphony is a celebration of Hungary’s millennium in 2001.The final movement is named after ISTVAN, the King who introduced Christianity into Hungary and who was crowned by Pope Silvestro II on January 1, 1001. A rather solemn start leads to another war-like passage, ending with some loud crashes. This symbolizes the fact that the body of the pagan Koppany was cut into four pieces, and sent to the four castles of the country as an example. After a quiet, almost religiousintermezzo, the National Hymn of Hungary is introduced. This broad “grandioso†ending also has a symbolic meaning: after ten centuries, Hungary has many reasons to look back on the past with pride, and to look forward to the future with optimism and confidence. Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieuâ€, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszagâ€.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.
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Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieuâ€, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszagâ€.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.
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Sinfonia Hungarica is a three-movement symphony that depicts the history of Hungary. All three movements were inspired by historical key figures, wars, and other important events from this country. This symphony is a celebration of Hungary’s millennium in 2001.ATTILA, King of the Huns, often named “The scourge of God,†is the central figure of the first movement, mainly characterized by fear, threat, aggression, and cruelty. Attila’s brother, Buda, however, has a more heroic theme, while his beloved wife, Rika, has a lyrical melody. The exciting ending of this opening movement illustrates the dreaded speed of Attila’s troops: they pursued their victims and killed them all!Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieuâ€, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszagâ€.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.
SKU: BT.DHP-1002208-140
Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak â??de gesel Godsâ?? genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attilaâ??s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attilaâ??s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpadâ??s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel â??Magyarorszagâ??.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die GeiÃ?el Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die GroÃ?mutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une ?uvre de commande pour lâ??Orchestre dâ??Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de lâ??Orchestre dâ??Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace lâ??histoire de la Hongrie. Lâ??ensemble des trois mouvements sâ??inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et dâ??autres événements de grande importance qui ont marqué lâ??histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de lâ??Ã?tat hongrois (1001-2001). Lâ???uvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par lâ??Orchestre dâ??Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé â??le Fléau de Dieuâ?, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, dâ??agression et de cruauté. Bléda, le frère dâ??Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, lâ??épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement dâ??ouverture illustre lâ??effroyable rapidité avec laquelle les troupes dâ??Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de lâ??Ã?tat hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Ã?mèse, la grand-mère dâ??Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre lâ??un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et lâ??avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Ã?tienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures dâ??ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont lâ??atmosphère belliqueuse sâ??intensifie pour sâ??achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dellâ??Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato â??il flagello di Dioâ?? è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dallâ??aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, lâ??amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. Lâ??eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone lâ??accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio â??Magyarorszagâ?.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare lâ??atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato lâ??Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia lâ??orgoglio dellâ??Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dellâ??Inno nazionale ungherese è proposto nellâ??arco dellâ??intera sinfonia. Eâ?? però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileallâ??inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in unâ??apoteosi finale, facendo apparire lâ??organico strumentale come un maestoso organo.
SKU: BT.DHP-1002208-010
Sinfonia Hungarica is a three-movement symphony that depicts the history of Hungary. All three movements were inspired by historical key figures, wars, and other important events from this country. This symphony is a celebration of Hungary’s millennium in 2001.The second movement focuses on ARPAD, the actual founder of the Hungarian State. It starts with an atmospherical passage, evoking his grandmother, Emese, who dreamt about his future destination. One of Arpad’s opponents, the Bulgarian Prince Zalan, was chased away after a fight. After this, Arpad officially named the territory “Magyarorszag.â€Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieuâ€, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszagâ€.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.