Consolation

Wer nur den lieben Gott lässt walten-Vers 1641 Georg Neumark compose l?hymne chrétienne Wer nur den lieben Gott lässt walten dont chacune des sept strophes exprime sa foi en Dieu. Il lui donne le soustitre Chant de consolation. Dans cet arrangement de Jan de Haan le choral est exposé à deux reprises : d?abord précédé d?une courte introduction suivie d?une variation entre chaque vers puis dans une trame continue qui fidèle au sous-titre original cherche dans son action la consolation.

Wer nur den lieben Gott lässt walten-Wer nur den lieben Gott lässt walten was composed by Georg Neumark in about 1641 and was subtitled ?Trostlied? literally meaning consolation song. Songbooks at the time showed the popularity of this song and it is still well-known today partly due to Johann Sebastian Bach?s use of the melody for one of his own chorals. In Jan de Haan?s arrangement the choral is heard twice once alternating with the original motif from the introduction and a second time without interruption reflecting the composer?s original intention - a song of consolation.

Wer nur den lieben Gott lässt walten-Vers 1641 Georg Neumark compose l?hymne chrétienne Wer nur den lieben Gott lässt walten dont chacune des sept strophes exprime sa foi en Dieu. Il lui donne le soustitre Chant de consolation. Dans cet arrangement de Jan de Haan le choral est exposé à deux reprises : d?abord précédé d?une courte introduction suivie d?une variation entre chaque vers puis dans une trame continue qui fidèle au sous-titre original cherche dans son action la consolation.

Peu de gens savent que Franz Liszt organisé certaines de ses pièces pour piano pour le violoncelle, avec accompagnement de piano, et cette version de l'oeuvre apparu dans d'impression pendant la durée de vie du maestro. Árpád Pejtsik sélectionné deux de ces volumes pour cette compilation d'jubilé marque de Liszt: Elégies I et II Les autres compositions de Liszt qui apparaissent dans la collection ont été également à l'origine pour des oeuvres pour piano: l'Ave Maria et Cantique d'amour (des pièces de la Harmonies poétiques et religieuses de cycle) ont été transcrites par un élève de Liszt, Robert Pflughaupt, la version pour violoncelle, transposée en sol majeur, de la Consolation E Major est par Jules de Swert, violoncelliste solo à l'orchestre de Weimar de ces jours, celle de l'Angélus (le morceau d'ouverture dans le tome 3 du cycle intitulé Années de Pèlerinage) est par Lothar Windsperger, un compositeur qui vivait Deutsch au tournant du siècle 19ème-20ème. / Violoncelle Et Piano

Franz Liszt est toujours considéré comme l'un des plus grands pianistes de tous les temps : un superbe virtuose dont les œuvres pour piano sont également hérissées de difficultés techniques extrêmes. Mais personne ne doit avoir peur des grands noms. Notre sélection soigneusement choisie de l'immense œuvre de Liszt va ici du facile au modérément difficile. Ces pièces sont vraiment charmantes et bien adaptées aux « mortels ordinaires ». Et pour ceux qui arrivent à la fin du volume, il y a une récompense qui en vaut la peine : peut-être la pièce pour piano la plus connue de Liszt, le troisième « Liebestraum »...
Pièce pour piano no. 3 en fa dièse majeur de Quatre pièces pour piano
Pièce pour piano no. 4 en fa dièse majeur de Quatre pièces pour piano
N° de consolation 1 en mi majeur de Consolations
N° de consolation 2 en mi majeur de Consolations
N° de consolation 3 en ré bémol majeur de Consolations
Années de Pèlerinage, Deuxième Année – Italie : Il Penseroso
Hymne de l'enfant à son réveil de Harmonies poétiques et religieuses
Années de Pèlerinage, Première Année – Suisse : Le mal du pays
Années de Pèlerinage, Deuxième Année – Italie : Canzonetta del Salvator Rosa
Années de Pèlerinage, Troisième Année : Aux Cyprès de la Villa d'Este
Liebestraum no. 3 en lab majeur de Liebesträume – 3 Notturnos
/ Partitions classique / Piano - instruments à clavier / Piano / HENLE VERLAG

Harp Solo-Consolation - Like A Roselike Flower (Consolazione - Flos Ut Rosa) for Harp solo by Per Nørgård (2002). Written for and dedicated to Tine Rehling. Programme note by the composer: The concept of Mary has a depth that transcends all religious persuasions. All over the earth symbols of the gentle and maternal are known. But the word ´Maria´ is also associated - in sound - with the Latin word for the sea mare and she thus become the Star of the Sea Maris Stella.  In my 3rd Symphony the Maria motif is used in a hymn section in the second and last part of the work. Thechoral song “Flos ut rosa floruit” was composed directly in the context of the symphony and the melody had a ´stamina´ that carried it over into many later vocal and choral compositions for instance the “Concerto for Harp No. 2 – through thorns” (2003) and the present Consolazione for harp solo both works dedicated to Tine Rehling.