Langue : Français
Les séries de recueils Je commence... mais pas tout seul (8 morceaux) puis, pour des niveaux plus élevés, Je continue... mais pas tout seul (12 morceaux), ont pour objectif de proposer aux petits musiciens en herbe un répertoire ludique, progressif et original à plusieurs, venant en renfort des ouvrages didactiques incontournables de l'apprentissage. Une sorte de récréation musicale à savourer entre élèves, en classe ou en audition, avec la complicité bienveillante du professeur.L'auteur, Yves Callier, figure emblématique de la Formation musicale au sein du Conservatoire de Marseille pendant de très nombreuses années tout autant que musicien émérite dans des formations de musique actuelle, a su trouver dans ces compositions ou arrangements les accents vivants et modernes d'une musique séduisante et susceptible de plaire au plus grand nombre. / 2 Ou 3 Clarinettes
SKU: BT.DHP-1165740-401
ISBN 9789043151511. English-German-French-Dutch.
Cette oeuvre en deux mouvements pour clarinette et orchestre fut commandée par Musica Reservata vof, Belgique, et est dédiée Eddy Vanoosthuyse, un bon ami et confrère du compositeur. Elle connut du succès sa première mondiale le 10 décembre 2008 Salt Lake City (Etats-Unis), interprétée par l’orchestre Utah Philharmonia sous la direction de Robert Baldwin, avec Eddy Vanoosthuyse comme soliste. Par la suite, l’oeuvre fut mise de côté pendant quelques années, surtout parce que les agendaschargés des deux protagonistes ne leur permettaient pas de trouver le temps pour un enregistrement discographique. Pour finir, l’oeuvre fut enfin enregistrée en juin 2015 Nagoya (Japon), avec le Central Aichi Symphony Orchestra, mené par l’étoilemontante vénézolane, SergioRosales. La même semaine, le 12 juin, l’oeuvre fut présentée en concert pour la première fois au Japon par les mêmes interprètes, et connut ici aussi un grand succès. Après Concerto Doppio pour deux clarinettes et orchestre cordes, composé en 2001,voici la deuxième oeuvre de concert de Jan Van der Roost qui met la clarinette en vedette.Le premier mouvement, Doloroso e Contemplativo, transmet le côté sérieux de la clarinette et, par conséquent, il n’y figure presque pas de virtuosité ou de spectacle. Au contraire, l’orchestration colorée et variée qui est entrelacée autour de lapartie solo est bien plus qu’un simple accompagnement, et prend la forme de partenairemusical, d’importance comparable au soliste. Une introduction un peu mystérieuse mène une première apogée orchestrale en passant par des cellules musicales ascendantes. Ensuite on entend l’entrée du soliste, d’abord par des idées musicales plusfragmentaires, puis par des lignes mélodiques plus longues. L’orchestre entre en dialogue avec le soliste, et son instrumentation délicate et colorée crée un parfait encadrement musical. Vers la fin, l’atmosphère du début est réaffirmée, et lesoliste finit par la même note par laquelle il avait commencé.Le deuxième mouvement, Giocoso e Con Bravura, est une toute autre histoire : ici, le côté virtuose, et parfois presqu’acrobatique, de la clarinette est exploré. Des cascades imposantes et continuelles de notes demandent une dextérité exceptionnelleau soliste, ce qui, un certain moment, et « récompensé » par l’orchestre, par un clin d’oeil au « Hallelujah » de Handel vraiment mérité après ces feux d’artifice ! De temps en temps, l’instrument solo présente une phrase humoristique : laclarinette ne peut pas que chanter, briller et pleurer, mais aussi rire et plaisanter. Plusieurs passages sont presque caricaturaux ! La palette variée de cet instrument magnifique est démontrée parfaitement, parfois avec un brin d’humour oud’ironie. En effet, les deux mouvements contrastants de ce concerto démontrent les différentes facettes de l’instrument qui s’est établi sur la scène de musique classique ainsi que la musique légère (quel nom peu prometteur !). Dans le deuxièmemouvement, rapide pour la plupart du temps, l’orchestre est nouveau traité de manière créative et variée, offrant une palette généreuse de couleurs : sans enlever l’attention de la partie solo difficile, on peut dire que l’orchestre n’est pas qu’ l’arrière-plan, mais saisit l’occasion de briller en même temps. Pourtant, les dernières notes sont accordées la clarinette : après un tuttiorchestral énergique, le soliste conclut l’oeuvre par trois notes courtes de pianissimo comme si, de façon subtile, il voulait avoir le dernier mot. Après les nombreuses notes jouées par le clarinettiste, cette conclusion modeste estune fin surprenante d’une oeuvre au style plutôt traditionnel, qui démontre clairement la passion du compositeur pour cette merveilleuse combinaison instrumentale.br> Un merci particulier Peter Knockaert pour cette réduction pour piano duClarinet Concerto, qui fut créée pour le 4th International Clarinet Competition Ghent en 2017.
SKU: BT.AMP-223-140
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
A Midwest Celebration is geschreven voor de Decatur Municipal Band uit Illinois in de Verenigde Staten, ter gelegenheid van het 150-jarig bestaan van dit orkest. Philip Sparke kreeg de opdracht een werk te schrijven dat rechtzou doen aan de lange geschiedenis van het orkest - met een weerspiegeling van het gevarieerde repertoire, dat bestaat uit traditionele kost, zoals ouvertures en marsen, maar dat ook nieuwe, originele werken en arrangementen bevat.A Midwest Celebration is gebaseerd op de populaire negentiende-eeuwse orkestouvertures van componisten als Berlioz, Verdi en Suppé.Für den schwungvollen Auftakt dieser Hommage an ein Blasorchester, das Traditionelles und moderne Originalwerke in seinem Repertoire vereint, nahm sich Philip Sparke die Ouvertüren eines Berlioz, Verdi oder Suppé zum Vorbild. Dem setzte er als zweites Thema eine heitere Melodie entgegen, die durch verschiedene Teile des Blasorchesters gereicht und weiterentwickelt wird, bevor sich im Höhepunkt beide Ideen treffen und das Werk beenden. Le Midwest est une vaste région du centre des États-Unis, entre la Côte Est et l'Ouest américain. Fondé le 19 septembre 1857, l’Orchestre d’Harmonie Municipal de Decatur (Illinois, États-Unis) est une des plus anciennes formations civiles américaines. Depuis sa création, l’orchestre n’a jamais cessé de participer activement la vie florissante de la cité, se produisant lors de concerts en intérieur ou en plein air, de parades ou de certains événements spéciaux. la demande de Jim Culbertson, directeur musical de l’orchestre, Philip Sparke fut chargé d’écrire une pièce qui illustre la longue et riche histoire de la formation travers un répertoire varié qui s’étend de l’universclassique avec ses ouvertures et marches jusqu’aux œuvres originales et arrangements d’œuvres récents.A Midwest Celebration s’inspire de quelques célèbres ouvertures orchestrales du XIXe siècle écrites par de grands compositeurs tels que Berlioz, Verdi et Suppé. L’introduction est florissante. Tout s’apaise lorsqu’apparaît une mélodie aux courbes harmonieuses, jouée par les cors, les clarinettes et les saxophones. Mais peine commence-t-il se développer que le thème est brutalement interrompu par l’intervention des trompettes qui ouvrent un vertigineux passage Vivace, illuminé par des fanfares brillantes (cuivres) et une profusion d’éléments d’ornementation (bois). Les cors reprennent l’exposition de la mélodie initiale soutenus par la douceur ondulante des fl tes. Soudain, les lignes mélodiques du Vivace resurgissent et balayent la musique pour progresser vers leur intensité maximale, point de rencontre entre les deux thématiques qui mènent le composition vers sa conclusion.
SKU: BT.AMP-223-010