Caprice pour Cor solo

Rien de mieux que cette partition pour découvrir le fabuleux instrument de musique qu'est le piano. Vous pourrez ainsi jouer sur cet instrument créé au début du XVIIIème siècle à Florence par Bartolomeo Cristofori NOVELETTE N 1 CAPRICE PIANO de Tansman Alexandre. Cette partition qui est éditée par les éditions Max Eschig fait partie de la catégorie de la musique Classique Si vous le souhaitez, cette partition de musique qui est pour Piano peut être chez vous dans quelques jours. / Piano / Partition

A Graded Anthology for Piano. Par . Cette série de trois volumes de musique pour piano de compositrices est un recueil progressif de littérature pédagogique avec un large répertoire du 17ème siècle à nos jours. Pour chaque pièce, l\'éditrice a écrit de courtes instructions avec des conseils pour l\'étude ainsi que des notes biographiques sur les compositrices. Le recueil couvre tous les niveaux de difficulté, de facile (volume 1) à moyen (volume 2) et difficile (volume 3), et constitue un enrichissement indispensable pour les cours et les concerts. / Date parution : 2022-11-03/ Recueil / Piano

Trésor de 15 ouvrages de vulgarisation pour piano solo par le célèbre élève de Mozart, Johann Nepomuk Hummel: Sonatas, Opp. 13, 20, 81 and 106, well-known Rondo, Op. 11, 24 miniature Preludes, Op. 67, Variations on a Theme by Gluck, Op. 57, Rondo-Fantasie, Op. 19, Rondo all'Ungherese, Op. 107, #6 et 6 plus élégamment conçu morceaux. Réimpression de sélections de Sonaten et Klavier-Stücke, Universal-Edition, Vienne et Leipzig, sd / Piano

La partie principale du Supplément Volume 12 dispose le prédécesseur de Grandes Etudes de Paganini , une série de six études écrites après Paganini entre 1838 et 1840, et en passant par Liszt performances transcendant ( Etudes d'exécution transcendante d'apres Paganini ) . La série a été inspiré non seulement par le violoniste virtuose et Caprices et le Concerto pour violon du compositeur en si mineur , mais aussi par les études de Paganini de Schumann , Liszt probablement rencontrés grâce à Clara Wieck au début de 1838. Le volume comprend également les première et deuxième versions solo de piano de Die Zelle dans Nonnenwerth (1840 et 1841 ) , que Liszt compose d'un certain nombre de fois dans plusieurs versions , ainsi que deux transcriptions de Wagner et les premières versions de l'adaptation de deux oeuvres de Russie compositeurs .Une préface détaillée en hongrois , anglais et allemand , y compris les nouveaux résultats de la recherche , de nombreux fac-similés de manuscrits et notes critiques font de ce volume de la nouvelle édition Liszt une publication particulièrement important de valeur scientifique . Simultanément, le livre de poche pour des raisons pratiques , son volume Complete Edition tissu lié est publié avec les notes critiques . / Piano

per violino - Edizione critica di Italo Vescovo-The Caprice d?Adieu (autograph unknown) is appended to Eduard Eliason?s Six Caprices Caractéristiques pour le Violon Op. 12 which was published in Mayence by B. Schott in 1833. This piece which Paganini dedicated to Eliason is part of a series ofcompositions for violin solo that have been widely ignored by both performers and scholars of the great Genoese musician. It is a composition whose size and structure (A-B-A with two refrains) follows the pattern of some of his Capricci Op. 1 but unlike these proper studies the Caprice d?adieu is lighter and more lively in character. Although not as brilliant musically as the Capricci it still contains some original musical ideas mostly articulated in two parts with a few complextechnical passages and a central contrasting section featuring different dynamics and a range of chords and trills.This critical edition is based on the first edition and is collated with the most important nineteenth and twentieth-century editions.

48 Pieces by Chaminade Couperin Debussy Fauré Ravel and Satie-This volume in Schirmer's Library Of Musical Classics contains 48 pieces by 6 French composers including Chaminade Couperin Debussy Faure Ravel and Satie. Pieces include: Chaminade:S?r?nade Op. 29 Scarf-Dance (Pas des ?charpes) from Cinq Airs de Ballet Calliro? Op. 37b No. 2 Lolita (Caprice Espagnol) Op. 54. Couperin: Soeur Monique from the eighteenth orderof the Third Book of Harpsichord Pieces Suite in C minor from the third order of the First Book of Harpsichord Pieces. Debussy: Children's Corner Deux Arabesques La plus que lente Le petit n?gre Pour lepiano Les sons et le parfums tournent dans l'air du soir from Pr?ludes Book I Des pas sur la neige from Pr?ludes Book I La fille aux cheveux de lin from Pr?ludes Book I La Cath?drale engloutie fromPr?ludes Book I Minstrels from Pr?ludes Book II La Puerta del vino from Pr?ludes Book II La terrasse des audiences du clair de lune from Pr?ludes Book II R?verie Suite bergamasque.Faure: Impromptu in A-flat Major Op. 34 No. 3 Nocturne in E-flat Major Op. 36 No. 4 Berceuse in E Major Op. 56 No. 1 Improvisation in C-sharp minor Op. 84 No. 5.? Ravel: Minuet on the Name ofHaydn Pavane for a Dead Princess (Pavane pour une infante d?funte) Sonatine. Satie: Three Gymnop?dies Three Gnossiennes.

Clarinettissimo ' est le complément idéal et continuation de la norme de travail ' Die fröhliche Klarinette ' même si elle peut également être utilisée indépendamment. Les deux volumes contiennent une collection bien équilibrée de pièces classiques et divertissants qui, avec des exercices techniques pour toutes les clés, fournissent le fondement de la joue de la clarinette parfaite. La joie de jouer est accrues par nombreux duos ainsi que par l'échangisme et groovy les morceaux qui sont inclus sur le CD pour jouer le long. / 1 Ou 2 Clarinettes

The Austrian violinist and composer Jakob Dont (1815-1888) very early became a member of the Vienna Hofburg Theatre later of the Court Chapel. Although he had made a name for himself as a soloist he decided in favour of a career in education. For his instrument the violin he wrote about 50 works most of them modern opera pot-pourris and character pieces which are forgotten today. Apart from the preliminary exercises for Kreutzer and Rohde his 'Studies and Caprices' (opus 35) however have become an integral part of violin lessons. Praised by Joachim Auer and Flesch these outstanding studies were edited by Max Rostal in consideration of a modern violin technique andcomplemented by preparatory exercises and variants.

Pièces de concert pour amateurs de prouesses techniquesCompositeur : Paganini Niccolo Instrumentation : Flb sopr Solo

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet ?] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée ?] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Widmann 'Etudes 'pour violon solo sont dans la tradition des caprices de Paganini par le piano et les études de Chopin, Liszt et Ligeti: artistiquement autonomes pièces concertantes sur un problème technique spécifique de chaque, pour être réalisées individuellement ou en ordre cyclique.No. IV contenues dans le volume 2 présentée ici est une étude sur les techniques de pizzicati différents. No. V, une étude trémolo, est un hommage à Paganini Caprice n o. 6 '. No. VI qui porte 'Lullaby Salomé 'le sous-titre (Berceuse de Salomé) est, en raison de sa séquence d'un thème de 12 bar et 24 variations à court chacun d'entre eux est engagé dans une manière différente contemporaine de jouer, parfaite pour des leçons de violon et une compétition morceau / Violon / 52 pages / niveau : Difficile / Partition

In Forme Of Etudes, In All 24 Keys. Par RODE PIERRE. Caprices pour violon solo ont une longue tradition - la liste des collections dans les témoignages de compositeurs-violoniste virtuose archivées de leurs violon virtuose art va Locatelli de Paganini, de Gaviniès à ne pas. Parmi eux est le violoniste français Pierre Rode (1774-1839), qui a ajouté son Capricen 24 en forme einer Etüde für Violine allein de ce genre. Encore aujourd'hui, ils font toujours partie du répertoire indispensable d'étudiants de violon, surtout depuis que, nonobstant l'aspect purement technique, ils sont aussi attrayant morceaux de musique. Comme professeur au Conservatoire de Paris célèbre, Rode, avec Pierre Baillot et Rodolphe Kreutzer, a jeté les bases pour violon complet didactique et de la méthodologie : les 24 Caprices sont d'importantes contributions à ce travail d'éducation à la musique. La présente édition nouvelle est basée sur la première édition de Paris de 1820, fournissant la partition originale, notamment deux variantes de doigté, une version normale et une version spécialement conçue f.../ Etude / Violon