Capriccio Per Violino Solo M.S. 54 (PAGANINI NICCOLO)

This Capriccio per violino solo M.S. 54 should be considered as part of the group of short musical dedications that Paganini was in the habit of giving away to friends, colleagues and the personalities he met during his travels. Dated 1828, dedicated to Count Maurizio Dietrichstein, is a truly unique work, not only for the way in which the music is organised (notated on four staves, one for each string) but also because of the way in which it was conceived musically. The concept of polyphony is brought to an extreme level, at least in conceptual and visual terms, in this composition. Its brief structure is reminiscent of a kind of four-part chorale written in score. It is characterised by its lyrical and elegant writing style, where the four voices move in polyphonic fashion, giving birth to an extremely refined harmonic texture. This critical edition is based on the manuscript kept in the Österreichische Nationalbibliothek of Vienna compared with the modern editions.

Difficile. Par PAGANINI NICCOLO. Capriccio de Paganini 'In cor più non mi sento” pour violon solo est une oeuvre pratiquement inconnue dans sa forme originale à deux mouvements, respectivement Andante et Presto. La première (Andante) est une variation basée sur le thème de Paisello, tandis que la seconde (Presto) est une variation virtuose. Beaucoup moins célèbre que la version de Carl Guhr intitulée Introduction et Variations sur le thème 'Nel cor più non m sento' pour violon seul de Nicolo Paganini, qu'il a incluse dans son 'traité'. La version de Guhr, pour laquelle nous n'avons pas de source originale, a été publiée à plusieurs reprises. Il est beaucoup plus long et comporte beaucoup plus de variations que le Capriccio original, ce dernier étant souvent considéré comme une sorte de 'premier croquis' de l'oeuvre plus longue. La version de Guhr a, à bien des égards, éclipsé celle de Paganini, de sorte que l'originalité de sa composition et son intégrité en tant que pièce autonome n'ont pas été suffisamment appréciées. La présente édition critique est basée sur un manuscrit trouvé dans la Staatsbibliothek de Berlin. Il est comparé à l'édition de Zimmermann (1960), assez peu fiable du point de vue philologique, et au 'Tema' et 'Settima variazione' qui correspondent aux deux mouvements du Capriccio des fils de B. Schott (édition de 1829). / Niveau : Difficile / Répertoire / Violon