Format : Singles
Editeur spécialisé dans les partitions à l'unité que ce soit en variété française ou en variété internationale, Bourgès vous propose depuis le début de l'année 2012 la partition de la chanson L'Enfant Que Je N'Ai Jamais Eu de Mathieu Mireille pour Chant, Accords Et Piano / Chant, Accords Et Piano / Partition
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Francis Bebey est né à Douala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller à l'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé à La Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé à Paris où il a commencé des études d'anglais à la Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux Ã?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèlement, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. Ã? Paris, le jazz, la musique à la mode à cette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait à de nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre à jouer de l'instrument lui-même.Il a commencé à composer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain à Paris), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivement, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile à concilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique à l'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment à travers le piano à pouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun à la Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité à se produire, à donner des conférences ou à rencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité à faire partie du jury d'un concours de guitare classique à Caracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès à la fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didnâ??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: BT.SLB-00595900
INSSTR inches. French.
A previously unreleased piece by Francis Poulenc, published with permission from the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris and Benoît Seringe, secretary of the Association des amis de Francis Poulenc [Association of the Friends ofFrancis Poulenc]. Le Voyageur sans bagage [The Traveller Without Luggage], which had been premiered in 1937 with music by Darius Milhaud, was reprised on 1 April 1944 at the Thé tre de la Michodière; Francis Poulenc was asked to compose new stage music. Theentire unpublished score lay undiscovered until Bérengère de l’Épine, a librarian at the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, announced the existence of a manuscript in the Association de la Régie Thé trale collection.Poulenc finalised the score between 19 and 21 March 1944. It contains nine songs, all written for a small instrumental ensemble including oboe, clarinet, cello and piano. However, at the end of the manuscript, the composer echoes the second song Lent [Slow] and creates another version for cello and piano; curiously, the original version of the song has not been erased in the manuscript. Poulenc seems to suggest that we consider the piece for cello and piano, that we have publishedhere, as a different piece of music. It was premiered on Wednesday 23 January 2013 by Marc Coppey, accompanied by Jean-François Heisser, in the organ auditorium of the Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), during thesymposium for the fiftieth anniversary of Poulenc’s death.Given in a dramatic context, some elements allow us to get an idea of the character of the piece, which Benoît Seringe, Poulenc’s beneficiary, judiciously chose to name Souvenirs.The main character of Anouilh’s play, Gaston, is suffering from amnesia at the end of World War One. Several families try to claim him; they want him to be their missing relative. The Renaud family prove to be particularly stubborn, but Gaston doesnot recognize himself in the child and young man they depict: a ruthless and violent person. In Act 1 Scene 3, left alone for a moment, overwhelmed by the story of the “old Gaston†that is gradually coming to light, and outraged by the desire ofthose around him to appropriate him (to the detriment of the person he would like to be from now on), he whispers these words: “You all have proof, photographs that look like me, memories as clear as day… I’ve listened to you all and it’s slowlycausing a hybrid person to rise up in me; a person in which there is a piece of each of your sons and nothing of me.†Poulenc chose to place the second piece from his stage music score as these words are spoken.He borrowed part of the material, as he often did, from an earlier composition. In this particular case, the beginning is a recycled version of the “slow and melancholic†section from L’Histoire de Babar , composed between 1940 and 1945, andpremiered in 1946 (unless it is Babar that reuses the musical idea from Voyageur ).The eponymous elephant decides to leave in search of the great forest. He embraces the old lady, promises her he will return and reassures her that he will never forget her. Left alone, the old lady, feeling sad and pensive, wonders when she’ll seeher friend Babar again. The situation is similar to that in Voyageur sans bagage: solitude, sadness, a distressing and introspective time, fear of oblivion, the presence of memories…Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l’autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l’Association des Amis de Francis Poulenc.Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d’Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Thé tre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d’écrire une nouvelle musique de scène. On ignoraittout de cette partition inédite, jusqu’au jour où Bérengère de l’Épine, conservateur la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l’existence d’un manuscrit dans le fonds de l’Association de la Régie thé trale.Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano.Cependant, la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le no 2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n’est pas biffée dans le manuscrit.Poulenc semble nous inviter considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l’édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant lecolloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d’orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP).Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d’intituler Souvenirs.Le personnage principal de la pièce d’Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces ; maisGaston ne parvient se reconnaître dans l’enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l’acte I, resté seul un moment, écrasé par l’histoire de cet autre lui-même qu’il découvre peu peu, indigné par le désir des personnes qui l’entourent de le ramener elles au détriment de celui qu’il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : « Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis commedes crimes… je vous écoute tous et je sens surgir peu peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi »…C’est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le no 2 de sa partition de musique de scène.Comme il le fait souvent, il emprunte une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section « Lent et mélancolique » de l’Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en1946 ( moins que ce ne soit Babar qui réutilise l’idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s’est décidé partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l’a rassurée : jamais il ne l’oubliera.Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instantde trouble et de retour sur soi, crainte de l’oubli, présence des souvenirs….
SKU: BT.DHP-1084401-013
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Legend of a Mountain vertelt de legende van ‘La dent du chat’, een berg in de Franse Savoie. De legende gaat over een niet gehouden belofte, de wraak van een kat en over de berg ‘De tand van de kat’. Een onheilspellende inleiding,gevolgd door een vriendelijk thema in 6/8 maat, turbulente passages, lyrische en agressieve thema’s evenals dramatische hoogtepunten vertellen deze legende op indringende wijze aan uw publiek.Legend of a Mountain erzählt die Legende von einem Berg im französischen Departement Savoie. Diese handelt von einem nicht gehaltenen Versprechen, dem grausamen Strafgericht einer Katze und einem Berg, welcher der Zahn der getöteten Katze sein soll. Eine düstere Einleitung, gefolgt von einem heiteren 6/8-Thema, turbulenten Passagen, lyrischen und aggressiven Themen sowie dramatischen Höhepunkten geben die Geschichte sehr anschaulich wider. Legend of a Mountain (Légende d’une montagne) raconte la légende de la Dent du Chat, une montagne située sur la rive Ouest du lac du Bourget dans le département de la Savoie (France). L’imposante introduction préfigure l’histoire dramatique que raconte la légende.Au pied de la montagne, non loin du lac, vivait jadis un pêcheur avec sa femme et leurs cinq enfants.Un thème paisible (en 6/8) évoque le pêcheur assis dans sa frêle barque dansant au milieu des eaux ondulantes du lac.Un jour, attendant en vain une prise, le pêcheur promit de rejeter l'eau le premier poisson qu'il attraperait dans l'espoir d'être récompensé pour son geste généreux. peineavait-il fait cette promesse qu'il sentit mordre son hameçon. Oubliant sa promesse, il garda le poisson et relança sa ligne. la troisième prise, il sortit de l’eau un chat noir.Le thème paisible est soudainement interrompu par les timbales qui annoncent la prise imminente d’un gros poisson. C’est l’effervescence. Le gros poisson (ou plus précisément le chat) a mordu. Dès lors, la musique devient plus turbulente.Le pêcheur rentra chez lui, le chat sous son bras. Sa femme et ses enfants l’adoptèrent et en prirent soin.Un thème lyrique s’élève de plusieurs pupitres de l’orchestre. Il reflète l’harmonie qui règne dans la famille du pêcheur. Ce sentiment d’harmonie chemine vers un motif plus incisif, suivi d’un coup de grosse caisse illustrant l’agressivité du chat. Au fil des mois, le chat devint agressif, allant jusqu’ mordre les enfants. Comme le pêcheur était superstitieux, il n'osait tuer le chat par crainte de malédiction. Il mit l'animal dans un sac et l'emmena très loin dans la montagne.La marche en montagne est illustrée par un thème ascendant. Le motif plus agressif est ensuite réexposé.L -haut, le chat s'attaqua aux troupeaux, aux chiens, aux femmes et aux enfants. Le pêcheur n'attrapa jamais plus le moindre poisson. Il vendit sa barque et devint b cheron. Le mauvais sort s'acharna sur lui. Il se blessa d'un coup de hache et.