Au fil de lhistoire plusieurs écrivains et compositeurs ont repris le récit tragique dEgmont pour en donner une interprétation personnelle comme par exemple la très célèbre « Ouverture dEgmont » de Beethoven.Lorsque la société philharmonique Lamoraal van Egmont ma chargé de composer une oeuvre autour de ce personnage je fus très intéressé par lidée de découvrir la profondeur et la puissance de ce récit intemporel et de lexprimer musicalement à ma propre façon.Quatre scènes du récit constituent dimportants piliers dramatiques : le mariage dEgmont (partie 1) les difficiles relations dEgmont avec Philippe II (partie 2) sa décapitation à Bruxelles (partie 3) et la révoltedes Pays-Bas contre la domination espagnole qui sen est suivie (partie 4).Loeuvre souvre par une mélodie entraînante qui illustre le personnage dEgmont et qui sera répétée sous différentes formes. Vient ensuite une danse de la renaissance pleine de virtuosité évoquant une f?te de mariage au milieu du XVIe siècle. Ce nest pas tant la solennité du mariage du Comte Lamoral dEgmont et de Sabine de Bavière qui se trouve ainsi exprimée mais plutôt lambiance festive et la musique qui était probablement jouée en pareille occasion. A la fin de cette partie la musique a des résonances espagnoles ; à lépoque les Pays-Bas étaient dailleurs sous tutelle espagnole et Egmont était un fidèle serviteur de la couronne dEspagne pour laquelle il avait remporté plusieurs batailles.Dans la partie 2 sont présentées à tour de rôle les personnages de Philippe II - roi dEspagne - et dEgmont. Un thème empreint de machiavélisme et dobscurité soutenu par un accompagnement lancinant à la guitare espagnole et aux castagnettes caractérise le personnage tyrannique et avide de pouvoir de Philippe qui conjure Egmont (et dautres) de le suivre dans les atrocités quil commet. Le thème dEgmont résonne ensuite dune sobriété pure et dune mélancolie enfouie. Bien quEgmont soit célèbre pour ses qualités magistrales de commandant ce sont davantage sa vulnérabilité dhomme et son déchirement

Au fil de l?histoire plusieurs écrivains et compositeurs ont repris le récit tragique d?Egmont pour en donner une interprétation personnelle comme par exemple la très célèbre « Ouverture d?Egmont » de Beethoven.Lorsque la société philharmonique ?Lamoraal van Egmont? m?a chargé de composer une oeuvre autour de ce personnage je fus très intéressé par l?idée de découvrir la profondeur et la puissance de ce récit intemporel et de l?exprimer musicalement à ma propre façon.Quatre scènes du récit constituent d?importants piliers dramatiques : le mariage d?Egmont (partie 1) les difficiles relations d?Egmont avec Philippe II (partie 2) sa décapitation à Bruxelles(partie 3) et la révolte des Pays-Bas contre la domination espagnole qui s?en est suivie (partie 4).L?oeuvre s?ouvre par une mélodie entraînante qui illustre le personnage d?Egmont et qui sera répétée sous différentes formes. Vient ensuite une danse de la renaissance pleine de virtuosité évoquant une f?te de mariage au milieu du XVIe siècle. Ce n?est pas tant la solennité du mariage du Comte Lamoral d?Egmont et de Sabine de Bavière qui se trouve ainsi exprimée mais plutôt l?ambiance festive et la musique qui était probablement jouée en pareille occasion. A la fin de cette partie la musique a des résonances espagnoles ; à l?époque les Pays-Bas étaient d?ailleurs sous tutelle espagnole et Egmont était un fidèle serviteur de la couronne d?Espagne pour laquelle il avait remporté plusieurs batailles.Dans la partie 2 sont présentées à tour de rôle les personnages de Philippe II - roi d?Espagne - et d?Egmont. Un thème empreint de machiavélisme et d?obscurité soutenu par un accompagnement lancinant à la guitare espagnole et aux castagnettes caractérise le personnage tyrannique et avide de pouvoir de Philippe qui conjure Egmont (et d?autres) de le suivre dans les atrocités qu?il commet. Le thème d?Egmont résonne ensuite d?une sobriété pure et d?une mélancolie enfouie. Bien qu?Egmont soit célèbre pour ses qualités magistrales de commandant ce sont

from Symphony No 6-This beautiful melody is taken from the final movement of Beethoven's sixth symphony which has the title Shepherds' Song: grateful feelings towards God after the storm. Bring the classic period alive with this great arrangement by Philip Sparke.

Nous savons beaucoup de choses sur le compositeur américain Leroy Anderson. Ce fils dimmigrants suédois jouait du piano de lorgue de laccordéon du trombone du tuba et de la contrebasse. Il parlait couramment plusieurs langues et était diplômé avec grande distinction de Harvard. Pendant son service militaire il écrivit un manuel de grammaire islandaise commandé par larmée.Étudiant il avait déjà commencé à faire des arrangements et dès lâge de 30 ans il arrangeait et composait pour le Boston Pops Orchestra. Des mélodies telles que 'Serenata' 'The Typewriter' 'Sleigh Ride' et 'Buglers Holiday' lui valurent une renommée mondiale. Son uvre phare 'Blue Tango' fut numéro un descharts américains en 1952 et se vendit à plus dun million dexemplaires. Un an après sa mort en 1975 il eut droit à son étoile sur le 'Walk of Fame' à Hollywood.La plupart de ses uvres nexcèdent pas trois minutes soit à peu près la durée maximale dun single à lépoque. Son concerto en ut pour piano et orchestre de 1953 est quant à lui plus long. Il fut créé à Chicago sous sa direction avec Eugene List au piano. Après trois exécutions Anderson nétait toutefois plus satisfait de son travail et le retira. Toute sa vie il eut lintention de le remanier mais ne le fit pas. Ce nest quen 1989 que la famille Anderson décida de tout de m?me rééditer son concerto pour piano.Cette uvre en trois parties se caractérise par son élégance nonchalante mais aussi par linfluence de Rachmaninoff Copland Gershwin et m?me de Beethoven et Mozart ainsi que des classiques viennois.Pour le premier mouvement Anderson opte pour une sonate. à la fin une cadence nous conduit à la deuxième partie (en mi mineur). La troisième partie est une danse populaire joyeuse et typiquement américaine en 2/4 une 'Hoe Down' avec un passage lyrique et mélodieux en son milieu. à la fin un solo est suivi par une clôture rapide.Dans son concerto pour piano Anderson unit une composition pure et classique à des thèmes beaux et simples sans oublier des éléments de la musique légère. Cette uvre

Symphony No. 3. ?All men are born free and equal in dignity and rights. They are endowed with reason and conscience and are to meet one another in a spirit of brotherhood.? This article 1 of the Universal Declaration of Human Rights forms the basic idea behind this majestic Symphony of Freedom. In each of the three movements, the composer picks another angle on this universal theme of freedom. In the first ?Cry for Freedom? it?s the Dalai Lama of which the composer is a great admirer. The second movement ?Dream of Freedom? takes the photograph of the deceased three-year-old refugee boy Ailan Kurdi on the beach at Bodrum as a basis. The finale ?Freedom Above All? refers, besides a Bruckner quote, to the music of Ludwig van Beethoven. This movement should be seen first and foremost as an affirmation of life, faith and hope for a better world.

This arrangement of the well-known Ninth Symphony melody is scored in various voices throughout. The arranger has skillfully scored the melodic line in many textures to create an interesting work that develops several times before the final cadence. A great concert closer.