Lenteur extatique qui se déroule comme la laine de son rouet, ce prélude en mi respire une senteur exquise, debussienne. Les arpèges comme des chevaux alternent leurs pas sur le chaud pavé de l'été. On aime ce que fait Matthieu, il y a tellement de contrepoint construit, de vigne vierge volubile. Un rêve en image, une candeur aussi. Bravo ! Et puis, je n'ai pas oublié, un grand merci pour la dédicace, 'Cesco.
↪ Merci beaucoup FX pour ce mot encourageant et imagé. Je suis très heureux que ça te plaise. Je t'avoue avoir eu une pensée pour Debussy en écrivant ce prélude.
Gran bel lavoro,Matthieu, complimenti davvero!!!!Breve, quasi un aforisma, ma denso e articolato... e molto godibile... esteticamente prezioso come un cameo!!!!