l'entrée par strates excellente et ce cris de cuivre dans l'aigu. L'entrée liquide des cordes et ses modulations approchées. L'athmosphère est campée, retenue. Sorte de sortilège espiègle. Les harmonies bien remplies pas de vide, un entrain de cirque à la Tati, clopinant, claudiquant. Il entraîne ,otre adhésion et notre mélancolie car souvent le nuage des cordes graves veille. L'écriture rebondie, s'empreinte de l'un à l'autre, se coupe la parole. Le grondement sourd, les coups du sort du pauvre Charlot et de Billy the kid. Il y a tout dans cette musique, du larmoyant, du pitoresque picaresque, de la bonne humeur surtout. "Les mariés de la Tour Eiffel" sont ressortis de leur daguerréotype. Il y a l'orgue des vents plamodié des coups de timbales. Le jour est mort, la nuit peut être aussi. Fin tragique. Dommage, j'aurais aimé qu'Eurydice rejoigne Orfée. Vi ii ! c'est trop beau Denys, on découvre ton talent de symphoniste. Surtout ne t'arrête pas. La Pièce symphonique No.05 attend déjà ses auditeurs. A François