Après la phase régressive, représentée par les
partitions attribuées à la catégorie "Enfants" (bien
que, comme je l'ai écrit en marge à "Augellino
migrante", la classification la plus exacte serait
celle de l’"Impressionnisme musical"), je reprends
avec une de mes habituelles, abstruses élaborations
conceptuelles. Il n'est pas difficile de prédire que,
comme cela s'est produit avec les précédentes (“To
be or not to be”, “Taux de chômage en Italie”,
“De crassi mortalium ...(+)
Après la phase régressive, représentée par les
partitions attribuées à la catégorie "Enfants" (bien
que, comme je l'ai écrit en marge à "Augellino
migrante", la classification la plus exacte serait
celle de l’"Impressionnisme musical"), je reprends
avec une de mes habituelles, abstruses élaborations
conceptuelles. Il n'est pas difficile de prédire que,
comme cela s'est produit avec les précédentes (“To
be or not to be”, “Taux de chômage en Italie”,
“De crassi mortalium gestarum G.B. magnificentia”,
pour n'en nommer que quelques-unes), la réponse du
public sera très faible. Mais si l’on trouve même
un courageux - peut-être de l'autre côté du globe -
disposé à jouer sur le clavier cette succession
inconfortable de notes que j'ai préféré déléguer
à l'ordinateur, je pense qu'il ne sera pas inutile de
la publier. Et, si ce stoïcien existe, je le salue
comme un vieil ami et lui souhaite une bonne journée
sur son fuseau horaire.