La Sonate en Ré majeur est la dernière des six Sonates K. 279?284 que Mozart emporta dans ses valises lorsqu?il s?apprêtait à se rendre vers Paris en septembre 1777. Il rapporta à son père qu?il exécuta ces sonates avec succès déjà à Munich, Augsbourg et Mannheim.

Il les pourvut de nombreuses indications de dynamique et trouva aussi en ce qui concerne leur forme des solutions inhabituelles, comme par exemple le lent Rondeau en Polonaise qui fait office de mouvement central de la Sonate en Ré majeur.

Jusqu?alors réunies dans les recueils (HN 1 et 3), ces six sonates sont désormais éditées séparément avec, en sus, de nouvelles préfaces.

Mozart a dédié cette sonate à un certain Freiherr Thaddäus von Dürnitz, ce qui explique qu?on l?ait souvent appelée la «Sonate à Dürnitz». De ces six premières sonates c?est conteste la meilleure, la plus brillante et celle qui requiert le plus d?habileté technique. On peut comprendre pourquoi Mozart l?affectionnait particulièrement et qu?il ait continué à l?exécuter lui-même.

C?est de cette incomparable lorsqu?elle était interprétée sur un des nouveaux pianofortes de Stein.

1er MOUVEMENT Une première version du début du premier mouvement rédigée sur une page et demie a été supprimée par Mozart. Il a commencé à réécrire la version définitive au bas de cette même page. Le matériau thématique de ce mouvement d?ouverture (et, à un moindre degré, celui des mouvements suivants) est disposé sur une échelle plus vaste, presque plus orchestrale, ce qui constitue une rupture avec le ton d?intimité des premières sonates. L?effet de tremolo dans les mesures 13 à 16 et les annonces répétées à l?unisson du premier thème peuvent très bien se lire comme la réduction d?un tutti orchestral. Le deuxième thème, ligne mélodique plus souple, sans accompagnement dans sa mesure d?introduction, contient une chaîne descendante de premiers renversements ? formule harmonique fort prisée aux siècles baroque et classique (il y a des passages analogues dans les thèmes subsidiaires de l?ouverture de l?Iphigénie en Tauride de Gluck et le premier mouvement du Concerto Italien de Johann Sebastian Bach). Cela fonctionne comme un passage de solo par opposition aux entrées de tutti qui suivent dans la mesure 30. Le développement traverse un cycle de tonalités mineures avant le début de la réexposition dans la mesure 72.

2eme MOUVEMENT Mozart a intitulé le second mouvement: Rondeau en Polonaise. Il s?agit donc d?une danse. Les quatre premières mesures constituent une forme de dialogue (comme le thème du premier mouvement de la sonate précédente en sol majeur) et Mozart les soumet à des variations avec un certain bonheur. Il accentue le contraste entre l?exposition et la contre-exposition par des indications de dynamique.

3eme MOUVEMENT Le dernier mouvement de la sonate est une suite de variations joyeuses qui est un régal pour le pianiste, et présente, jusqu?à la variation en adagio les caractéristiques d?une gavotte. Le don spécial de Mozart pour l?écriture en variations s?y manifeste de la manière la plus brillante. L?impression superficielle de forme diffuse ne résiste pas l?examen approfondi: il ne serait guère facile d?oublier une des douze variations ou d?en ajouter une. La variation Adagio est d?un intérêt tout particulier pour les spécialistes de Mozart, car elle nous donne quelque a perçus de sa conception de l?ornementation impromptue: l?autographe n?est que pudiquement orné et il est probable que Mozart enjolivait son texte lors de l?exécution au gré de sa fantaisie. Mais une version richement ornée a survécu dans la première édition publiée du vivant de Mozart ; et il ne fait pas de doute que cette version enjolivée est l??uvre de Mozart lui-même ? qui d?autre pourrait enjoliver une musique d?une manière aussi ingénieuse' Cela nous éclaire sir les idées de Mozart en matière d?ornementation en général et en particulier. / [Sonate pour piano en Ré majeur K. 284 (205b)] / Classique / Partition / Agrafé /

PIANO SONATA NO. 3 was written in 1960 during the composer?s studies at HAMU (Music Faculty of the Academy of Performing Arts in Prague) under Emil Hlobil. The first half of the 1960s was the period during which Fiser?s musical language underwent fundamental change as he rapidly cultivated his own, distinctive style, established in Fifteen Prints after Dürer?s Apocalypse. This sonata thus also includes several essential traits which shift his compositional development further. The work has two movements, however, its internal structure abandons traditional form. The piece is divided into several short, mutually contrasting sections, whereby the distinctions between the adjacent parts are emphasised by the thematic and chordal treatment. These contrasts are also supported by the chosen dynamics, tempo and other expressional means. The harmony is largely based on traditional chords or their condensed form while, in certain passages, we will nevertheless come across semitone clusters or fourth chords. The melody is still chiefly diatonic at times Fiser uses chromatic sequences. These new elements in Sonata No. 3 indicate an attempt to simplify his writing and ensure greatest transparency and impact. This endeavour became a basic characteristic of Fiser?s compositions from the mid-1960s onwards. The sonata originally bore the postscript Fantasia, which was subsequently taken out by the composer. It was first performed by Ales Bílek in 1961. The new setting for this piece is based on the single edition to date (Panton, 1967) only with regard to a few inconsistencies in the score was it necessary to consult the composer?s manuscript (kept at the National Museum ? Czech Museum of Music, acquisition number 297/2006). H 7957, ISMN 979-2601-0446-4

«Je veux le composer tout à fait d?après le caractère de Mlle Rose». Voici ce que répondit Mozart à la question de savoir comment il allait concevoir l?Andante de sa Sonate en Ut majeur. Il avait fait la connaissance de Rosina Cannabich à Mannheim durant l?automne 1777. Composée à son intention, la Sonate K. 309 lui fut tout de suite présentée lors d?une leçon, si bien que d?après les dires de son professeur, elle la jouait déjà de manière «admirable» en décembre 1777. Afin que de nombreux élèves puissent faire de même, nous présentons ce joyau de la musique de piano de Mozart, jusqu?alors seulement disponible dans les recueils intégrals des sonates (HN 1 et 3), sous la forme d?une édition séparée avec, en sus, une nouvelle préface de l?éditeur.


1er MOUVEMENT Le premier mouvement de la sonate K 309 en ut majeur est un modèle pour enseigner la structure de la forme sonate. Dans les formes sonate, pas plus que dans la fugue de Bach, aucun dogme ne sert de base au processus de composition, mais chaque sonate apporte une nouvelle variation à un principe fondamental. Cela impliquait, pour Mozart, l?obligation stricte de se conformer à certains schémas sans pour autant laisser entraver sa propre liberté de création. Pour ses mouvements de sonates en tonalités majeures, il était, par exemple, favorable à la dominante comme la plupart de ses contemporains. Sur ce point, Haydn, en revanche, se délectait à tenter de nouvelles expériences.
Il serait peut-être utile, par une brève analyse, de montrer quel était le modèle de référence d?une «forme d?allegro de sonate» pour Mozart, et le premier mouvement de la sonate en ut majeur K 309 est, à cet égard, un exemple idéal pour un tel examen. Le premier thème est un début caractéristique en marcato, suivi d?une «réponse» de cinq mesures. La quarte descendante et la sixte ascendante du début forment un des motifs favoris de Mozart; c?est son procédé mélodique habituel. Il l?utilise souvent en mineur comme en majeur et beaucoup de ses thèmes commencent par ce motif (pour exemple le deuxième mouvement de la sonate en la majeur K 331 et l?Adagio en si mineur K 540 et certains thèmes des Symphonies K 114, 124, 319/II et 551/II). Les sept mesures du thème principal sont répétées avec une légère variation. Les mesures 12 à 30 viennent conclure la période du premier thème par une phrase réponse (3 3 mesures). La transition fait appel à un nouveau matériau puis, dans la mesure 35 (âpres 2 mesures préliminaires) vient un second thème cantabile à la dominante (sol majeur), comprenant deux fois quatre mesures. Il est également repris et s?achemine vers un thème de clôture plein d?allant (groupe conclusif) qui traverse un passage d?ornementation pianistique (m. 43) et enferme une merveilleuse réduction des mesures 35 et 36 dans la mesure 45. L?exposition se termine par une «codetta» de cinq mesures. Le développement présente d?abord le motif d?exposition en sol mineur puis les différentes idées du premier thème sont élaborées. Dans cette démarche, Mozart s?en réfère beaucoup plus aux principes d?école qu?il ne le fait d?habitude. Deux autres expositions du motif du départ nous conduisent à la réexposition dans la mesure 94. Le second thème, maintenant à la tonique, s?est interverti avec son accompagnement. On assiste à un rappel du début dans une coda qui s?impose avec force.

2eme MOUVEMENT Le deuxième mouvement de cette sonate est un Andante un poco adagio introspectif. Mozart avait fait part dans une lettre de sin désir d?adapter cet Andante au caractère de la jeune pianiste Rosa Cannabich pour laquelle il l?avait écrit : «c?est une jolie et charmante jeune fille, tout comme cet andante. Elle est très mûre et posée pour son âge, elle ne parle pas beaucoup et c?est toujours avec grâce et gentillesse».

3eme MOUVEMENT C?est un Rondo élégant et fluide, d?une longueur inusitée, qui clôt cette sonate. / [Sonate pour piano en Ut majeur K. 309 (284b)] / Classique / Partition / Agrafé /

Une sélection spéciale le plus poignant, expressive et émouvante thèmes et mélodies, tout arrangés comme solos de Piano somptueux. Cette anthologie apportera une larme à vos yeux et un morceau de votre gorge que vous appréciez une sélection absorbante et extrêmement enrichissante. Le trente et un morceaux ici vont de Barber célèbre Adagio pour cordes, par le biais de Elgar Nimrod spectaculaire aux favoris populaires, y compris le Pie Jesu et le thème de Six Feet Under la télévision. Vous reconnaîtrez les thèmes et les mouvements comme apparaissant dans les films comme de Schindler liste, le pianiste, mort À Venise et Elizabeth. Ces mouvements mémorables ont été compilées à partir de l'album du même nom et amoureusement disposés pour le solo de Piano. / Piano / 96 pages / Partition

The 17 large works in this volume present a varied cross section of the sonata literature from the baroque to the present. Haydn, Mozart, Schubert, Handel, and Beethoven are well represented, as are many others. Each piece is in its original form, based on authentic texts. Difficulty varies from easy to advanced. / Piano

The Sonata is one of Erkin's works which the casual listener may fail to attribute to a particular geography at a first hearing. He will however become absorbed by a unique sense of identity, surprising harmonies and rhythms which integrate with such sincerity and authenticity in the flow of the music. At a more attentive hearing, one can discover features of ancient Anatolian music which Erkin always transforms with extraordinary inspiration, enfolding audiences unfamiliar with this culture in a music which is often profoundly spiritual with an admirably woven polyphonic texture in which not one bar seems superfluous or out of place. The first movement Allegro is woven from two contrasting themes. The first is a vigorous progression in the middle register with contrapuntal elements quasi as counterpoint. A luminous second theme evoking folk tunes connects back to the first theme and the movement ends in a brisk tone. In the second movement Adagio molto sostenuto a profound, introspective first theme is developed in variations of exquisite lyricism. The imposing middle section which forms a rondo suggests latent unrest. Imbued with energy and determination, the final Allegro consists of abstracted elements of Anatolian folk music bearing the creative stamp of Erkin. The movement ends with an impressive crescendo. / Piano

including the unfinished works-The third volume in the series of Franz Schubertâ??s Complete Piano Sonatas has been carefully edited annotated and fingered for the ABRSM by Howard Ferguson. Published within the â??Signatureâ?? Series a series of authoritative performing editions of standard keyboard works prepared from original sources by leading scholars including informative introductions performance notes and detailed editorial markings. Volume Three includes the final four of his twelve fantastic Sonatas as well as several unfinished pieces. All composed between 1815 and 1828 these range from popular favourites to mere fragments only a few bars long. Even in the earliest of thesesonatas Schubert demonstrates his compositional poeticism sensitivity and skill in the romantic idiom. For a broad scope of emotion and feeling they are second only to Beethovenâ??s sonatas.

Sergei Prokofiev's nine piano sonatas span the years 1907 to 1953. This collection, edited by Thomas Schumacher, addresses the first four of these masterworks: Op. 1 (in F minor), Op. 14 (in D minor), Op. 28 (in A minor), and Op. 29 (in C minor). In prefatory matter, Schumacher discusses Prokofiev's compositional style and the form of each sonata, in addition to analyzing the various themes and compositional nuances of each work. Helpful fingering and pedaling suggestions are also offered in this comprehensive, clearly engraved edition. Thomas Schumacher, professor emeritus of piano at the Eastman School of Music, has toured and lectured throughout the United States, Canada, Italy, Sweden, Belgium, China, Taiwan, and Japan. He studied at the Manhattan School of Music and the Juilliard School. / Piano

The Works for one Instrument and PianoJohannes Brahms' compositions for one instrument and piano have been standards in chamber music literature ever since their inception. These works were written with specific performers in mind and Brahms worked closely with them when refining the final texts. Nevertheless, we rarely approach the music taking into consideration the possibilities of the instruments for which Brahms wrote or the performing practices of the individual players who first performed these compositions, including Brahms himself.The New Urtext EditionsBärenreiter's pioneering new scholarly-critical editions of Brahms' works for one instrument and piano are edited by a team of musicologists who are also performers. They offer today's musicians not just a reliable musical text based on all known sources, but also a comprehensive approach to the works, which aims to place them in their historical context and to elucidate the complex of meanings that the composer wished his notation to convey to performers.In addition to the musical text these editions offer an informative Introduction laying out the genesis, publication history and reception of the works. At the same time there is a complete list of the sources, an explanation of the editorial procedures and a Critical Commentary. Also, each volume contains a detailed discussion of specific performing practice issues raised by individual works.An integral part of Bärenreiter's Brahms publication complex is a text booklet which approaches general performance practice issues of the 19th century with regard to e.g. tempo, rubato, rhythmic flexibility and articulation. Furthermore musicians will find valuable information concerning vibrato, portamento and bowing. Last but not least characteristics of Brahms' own piano playing as well as that of his circle and contemporaries are discussed.The violin and viola sonata editions come not only with an Urtext part freed from all editorial emendations, but also with an additional part including fingering and bowing based on the practices of Joseph Joachim and his colleagues. These markings especially draw on publications of the sonatas edited by Joachim's pupils Leopold Auer and Ossip Schnirlin as well as those by Brahms' associate Franz Kneisel. A similar approach has been used for the violoncello sonatas, drawing on performance markings by Robert Hausmann (for whom Brahms wrote the Sonata in F major), Hugo Becker, with whom Brahms performed it, and Julius Klengel who was also close to his circle.Bärenreiter's new Brahms complex also importantly brings two neglected works back into the player's hands, namely the splendid versions of the op. 120 sonatas, originally written for viola or clarinet and piano. Brahms' arrangements for violin and piano unaccountably disappeared from the standard repertoire early in the 20th century. In these versions Brahms did not simply adjust the solo part for the violin, he made many alterations to the piano part, casting thought-provoking light on the clarinet and viola versions.- A pioneering set of Urtext editions- String editions include an Urtext solo part and a second part with fingering as well as performance markings- Each edition offers a preface on performance practice aspects pertaining to the respective works- A separate text booklet includes pioneering texts on general issues of performance practice in the 19th century as well as on specific issues with regard to Johannes Brahms' chamber music / Violon Et Piano

Par JANACEK LEOS. The composition “ 1. X. 1905 , ” generally referred to as a “sonata, ” stems from the autumn of 1905, the peak of the riots between the Czech- and German-speaking populations in Janá ek ’s hometown Brno. Reacting to the violent death of a Czech worker, Janá ek wrote a three-part composition for Piano originally bearing the title “From the Street, on October 1, 1905. ” Dissatisfied with the work, however, Janá ek is said to have first burned the third movement in his fireplace and then thrown the remaining two movements into the Vltava, even before its premiere. A copy of these first two movements on which thepublication of the first edition was later based is also missing today. For this reason, the Urtext edition of G. Henle Publishers and Universal Edition is based solely on the first edition from 1924, which Janá ek expert Ji í Zahrádka has carefully evaluated and annotated for this volume. / Zahrádka, Jirí / Répertoire / Piano

Comme le principal représentant de la musique tchèque à Vienne du 18e siècle, Leopold Kozeluh (17471818) a été observée principalement comme compositeur, pianiste et professeur de clavier. Ses 50 sonates pour clavier couvrent toute sa carrière et marquent non seulement la transition entre le clavecin et clavicorde manière le style fortepiano entièrement idiomatique, mais aussi le développement de la 'sonate classique' de l'ordre de trois décennies (17731806) .Jusqu'à présent, les pianistes ont eu peu de chance de se familiariser avec la gamme complète des sonates de Ko?eluh depuis quelques existait dans les éditions modernes. Cette nouvelle édition complète par Christopher Hogwood présente pour la première fois toutes les sonates de Ko?eluh pour solo de clavier.Le projet est divisé en quatre volumes qui paraîtront en 2007 et 2008, allant chronologiquement à travers les séries publiées. Volume 4 contient également ces sonates qui ne se trouvent que dans les sources manuscrites. La première édition complète des Sonates pour clavier du compositeur tchèque Leopold Kozeluh Remplit un vide dans le répertoire du répertoire classique tchèque et de l'Europe centrale Convient pour les amateurs et les professionnels, et idéal pour les fins d'enseignement Introduction détaillée (Cz / Eng / Ger...), Commentaire critique (Fr.) et facsimilés / Clavier

Lorsque Christa Landon présenté la première version imprimée de son édition de sonates pour piano de Joseph Haydn, oeuvre de Sonate de Haydn est encore éclipsé par les oeuvres de Mozart et de Beethoven. Depuis lors, les sonates de Haydn ont progressé dans les salles d'enseignement pour les salles de concert et édition de Landon a joué un rôle crucial dans ce processus. L'anniversaire de Haydn en 2009 est une occasion bienvenue à réviser complètement cette édition ' légendaire ' pour, au cours de plus de quarante ans, nouvelles sources sont venus à la lumière et les questions d'authenticité ont été résolues, pas moins parce que les principes de rédactionnelles pour la musique du XVIIIe siècle ont considérablement changé. La nouvelle édition comprend toutes les oeuvres de la précédente édition de Wiener Urtext plus la Sonate Hob. XVI:16 édité par Landon, avec la Sonate en fa majeur qui a été redécouvert à Bozen, il y a quelques années et attribué à Joseph Haydn. La nouvelle édition est publiée en quatre volumes, le contenu de chaque volume étant compatible avec les volumes o... / Piano / Partition

Bartók taught piano at the Music Academy in Budapest from 1907 to 1934. In his first years as a professor the Budapest music publishers Rozsnyai and Rózsavölgyi commissioned him to prepare so-called instructive editions (including suggestions, commentaries and fingerings for the performer) of several classics of the piano repertoire, altogether more than two thousand pages of music. Following Bach and Beethoven, Mozart was the third classical titan of whom Bartók ventured to undertake a performing edition necessary for music education and the sheet music trade in Hungary. Károly Rozsnyai entrusted the work to him. Bartók worked on revisions of the sonatas between 1910 and 1912, and in 1912 or 1913 the pieces were published in a single-volume version. The two-volume form was published later, perhaps during the years of inflation following the First World War, on poorer quality paper and with gray cover. Bartók's editing reflects contemporary ideas about performance, but is for the most part more detailed and elaborate than in other similar instructive editions at the turn of the century.
For the present edition we have corrected known printing errors by retouching the score, and we have deleted abbreviation letters referring to analysis of the form of the sonatas, which Bartók agreed to only at the explicit request of the publisher. We have added an English translation to the footnotes in Hungarian and German. The reader's attention is drawn to significant problems of authenticity and text in new editorial footnotes.
To the new edition we have added an afterword by László Somfai which details the circumstances of the first publication, Bartók's sources and his working methods. Bartók's Mozart concept is outlined in detail, and the author reveals the problems surrounding the composer's edition and the significant distortions in the musical text, and puts into a historical context the performance indications used by Bartók. / Partitions classique / Piano - instruments à clavier / Piano / EMB (Editio Musica Budapest)