SKU: HL.48181593
UPC: 888680906092. 9.0x12.0x0.102 inches.
“Trois Pièces Pour Une Musique De Nuit is a set of three melodious pieces by Eugène Bozza written for Flute, Oboe, Clarinet and Bassoon. This book contains all the parts as well as the full score. The three pieces are quite distinctive: - Andantino: 6/8 - Allegro Vivo: 3/8 ? tempo 104 - Moderato: 2/4 ? tempo 72 This piece is highly representative of the compositions by Eugène Bozza . Eugène Bozza won different prizes at the Conservatoire de Paris such as the First Prizes for the Violin, conducting and composition, as well as the Grand Prix de Rome. He composed several operas, chamber works and ballets among others.”.
SKU: HL.48180923
UPC: 888680907976. 9.0x12.0x0.092 inches.
Composed by Jehan Alain, Three Pieces is a set of upper intermediate / advanced works for organ, with pedal-use. The first piece, ?Variations sur un theme de Clement Jannequin (Variations on a Clement Jannequin's Tune), should be played?in the same way as Couperin's Preludes: freshly and softly. It contains four distinctive parts: Affetuoso, Maggiore, Fuggato and Grave. The second piece is called ?Le jardin suspendu (The hanging garden) and features three different parts that can't be played separately. The last piece, Litanies, is quite religious and consists of the repetition of lamentations. Its introduction in vivo is played only by the right hand, then followed by a?Lirico ma sempre vivo part. These are followed by switches between the main tempo and some vivacissimo parts, sounding declamatory. This third piece ends really harmoniously. Jehan Alain is a French organist who became famous with his Suite for Organ. Student of Marcel Dupre and Roger Ducasse among others, he kept composing all his life. One of his most famous international pieces is Litanies.
SKU: GI.G-003031
Originally one of three pieces for solo organ (Trois Pièces pour Grand Orgue) Théodore Dubois, the majestic Hosannah has been arranged for organ and two trumpets by composer/arranger Richarl Siegel. The piece contrasts stately, chordal sections with more florid (but never complicated) passages, all being brought to a regal conclusion. The trumpet writing is accessible and capable. High school or other intermediate-level players will be able to perform this piece. Optional parts for timpani and cymbal are included, which will add an extra level of brilliance to this fine transcription. It is suitable for any festive celebration. As a prelude on Palm Sunday, this piece would provide a noble opening to Holy Week. As an Easter Vigil or Easter Sunday postlude, it would be a sonic reminder of Christ's triumphant entry into Jerusalem, leading to his triumphant victory over the tomb. For Organ, Two Trumpets, optional Timpani, and Cymbals.
SKU: HL.14079013
SKU: BU.EBR-A097
ISBN 9790560150451. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. Version Révisée en 2010 par Sarah Fahy et Patrice Bourgès.Composé es entre 1890, pour les première et troisième, et 1893, pour la deuxième, les trois Gnossiennes, parues du vivant du compositeur, sont presque aussi célèbres que leurs soeurs aînées les Gymnopédies.Du mot « gnossienne » on a proposé toutes sortes d’interprétations, mais il s’identifie avant toute autre chose à sa musique, énigmatique, obsédante par ses répétitions, sa monotonie rythmique, ses mélismes orientaux, ses silences.Dans chacune de ces trois pièces le rythme joue un rôle essentiel : la musique, débarrassée de la barre de mesure, se déploie sur une basse syncopée lui assurant une grande unité.La grande nouveauté des Gnossiennes réside dans la présence, pour la première fois, d’annotations fantaisistes destinées à l’interprète. Ce ne sont pour la plupart que des directives musicales : « postulez en vous-même », « enfouissez le son », « dans une grande bonté », suggèrent un état d’âme, une sonorité ou une allure. Mais certaines ajoutent au mystère de la musique, tel le célèbre « ouvrez la tête ».
SKU: BT.DHP-1185931-404
ISBN 9789043155113. French.
La collection Écouter, lire et jouer est aujourd’hui une référence pour l’enseignement des cuivres et des bois. Tous accompagnés d’un CD, ces ouvrages passionnants destinés aux débutants contiennent des chansons, des casse-tête musicaux et des jeux pour mieux comprendre la musique, des informations sur l’instrument concerné, et de nombreuses pièces agréables jouer. Les trois volumes de la méthode qui forment la base de cette collection sont complétés par plusieurs volumes de matériel complémentaire correspondant aux diverses étapes de cette méthode.
Dans Les Grands Classiques, les mélodies sont présentées en ordre croissant de difficulté et peuvent êtretravaillées conjointement avec les trois volumes de la méthode Écouter, lire et jouer. Emmenés dans un voyage travers l’histoire de la musique, les élèves rencontrent les plus importants compositeurs de la musique classique, depuis Tielman Susato jusqu’ Anton n Dvo ák, et bénéficient de commentaires historiques pertinents. La présente édition comprend des partitions pour accompagnement au piano soigneusement arrangées dans un niveau de difficulté modéré, dont les enregistrements sont disponibles sous forme de fichiers en ligne écouter en streaming ou télécharger.
SKU: BT.DHP-1185930-404
ISBN 9789043155106. French.
SKU: BT.DHP-1185929-404
ISBN 9789043155090. French.
SKU: BT.DHP-1185932-404
ISBN 9789043155120. French.
La collection ?couter, lire et jouer est aujourd??hui une référence pour l??enseignement des cuivres et des bois. Tous accompagnés d??un CD, ces ouvrages passionnants destinés aux débutants contiennent des chansons, des casse-tête musicaux et des jeux pour mieux comprendre la musique, des informations sur l??instrument concerné, et de nombreuses pièces agréables jouer. Les trois volumes de la méthode qui forment la base de cette collection sont complétés par plusieurs volumes de matériel complémentaire correspondant aux diverses étapes de cette méthode.
Dans Les Grands Classiques, les mélodies sont présentées en ordre croissant de difficulté et peuvent êtretravaillées conjointement avec les trois volumes de la méthode ?couter, lire et jouer. Emmenés dans un voyage travers l??histoire de la musique, les élèves rencontrent les plus importants compositeurs de la musique classique, depuis Tielman Susato jusqu?? Anton n Dvo ák, et bénéficient de commentaires historiques pertinents. La présente édition comprend des partitions pour accompagnement au piano soigneusement arrangées dans un niveau de difficulté modéré, dont les enregistrements sont disponibles sous forme de fichiers en ligne écouter en streaming ou télécharger.
SKU: BT.DHP-1185933-404
ISBN 9789043155137. French.
SKU: BT.DHP-1185928-404
ISBN 9789043155083. French.
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Fran cis Bebey est né à Douala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller à l'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé à La Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé à Paris où il a commencé des études d'anglais à la Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux ?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèleme nt, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. ? Paris, le jazz, la musique à la mode à cette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait à de nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre à jouer de l'instrument lui-même.Il a commencé à composer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain à Paris), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivemen t, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile à concilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique à l'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment à travers le piano à pouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun à la Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité à se produire, à donner des conférences ou à rencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité à faire partie du jury d'un concours de guitare classique à Caracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès à la fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didn??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: BT.HITPCDEBUS01
Dans la lignée de la collection «Les classiques au XXIe siècle», ce recueil propose une rencontre musicale et biographique avec celui qui fut l’un des plus grands compositeurs du XXe siècle et le plus représentatif de la musique française. Au fil de 13 pièces pour piano de niveaux variés ( partir de la troisième année), ce recueil détaillera les étapes de la vie de Claude Debussy et les voyages qui ont jalonné son existence.
SKU: BT.DHP-1002209-010
Sinfonia Hungarica is a three-movement symphony that depicts the history of Hungary. All three movements were inspired by historical key figures, wars, and other important events from this country. This symphony is a celebration of Hungary’s millennium in 2001.The final movement is named after ISTVAN, the King who introduced Christianity into Hungary and who was crowned by Pope Silvestro II on January 1, 1001. A rather solemn start leads to another war-like passage, ending with some loud crashes. This symbolizes the fact that the body of the pagan Koppany was cut into four pieces, and sent to the four castles of the country as an example. After a quiet, almost religiousintermezzo, the National Hymn of Hungary is introduced. This broad “grandioso” ending also has a symbolic meaning: after ten centuries, Hungary has many reasons to look back on the past with pride, and to look forward to the future with optimism and confidence. Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila , König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernde n Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfon ia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA , roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressio ne e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszag”.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.
SKU: BU.EBR-A038
ISBN 9790560151090. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. Jean Sebastien Bach a écrit 15 Inventions à deux voix (BWV 772-786) et 15 Inventions à trois voix (BWV 787-801) qu'il a nommées Sinfonias. Il les publie en 1723 à Cöthen. Ce sont des ouvrages didactiques. Avec ces trente inventions Bach vise surtout à instruire et à mettre en place une méthode pour les enfants. Il exprime sa pensée en préface dans un des manuscrits autographes des Inventions : « Méthode sincère destinée aux amateurs, aux apprentis pour leur apprendre à jouer correctement à deux parties, à procéder ultérieurement juste et bien avec deux ou trois parties obligées, à avoir de bonnes inventions, acquérir une manière chantante de jouer, ainsi qu'un avant goût de la composition ».Ainsi les morceaux sont groupés suivant l'ordre des demi-tons de la gamme et non pas selon la complication croissante des tonalités. Chaque invention a un seul motif thématique. Ce motif peut être agrandi en thème et par la suite, mené en contrepoint avec d'autres petits motifs et la recherche d'un équilibre rigoureux dans chaque invention est une grande difficulté qui peut dépasser la compréhension d'un pianiste novice. Bach intègre dans ces morceaux toute une panoplie de procédés techniques comme le canon, le contrepoint, la complexité de la composition nécessitant l'utilisation de la pédale harmonique et la façon d'ornementer un motif thématique.On peut entrevoir dans ces Inventions une manière de synthétiser sa méthode de travail et une initiation à l'écriture musicale. Sur un rythme binaire à 3/4, Bach montre un côté joyeux et léger dans ce morceau. Un canon à l'octave est le point central de cette Invention n°8. Ce passage est entrecoupé de moments musicaux qui se présentent sous forme de courbes mélodiques à la tierce entre les deux mains ou de marches harmoniques descendantes.Pas une note, ni phrase mélodique, ni procédé d'écriture qui ne soient indispensables dans cette miniature. Rien de superflu n'encombre les dessins mélodiques. Tout est épuré pour ainsi révéler des instants de climats agréables et fugitifs d'une grande sensibilité pour l'interprète.
SKU: BU.EBR-A037
ISBN 9790560151083. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. Jean Sebastien Bach a écrit 15 Inventions à deux voix (BWV 772-786) et 15 Inventions à trois voix (BWV 787-801) qu'il a nommées Sinfonias. Il les publie en 1723 à Cöthen. Ce sont des ouvrages didactiques. Avec ces trente inventions Bach vise surtout à instruire et à mettre en place une méthode pour les enfants. Il exprime sa pensée en préface dans un des manuscrits autographes des Inventions : « Méthode sincère destinée aux amateurs, aux apprentis pour leur apprendre à jouer correctement à deux parties, à procéder ultérieurement juste et bien avec deux ou trois parties obligées, à avoir de bonnes inventions, acquérir une manière chantante de jouer, ainsi qu'un avant goût de la composition ».Ainsi les morceaux sont groupés suivant l'ordre des demi-tons de la gamme et non pas selon la complication croissante des tonalités. Chaque invention a un seul motif thématique. Ce motif peut être agrandi en thème et par la suite, mené en contrepoint avec d'autres petits motifs et la recherche d'un équilibre rigoureux dans chaque invention est une grande difficulté qui peut dépasser la compréhension d'un pianiste novice. Bach intègre dans ces morceaux toute une panoplie de procédés techniques comme le canon, le contrepoint, la complexité de la composition nécessitant l'utilisation de la pédale harmonique et la façon d'ornementer un motif thématique.On peut entrevoir dans ces Inventions une manière de synthétiser sa méthode de travail et une initiation à l'écriture musicale.Etablie sur une mesure ternaire à 3/8, la celulle thématique navigue dans cette invention n°4 tout autour de vagues ascendantes et descendantes. Sa réalisation au niveau de sa composition est assez complexe. Il y a une succession d'inversions de voix, suivies ou précédées d'épisodes canoniques et de marches harmoniques. Bach révèle son aisance dans l'art de la composition, ce qui oblige le pianiste à réfléchir sur son interprétation pour mettre en évidence les différentes harmonies qui sont, pour certaines, des éclairages fugitives d'une frémissante sensibilité.
SKU: BU.EBR-A036
ISBN 9790560151076. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. Jean Sebastien Bach a écrit 15 Inventions à deux voix (BWV 772-786) et 15 Inventions à trois voix (BWV 787-801) qu'il a nommées Sinfonias. Il les publie en 1723 à Cöthen. Ce sont des ouvrages didactiques. Avec ces trente inventions Bach vise surtout à instruire et à mettre en place une méthode pour les enfants. Il exprime sa pensée en préface dans un des manuscrits autographes des Inventions : « Méthode sincère destinée aux amateurs, aux apprentis pour leur apprendre à jouer correctement à deux parties, à procéder ultérieurement juste et bien avec deux ou trois parties obligées, à avoir de bonnes inventions, acquérir une manière chantante de jouer, ainsi qu'un avant goût de la composition ».Ainsi les morceaux sont groupés suivant l'ordre des demi-tons de la gamme et non pas selon la complication croissante des tonalités. Chaque invention a un seul motif thématique. Ce motif peut être agrandi en thème et par la suite, mené en contrepoint avec d'autres petits motifs et la recherche d'un équilibre rigoureux dans chaque invention est une grande difficulté qui peut dépasser la compréhension d'un pianiste novice. Bach intègre dans ces morceaux toute une panoplie de procédés techniques comme le canon, le contrepoint, la complexité de la composition nécessitant l'utilisation de la pédale harmonique et la façon d'ornementer un motif thématique.On peut entrevoir dans ces Inventions une manière de synthétiser sa méthode de travail et une initiation à l'écriture musicale.Constitué d'une mesure binaire à quatre temps, le thème initial de l'Invention n°1 est présenté d'abord à la main droite et se conclut par une réponse immédiate à la main gauche. Puis les deux mains contribuent à son enrichissement en se développant jusqu'à sa réexposition à la neuvième mesure où il se révèle à nouveau dans son inverse sur le ton de la dominante. Composé de vingt-deux mesures, ce thème et son inverse obnubilent toute cette première invention et expriment de manière chantante des pensées délicates.La sensation fugitive du sentiment mélangée au contrepoint de Bach demande aux pianistes une dextérité pour la recherche de l'absolu.
SKU: BU.EBR-A047
ISBN 9790560151205. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement à travers ses pièces.En écoutant « à une Smyrniote » comme dans les autres pièces se révèle un orientalisme assez peu oriental pour nous aujourd'hui. A l'origine, l'orientalisme est un mouvement artistique, ce qui signifie qu'il ne peut être fidèlement lié à la reproduction de la réalité.Dans cette pièce, la mélodie est liée sans nul doute à la basse harmonique très mise en valeur par des accentuations rythmiques qui constituent une assise solide. Des reprises de passages musicaux dans l'enchaînement de l'œuvre révèlent des atmosphères complètement différentes, suggérant au pianiste un nouveau fil conducteur dans l'interprétation.
SKU: BU.EBR-A046
ISBN 9790560151175. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».Lorsqu'e lles sortent, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Dans la pièce Souvenirs d'enfance, les mélodies sont pour lui plus qu'un carnet de notes ou un journal de voyage où il consigne impressions et souvenirs. C'est aussi un journal intime dans lequel des passages laissent parfaitement deviner qu'il relate son parcours initiatique. Félicien David y revoit son enfance et pense à l'Occident. Son orientalisme n'est donc pas chez lui un refuge ou le moyen d'une fuite.Venez interpréter une des pièces composées par un des maîtres de l'orientalisme du 19ème siècle !