2 Duos C-Dur und D-Dur

Original Works from the Baroque to the Modern era. Par . Quiconque ouvre ce «coffre au trésor» découvrira avec plaisir les gemmes de la littérature pour deux violoncelles. Ce volume contient des compositions des époques baroque, classique, romantique et moderne. Elles traitent de surcroît tous les aspects du jeu en duo, tels que la confiance en soi pour mener sa propre partie, l'atteinte d'un son équilibré, l'intonation et l'amélioration de la condition physique. Ce volume est particulièrement d'utilité pour les cours, les duos étant classés par positions et pouvant servir de matériau supplémentaire pour jouer dans les 1e à 4e positions. Ce recueil était auparavant publié en tant que 'Duo-Schatzkiste' (Un coffre à trésors de duos). / Niveau : facile - moyen / Date parution : 2024-02-16/ Recueil / 2 Violoncelles

20 Original Pieces. Par . Dans la série à succès Best of Piano Classics, deux autres recueils d'œuvres originales et d'arrangements paraissent, désormais pour piano à quatre mains, pour un double plaisir de jouer de l'instrument : Best of Piano Duets 1 contient 20 duos originaux, dont la valse populaire et la danse hongroise n° 5 de Brahms ou la marche militaire de Schubert. Best of Piano Duets 2 contient 20 arrangements pour les amateurs exigeants de chefs-d'œuvre classiques, dont le célèbre canon de Pachelbel, 'Das klinget so herrlich' de la Flûte enchantée de Mozart ou l'atmosphère matinale de Grieg. Complétés par des doigtés, des suggestions de tempo et des indications de pédale, ces morceaux originaux et ces arrangements, qui sonnent bien et qui ont été sélectionnés pour des joueurs avancés, sont imprimés dans un style moderne et agréable à lire et sont recommandés non seulement pour l'enseignement, mais aussi pour tous ceux qui pratiquent le piano comme un hobby. / Niveau : Moyen / Date parution : 2023-09-13/ Recueil / Piano 4 Mains

'Die fröhliche Querflöte' est destiné aux débutants jeunes âgés de 7 en cours privés ou en groupe. Cette méthode prend les élèves le long d'une motivation, de façon intéressante et pleine d'humour et garantit que ni le plaisir, ni dans la joie d'apprendre tombera court grâce à un pot-pourri de pièces intéressantes de la musique, des exercices simples et une pratique de conception clairement structurée: facile et axés sur l'enfant augmentation du niveau de difficulté, bien équilibré ratio de mélodies, duos et des exercices, des conseils pour l'improvisation et la composition, ainsi que des textes d'accompagnement, d'information et de photos. De nombreuses illustrations en couleurs feront les enfants aiment apprendre. Volume 2 présente les touches principales jusqu'à 3 dièses et 3 appartements, ainsi que les premières touches mineures. La plage tonale est soigneusement étendu à f'' ', et le jeu ternaire est introduit. / Flûte

Aulos I to a certain degree continues Orbán's easy piano pieces for children, which he composed for Ágnes Lakos's piano tutor and which Editio Musica Budapest published in a separate volume entitled Enchanted Forest in 2011 (Z14742). Yet on this occasion the composer took on something which was both significantly different and more than his earlier pieces for children. On the one hand, he did not compose for beginners but for more advanced students who have studied piano for at least three years. On the other, he did not set developing the technique of piano playing as an aim, rather a systematic presentation of different polyphonic genres and compositional procedures (imitation, fugue, stretto, inversion, augmentation and diminution, double counterpoint, latent polyphony, double and triple fugue, cantus firmus technique, etc.). Orbán introduces his students to the mysteries of polyphony in a direct and practical manner, and thus actually makes them familiar with the art of composition.The educational use of the series is significantly increased by the fact that before each piece the composer presents and clarifies with demonstrative illustrations the polyphonic procedure he introduces. Orbán's explanations are not text-book-like at all, but are deliberately personal and subjective, full of lessons and individual associations taken from his practice as a composer. They were written in the same spirit as the works themselves - while they perfectly fulfil their educational purpose they are equally individual, witty and inspired pieces of music that are a joy to play. / Ensemble Mixte

Quelques duos chant-guitare ont durablement marqué l?histoire du flamenco. Ainsi, les cinq albums gravés par Camarón de La Isla et Paco de Lucía entre 1969 et 1973 ont véritablement révolutionné l?esthétique du genre, et constituent encore actuellement une référence pour les artistes contemporains. Ce volume vous propose donc la transcription intégrale des falsetas de Paco de Lucía pour ces cinq enregistrements aussi mythiques qu?incontournables. Certaines, parmi les plus célèbres, ont été reprises dans les disques solos de cette période, mais beaucoup d?autres ont été spécialement composées pour l?accompagnement du cante de Camarón. Les analyses de quelques exemples caractéristiques vous permettront de mieux comprendre le style du guitariste, et donc de relever d?autres falsetas du maître, ou de composer vos propres falsetas « à la manière de ». Enfin, le CD reprend tous les exemples présentés afin de faciliter votre compréhension et votre assimilation.
Support média : Compact disc
Langue : en français

Les plus beaux passages de Michel Fugain au sein de cette célèbre émission. Un moment de détente, distrayant et divertissant, empreint d?une douce nostalgie. Des duos, des sketches, des spectacles? et tout le savoir-faire du duo Carpentier, les magiciens de la variété française. Dans ce Top à?, dans un décor féérique et des costumes dignes des dieux du music-hall, Michel Fugain vous présente les artistes inoubliables qui ont marqué les belles années ?70. Description du produit Une émission de Maritie et Gilbert Carpentier Emission du 2 décembre 1972 Les plus beaux passages de Michel Fugain au sein de cette célèbre émission. Un moment de détente, distrayant et divertissant, empreint d une douce nostalgie. Des duos, des sketches, des spectacles... et tout le savoir-faire du duo Carpentier, les magiciens de la variété française. Duos avec France Gall, Caterina Caseli, Annie Girardot Sketches avec Sylvie Joly, Jean-Michel Ribes, Philippe Genty Les plus belles chansons : Fais comme l oiseau; Les rues de la Grande Ville; La Belle Histoire; Dépêche-toi; Attention Mesdames et Messieurs

Les Carpentier, le plus célèbre couple de la télévision française vous présentent Numéro 1... Gilbert Bécaud : Le passage de Gilbert Bécaud au sein de cette célèbre émission. Un moment de pure détente, distrayant et divertissant, empreint d'une douce nostalgie. Des duos, des sketchs, des spectacles... Dans ce numéro 1, Gilbert Bécaud vous présente les artistes inoubliables qui ont marqué les belles années 70.

Les plus beaux passages de Claude François au sein de cette célèbre émission. Un moment de détente, distrayant et divertissant, empreint d une douce nostalgie. Des duos, des sketches, des spectacles... et tout le savoir-faire du duo Carpentier, les magiciens de la variété française. Dans ce Top à..., dans un décor féérique et des costumes dignes des dieux du music-hall, Claude François vous présente les artistes inoubliables qui ont marqué les belles années 70.

Vol.1 Premières Mélodies. Par FAURE GABRIEL. Gabriel FAURE est né à Pamiers (Ariège), le 12 mai 1845. Ses dons précoces pour la musique lui permirent d'entrer dès l'âge de neuf ans à la célèbre Ecole Niedermeyer fondée à Paris pour former les organistes et les maîtres de chapelle : durant une dizaine d'années, il y reçut un enseignement de grande qualité, axé principalement sur l'étude de la musique sacrée et des grands chefs-d'oeuvre classiques, auxquels l'initia notamment Camille Saint-Saëns, son professeur de piano. Dès sa sortie de l'Ecole, Fauré entama une brillante carrière d'organiste. En 1896, il succéda à Théodore Dubois à l'orgue de la Madeleine et fut nommé professeur de composition au Conservatoire : il y eut pour élèves Ravel, Koechlin, Enesco, Schmitt. Entre-temps, il avait rencontré Liszt à Weimar et s'était initié à l'art de Wagner dont il ne subit pas véritablement l'influence. Appelé en 1905 à la direction du Conservatoire de Paris, après la démission de Théodore Dubois, membre de l'Institut, critique musical, Fauré vécut ses dernières années dans l'isolement, frappé par une irréversible surdité qui le contraignit à démissionner du Conservatoire en 1920. Il est mort à Paris, le 4 novembre 1924. La musique de ce compositeur quelquefois incompris et qui toucha à presque tous les genres (hormis l'orgue), se révèle d'une grande subtilité. Ennemi de l'emphase, Fauré a mis un contrepoint élégant, une écriture harmonique très personnelle, des inflexions imprévues et le secret de sa sensibilité musicale peu commune au service d'une oeuvre variée et d'une extrême qualité./ Répertoire / Chant et Piano

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 10 (WSW 15) en la M
Sonata 11 (WSW 16) en sol M
Sonata 12 (WSW 17) en do M
Sonata 13 (WSW 18) en ré M
Sonata 14 (WSW 19) en mi M
Sonata 15 (WSW 21) en mi m
Sonata 16 (WSW 22) en sol M
Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

'C'est la quatrième collaboration enregistrées entre les guitaristes acoustiques John Renbourn et Stefan Grossman, a enregistré en 1987 et produit par Jones de Led Zeppelin John Paul. Comme sur ses trois prédécesseurs, l'appel se trouve dans le contraste entre Renbourn le style folklorique traditionnelle britannique et Grossman tendances du jazz et du folk-blues. Idéalement, comme sur 'Rites of Passage' et 'Gardien de la vigne,' Renbourn se concentre sur un réseau complexe, folk-modèle basé sur ce que Grossman décore avec des embellissements bluesy. les deux ont un intérêt déjà exprimé dans l'adaptation classiques du jazz à leur approche à deux guitares, et ils le font ici sur la norme 'Round About Midnight', puis rappelle ses travaux antérieurs sur des airs par le regretté Charles Mingus avec le lugubre 'Adieu à M. Mingus. Depuis qu'ils jouent différemment, leurs lignes de guitare peuvent être identifiés et appréciés séparément, même quand ils sont entremêlement '' -. All Music Guide De nombreux guitaristes acoustiques sans doute avoir un certain degré de familiarité avec l'oeuvre de John Renbourn et Stefan Grossman, mais pour l'inconnu, voici un bref historique: Dans les années 1970 Stefan effectue régulièrement des tournées, parfois sur double-factures avec Renbourn. Le destin est intervenu lorsque, par erreur, un promoteur, il a été annoncé que ces deux légendes en le making-serait l'exécution des duos de guitare. Bien qu'ils n'avaient pas travaillé en tant que duo avant, les guitaristes ont décidé de lui donner un aller, et les graines ont été plantées pour une série d'albums en duo fantastiques. Le jeu sur cet album ainsi que sous le volcan et leur premier album éponyme, est un melting-pot fascinant de styles européens et américains de musique, et la paire atteint un son aussi élégant que c'est vaste. Bien que leurs contributions individuelles au monde de la guitare avait été lourde avant leur partenariat, ces albums en duo servent à prendre à la fois 'guitaristes jouant à de nouveaux sommets, et leurs compositions durables continuent à sonner frais aujourd'hui.' / Guitare / Partition Cd

Par POSTEL-VINAY EMILIE. Ecrire une méthode de contrebasse, quand on enseigne, est certainement chose incontournable... Pourtant, peu de professeurs se lancent dans cette aventure, car c'en est une ! Il faut pour cela avoir la foi, ce besoin de transmettre ce que l'on sait. C'est le cas d'Emilie Postel-Vinay. Sa méthode est classique et, aussi, inventive. Alors, je ne doute pas de son efficacité ! Sylvain Wiener (Professeur au C.N.R. d'Aubervilliers - La Courneuve, Assistant au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Contrebassiste de l'Ensemble Orchestral de Paris La contrebasse a beaucoup évolué au fil du temps. D'instrument d'accompagnement, elle est devenue soliste sans pour autant renier ses origines. Ses graves sont les piliers harmoniques d'un orchestre, et leur puissance sait affirmer le juste rythme ! Le répertoire s'est considérablement enrichi, entraînant ainsi de nouvelles difficultés techniques. Cette méthode s'adresse à tous les débutants, qu'ils soient très jeunes ou un peu moins, durant les deux ou trois premières années du premier cycle. Elle vise à donner dès les premiers exercices le plaisir de jouer. La progression se veut ludique. Chaque leçon se découpe en trois parties : - La première, la plus technique, se compose d'exercices pour la sonorité et l'agilité des doigts. - La deuxième propose des duos. L'élève, dès le début, joue avec son professeur. Cela lui permet d'accéder à la musique de chambre, de se former l'oreille, d'entendre son professeur jouer une partie plus difficile que la sienne, ainsi que de se produire assez rapidement ! - La troisième partie est principalement constituée de pièces accompagnées par le piano. A cela s'ajoutent quelques devinettes et des chansons populaires... Emilie Postel-Vinay / Niveau : Débutant / méthode - études / Méthode / Contrebasse

Par BREVAL JEAN-BAPTISTE. À la fin du XVIIIe siècle , le violoncelliste et compositeur Jean-Baptiste Bréval n’a pas seulement créé des concertos virtuoses pour son instrument, mais aussi des sonates plus faciles ainsi que des duos qui, de nos jours, font toujours partie du noyau dur du répertoire pédagogique du violoncelle. La Sonate en Ut majeur op. 40 n° 1, qui s’ouvre sur des accords très prenants, offre déjà aux violoncellistes débutants la possibilité de se laisser emporter dans de superbes mélodies, et de maîtriser de petits changements de position. La première édition parue à Paris en 1799 n’est pas très précise concernant le choix de l’instrument d’accompagnement. C’est pourquoi plusieurs alternatives sont proposées dans cette édition Urtext: une partition à deux parties, permettant à un second violoncelle, pendant le cours, d’accompagner commodément, de même qu’un discret soutien pour piano, pouvant être utilisé lors d’auditions. Ce ticket d’entrée dans le répertoire de violoncelle est en outre parachevé par une partie de soliste discrètement annotée./ Répertoire / Violoncelle et Basse (Piano)