Langue : Français
/ Clairon Et Piano
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Fran cis Bebey est né àDouala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller àl'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé àLa Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé àParis où il a commencé des études d'anglais àla Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux Ã?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèle ment, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. Ã? Paris, le jazz, la musique àla mode àcette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait àde nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre àjouer de l'instrument lui-même.Il a commencé àcomposer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain àParis), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivem ent, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile àconcilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique àl'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment àtravers le piano àpouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun àla Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité àse produire, àdonner des conférences ou àrencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité àfaire partie du jury d'un concours de guitare classique àCaracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès àla fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didnâ??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: HL.14021534
English-French.
Les titres de ce recueil sont issus des grands succes de la variete francaise et internationale. Tous les themes sont arranges de maniere a faire de chaque piece un oeuvre pianistique complete, doigtes et chiffrage harmonique a l'appui. Les professeurs trouveront aussi dans ce volume un repertoire plaisant et motivant a donner a leurs eleves. Afin de'apporter un cote ludique a recueil, les midi-files contenus dans le CD mixte (CD audio CD rom) offrent la possibilite d'ecouter les titres en MIDI au moyen de la carte son d'un ordinateur. De plus, avec un materiel approprie (sequenceur, editeur de partitions et autres), il est possible de changer les sons et les tempi, de jouer facilement des passages en boucles ainsi que toute autre possibilite offerte par les differents logiciels actuels. Nous vous souhaitons donc un excellent voyage au pays de Pops Hits et esperons vous apporter un reel plaisir pianistique. The titles in this collection are abstracts from the greatest French and International hits. All of the titles are arranged in a way to make each piece a complete pianistic work, fingered with support of chord symbol. Piano teachers will also find in this volume a pleasant and attractive repertory to make their students play with. The playful aspect is added to this anthology by way of the midi-files which accompany the mixte CD (CD audio and CD rom) offering the possibility to listen to the pieces in midi by using the sound card of a computer. In addition, it is possible to change the sounds and the tempi with appropriate equipment (e.g. sequencer, score editors and others). You acn also easily play in loop passages. Other options are offered by today's different software. We wish you an excellent journey into the Piano Pop Hits world and hope it will bring you true pianist pleasure.
SKU: BT.DHP-1185960-404
ISBN 9789043154901. French.
La collection Écouter, lire et jouer est aujourd’hui une référence pour l’enseignement des cuivres et des bois. Tous accompagnés d’un CD, ces ouvrages passionnants destinés aux débutants contiennent des chansons, des casse-tête musicaux et des jeux pour mieux comprendre la musique, des informations sur l’instrument concerné, et de nombreuses pièces agréables jouer. Les trois volumes de la méthode qui forment la base de cette collection sont complétés par plusieurs volumes de matériel complémentaire correspondant aux diverses étapes de cette méthode.
Dans Les Airs d’Opéra, des arias, des chœurs et des ouvertures célèbres sont présentés en ordre croissant dedifficulté et peuvent être travaillés conjointement avec les trois volumes de la méthode Écouter, lire et jouer. Certaines des plus belles mélodies de tous les temps ont été rassemblées avec des commentaires historiques. Les élèves peuvent les interpréter avec des accompagnements au piano disponibles sous forme de fichiers en ligne écouter en streaming ou télécharger. La présente édition comprend aussi des partitions pour ces accompagnements, soigneusement arrangées dans un niveau de difficulté modéré.
SKU: DZ.DZ-4287
ISBN 9782898522048.
Antà ´nio Francisco Braga (1868-1945) belongs to the generation of Brazilian composers of the first republican period, aesthetically tied to romanticism, alongside Henrique Oswald (1852-1931), Leopoldo Miguez (1850-1902), Glauco Velásquez (1884-1914), and Barrozo Neto (1881-1941). Born in Rio de Janeiro, on April 15th, 1868, he began his musical studies at the Asilo dos Meninos Desvalidos, in 1876. In 1883, he enrolled at the Imperial Conservatório de Música where he studied harmony and counterpoint with Carlos de Mesquita – a former student of César Franck, Durand, and Massenet – and clarinet with Antônio LuÃs de Moura. Braga's first compositions date from this period: Sonho de Dante (1885), Dolce far niente (1886), the first Valse Romantique for piano (1886), among others.In 1887, he premiered his first symphonic work, Fantasia-Abertura. In 1890, being one of the finalists in a competition to choose the new Brazilian national anthem, Braga was awarded a scholarship to study in Europe, where he took classes with Jules Massenet at the Paris Conservatory. During this period, he wrote some of his most important symphonic works, Paysage, Cauchemar, Episódio Sinfônico, and Marabá (which was performed by Richard Strauss and the Vienna Philharmonic in 1920, in Brazil). His opera Jupyra is considered one of the greatest Brazilian compositions of that genre.Back in Brazil, he was appointed professor of counterpoint, fugue, and composition at the Instituto Nacional de Música, in 1902. There, some of the finest Brazilian composers studied with him, like Glauco Velásquez and Lorenzo Fernândez.Braga wrote operas, symphonic works, songs, sacred music, two Masses, music for piano, different chamber formations, band, and choir. He is the author of many patriotic hymns, the most popular of which is Hino à Bandeira (with lyrics by Olavo Bilac). He explored Brazilian nationalist elements in some of his works, as in Variações sobre um Tema Brasileiro and in the Trio for violin, cello and piano, whose third movement is based on a lundu (a musical genre and dance of Afro-Brazilian origin).In addition to being a composer, Braga was one of the most active conductors of his time, having been ahead of three orchestras in Rio de Janeiro: Instituto Nacional de Música, Sociedade de Concertos Sinfônicos, and Theatro Municipal. Braga conducted the Brazilian premiere of major symphonic works such as La Mer (Debussy), Pacific 231 (Honegger) besides other numerous Brazilian compositions.In 1938, he retired from Instituto Nacional de Música. He passed away on March 14th, 1945, in Rio de Janeiro.Unfortunately , Francisco Braga never wrote for the guitar. However, over a century ago his music had already been incorporated to its repertoire. According to information found in newspapers of the time, Spanish guitarist Josefina Robledo included transcriptions of pieces by Braga in her programs when she performed in Brazil: Gavota e Minuete (from the melodrama Contratador de Diamantes), in 1919, in São Paulo, and the waltz-caprice Corrupio, in 1921, in Rio de Janeiro.The piano score of Madrigal Pavane was dedicated to Alexina Leitão and published by Casa Vieira Machado, in 1901. According to the composer’s catalogue, there are two other versions of this piece: strings orchestra (1901) and quartet (which is still in manuscript). Dedicated to Braga’s childhood friend José de Souza Rocha, Timburibá (the name of a Brazilian tree) is a tango for piano from 1886, published by Narciso & Arthur Napoleão.Antôni o Francisco Braga (1868-1945) appartient à la génération des compositeurs brésiliens de la première période républicaine, esthétiquement liés au romantisme, aux côtés de Henrique Oswald (1852-1931), Leopoldo Miguez (1850-1902), Glauco Velásquez (1884-1914) , et Barrozo Neto (1881-1941). Né à Rio de Janeiro, le 15 avril 1868, il commence ses études musicales à l'Asilo dos Meninos Desvalidos, en 1876. En 1883, il s'inscrit au Imperial Conservatório de Música où il étudie l'harmonie et le contrepoint avec Carlos de Mesquita – ancien élève de César Franck, Durand et Massenet – et clarinette avec Antônio LuÃs de Moura. De cette période datent les premières compositions de Braga : « Sonho de Dante » (1885), « Dolce far niente » (1886), la première « Valse Romantique » pour piano (1886), entre autres.En 1887, il crée sa première Å“uvre symphonique, « Fantasia-Abertura ». En 1890, étant l'un des finalistes d'un concours pour choisir le nouvel hymne national brésilien, Braga obtient une bourse pour étudier en Europe, où il suit les cours de Jules Massenet au Conservatoire de Paris. Durant cette période, il écrit certaines de ses Å“uvres symphoniques les plus importantes, « Paysage », « Cauchemar », « Episódio Sinfônico » et « Marabá » (interprétée par Richard Strauss et la Philharmonie de Vienne en 1920, au Brésil). Son opéra « Jupyra » est considéré comme l'une des plus grandes compositions brésiliennes de ce genre.De retour au Brésil, il fut nommé professeur de contrepoint, de fugue et de composition à l'Instituto Nacional de Música, en 1902. Là , certains des meilleurs compositeurs brésiliens étudièrent avec lui, comme Glauco Velásquez et Lorenzo Fernândez.Braga a écrit des opéras, des Å“uvres symphoniques, des chansons, de la musique sacrée, deux messes, de la musique pour piano, différentes formations de chambre, un orchestre et une chorale. Il est l'auteur de nombreux hymnes patriotiques, dont le plus populaire est « Hino à Bandeira » (avec des paroles d'Olavo Bilac). Il a exploré des éléments nationalistes brésiliens dans certaines de ses Å“uvres, comme dans « Variações sobre um Tema Brasileiro » et dans le Trio pour violon, violoncelle et piano, dont le troisième mouvement est basé sur un « lundu » (un genre musical et une danse afro-américaine). Origine brésilienne).En plus d'être compositeur, Braga a été l'un des chefs d'orchestre les plus actifs de son époque, ayant dirigé trois orchestres à Rio de Janeiro : « Instituto Nacional de Música », « Sociedade de Concertos Sinfônicos » et « Theatro Municipal ». Braga a dirigé la première brésilienne d'Å“uvres symphoniques majeures telles que « La Mer » (Debussy), « Pacific 231 » (Honegger) ainsi que de nombreuses autres compositions brésiliennes.En 1938, il prend sa retraite de l'Instituto Nacional de Música. Il est décédé le 14 mars 1945 à Rio de Janeiro.Malheureuseme nt, Francisco Braga n’a jamais écrit pour la guitare. Cependant, il y a plus d'un siècle, sa musique était déjà incorporée à son répertoire. Selon des informations trouvées dans les journaux de l'époque, la guitariste espagnole Josefina Robledo incluait des transcriptions de pièces de Braga dans ses programmes lorsqu'elle se produisait au Brésil : « Gavota e Minuete » (du mélodrame « Contratador de Diamantes »), en 1919, à São Paulo, et la valse-caprice « Corrupio », en 1921, à Rio de Janeiro.La partition pour piano de « Madrigal Pavane » a été dédiée à Alexina Leitão et publiée par « Casa Vieira Machado », en 1901. Selon le catalogue du compositeur, il existe deux autres versions de cette pièce : orchestre à cordes (1901) et quatuor (qui est encore manuscrit). Dédié à José de Souza Rocha, ami d'enfance de Braga, « Timburibá » (nom d'un arbre brésilien) est un tango pour piano de 1886, publié par « Narciso & Arthur Napoleão ».Envoyer des commentairesPanneaux latérauxHistoriqueEnregistrées.
SKU: BU.EBR-A018
ISBN 9790560150901. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1899, l’éditeur John Stark publia la partition Maple leaf rag de Scott Joplin Ce dernier le baptisa d’après le Maple Leaf Club àSédelia, boite de nuit où il travaillait. John Stark fit de Joplin l’une des grandes figures de ce nouveau courant musical. Maple leaf rag s’est vendu àplus d’un million d’exemplaires et a notamment permis àl’éditeur Stark d’acheter une presse àimprimer et de faire une nouvelle édition en couleurs avec la fameuse couverture àla feuille d’érable où apparaît la première photo connue de Scott Joplin.Maple Leaf Rag atteint le hit-parade en 1907 grâce aux versions du banjoïste Vess L. Ossman et de l’US Marine Band, premier orchestre àavoir, semble-t-il, enregistré le titre en octobre 1906. Scott Joplin, quant àlui, le grave en rouleau de piano en 1916, tandis que la première prise gravée sur disque par des jazzmen est celle des New Orleans Rhythm Kings le 13 mars 1923 pour le label Gennett.Il composa Maple Leaf Rag sur un rythme binaire à2/4 pour le piano. Contrairement àla plupart des rags, il contient quatre thèmes de 16 mesures chacun. Les premiers, deuxième et quatrième sont en la bémol majeur, alors que le troisième est en ré bémol majeur.Référenc e en matière de ragtime, Maple Leaf Rag a représenté une source d’inspiration élémentaire pour de nombreux compositeurs qui en ont emprunté les tournures mélodiques et rythmiques, voire la trame harmonique comme le célèbre James Scott dans Great Scott Rag, Ophelia Rag et Quality RagGrâce àce fameux succès, le nom de Scott Joplin devint synonyme de Ragtime et il fut surnommé de son vivant « roi du ragtime ». Ce morceau est considéré comme l'oeuvre majeure de Scott Joplin, celle qui a codifié pour toute une décennie la structure du ragtime classique et qui allait donner naissance au jazz quelques années plus tard.Cette pièce éveille un enthousiasme particulier chez les musiciens. Elle attire encore aujourd’hui beaucoup d’interprètes plus ou moins confirmés.