Le Romantisme De Schumann

Arrangement: Scott Daniel. Par SCOTT DANIEL. Allemagne - une terre de rivières et de montagnes, de folklore et de fantasy. Une terre où magnifiques Châteaux montent la garde sur le Rhin, les créatures de contes de fées pourraient encore se cachent dans les cavernes et les forêts - et où l'esprit du romantisme est né. Par-dessus tout, une terre de musique - les paysages bucoliques réconfortants de Bach à grands compositeurs romantiques : lyrisme chaleureux de Mendelssohn, le monde crépusculaire eerie de Weber Magic Huntsman, qui vend son unique au diable, majestueux évocation de Schumann du paysage rhénanes contraste avec son charme vignette des paysans, des soldats et des horseman fantomatique, les mélodies passionnés de la liste. Et le plus romantique de tous - Richard Wagner, dont vaste univers musical englobe les récits de chevalerie médiévale, géants, dieux, héros, nains, potions magiques love et écuyère vol. Jouer de la musique et Imaginez-vous sur les rives du Rhin mousseux, sur une terre de magie et de mystère./ Recueil / Piano

Par SCHUMANN ROBERT. Celui qui a tenté de composer un Latin masse dans le milieu du XIXe siècle avait rivaliser avec les grands modèles et techniques de composition traditionnelle. La messe en si mineur Bach et la Missa solemnis de Beethoven, mais même sa antérieure Messe en ut majeur (interprétée par Schumann) est parmi les oeuvres clés d'une grande tradition de masse à la réception du romantisme élevé. Pas à la différence de Schubert et plus tard Bruckner avant, Messe de Schumann en ut mineur trop est lié par la tradition, mais trouve sa formulation très propre de la ' Ordinarium Missae ', les traits caractéristiques qui pointent vers le style fin du compositeur./ Répertoire / Choeur et Orchestre

40 Beautiful Pieces. Nouveau volume dans la série populaire Relax With, éditée par la pianiste de concert britannique Samantha Ward et destinée principalement à faire de la musique chez soi. La musique méditative, du romantisme à la modernité, a été choisie pour ses qualités apaisantes. / Niveau : 2-4 / Recueil / Piano

L'édition officielle des partitions de l'album du même nom « Piano Songbook » chez Sony Classical. Elle contient des arrangements et des fantaisies sur des œuvres populaires, du baroque au romantisme, ainsi que des compositions originales de Martin Stadtfeld. Niveau de difficulté facile à intermédiaire - idéal pour les jeunes et ceux qui se remettent au piano.
« Les œuvres rassemblées dans ce volume m'ont accompagné toute ma vie. Dans des périodes difficiles, cette musique m'apporte du réconfort et de la certitude.
Les arrangements sont en partie libres et subjectifs, distillant ce qui est essentiel pour moi. La devise était : le moins de notes possible. C'est également ce que je revendique pour mes dix propres compositions dans la troisième partie. Ainsi, la plupart des pièces peuvent être jouées dans des cours de piano. Même ceux qui se remettent au piano après une longue période peuvent commencer avec ces pièces. Je souhaite que beaucoup de gens, lorsqu'ils les joueront, ressentent ce que j'ai ressenti lorsque j'ai écrit ce volume : contemplation, approfondissement, force intérieure. »
(Martin Stadtfeld)
Part I, 10 piano songs after Händel, Bach, Beethoven and Schumann: I Hymn (after Händel’s “Zadok the Priest”)
II Never alone (after Bach’s “Bist Du bei mir”)
III Shepherd’s song (after Bach’s “Schafe können sicher weiden”)
IV Nature song (after Beethoven’s “Pastorale”)
V Organ piece I (after Bach’s “Toccata in C”)
VI Study (after Schumann’s “Die Rose, die Lilie, die Taube, die Sonne“)
VI Organ piece II (after Bach’s “Sonata No. 5”)
VIII Choral (after Schumann’s “Aus meinen Tränen sprießen”)
IX Siciliano (after Bach’s “Erbarme Dich”)
X Hymn II (after Händel’s “Zadok the Priest”)
Part II, 10 piano songs after Bach, Dvorak, Schubert, Vivaldi, Purcell, Beethoven and Mozart: I New song (after Bach’s “Singet dem Herrn ein neues Lied”)
II Folksong (after DvořákÂ’s “Dumka from piano quintet”)
III Passacaille (after Bach’s “Crucifixus”)
IV Night song (after Schubert’s “Nachtstück”)
V Aria (after Vivaldi’s “Sovente il sole”)
VI Bach meets Vivaldi (after Vivaldi’s “Sovente il sole”)
VII Canon (after Bach’s “Ich folge Dir gleichfalls mit freudigen Schritten”)
VIII Lamento (after Purcell’s “When I am laid in earth”)
IX Folksong (after Beethoven’s “Eroica”)
X Variation (after Mozart’s “Marsch der Priester”)
Part III, Ten Piano Songs: I Lullaby
II Choral
III Old song
IV Passacaille
V Minuet
VI Eichendorff song
VII Natural loud
VIII Choral
IX March
X Lullaby
Encore 1: Eroica Dance (after Beethoven’s “Eroica”)
Encore 2: Jesu my joy (after Bach’s “Jesu bleibet meine Freude“) / Partitions classique / Piano - instruments à clavier / Piano / SCHOTT

Avec le romantisme, la musique n'est plus une combinaison de sons à l'intérieur d'une structure rigide. C'est un langage poétique élaboré autour de grands thèmes (la nature, le voyage, l'amour et la mort...).
L'artiste se sent désormais libre d'adapter les formes à l'expression de ses sentiments. D'où l'élaboration de nouveaux genres (Lied, Charakterstücke, musique à programme), la refonte des formes du passé ou l'évolution de la facture instrumentale, illustrées par des créateurs aussi personnels que Schubert, Schumann, Berlioz, Liszt, Wagner ou Brahms. / Livre /

Pièces pour guitare à 6 ou 10 cordes Transcriptions, révisions et doigtés d'Elhadi Gaou Le romantisme dans son plus pur degré prend sa figure de modèle dans l'art de Robert Schumann. Ces très belles transcriptions pour guitare de l'Album pour la jeunesse et des Scènes d'enfants que nous propose ici Elhadi Gaou, donneront sans aucun doute la possibilité à chaque guitariste d'approcher et de recréer l'univers harmonique propre à ce compositeur. Cette adaptation d'un très haut niveau musical, contribuera à enrichir la littérature pour notre instrument. Roberto Aussel

Peut-on définir le postromantisme ? Si aucun des compositeurs allemands ne s?en est revendiqué, nombre d?entre eux se ressentent romantiques, bien au-delà de la période couramment reconnue comme l?apogée de ce mouvement. Quant à lui attribuer une aire d?extension, le monde germanique lui a offert dans un XIXe siècle très allongé un terrain produisant de riches récoltes. Parcourant le siècle qui se termine avec la mort de Richard Strauss (1949), Brigitte François-Sappey présente les acteurs principaux de ce qui a fait de Vienne et de Berlin le creuset de toutes les expériences artistiques. Tous les compositeurs marquants y convergent et trouvent dans l?effervescence qui anime ces deux capitales le lieu d?épanouissement de leur talent, où même les créateurs reconnus en rupture (Schoenberg, Berg, Webern, Hindemith ou Weill) ne renient pas l?héritage d?expressivité propre au caractère romantique. Docteur ès lettres, professeur honoraire au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, Brigitte François-Sappey est l?auteur d?ouvrages sur Robert Schumann (Fayard, 2000, 2003), Clara Schumann (Papillon, 2002), Felix Mendelssohn (Fayard, 2003, 2008) et de La Musique dans l?Allemagne romantique (Fayard, 2009).