Six duos concertants pour deux bassons. Oeuvre IIIe

Ce sont les éditions françaises Robert Martin qui ont eu le privilège d'éditer la partition Six duos concertants pour deux clarinettes de Haydn Franz Josef. Idéale pour les musiciens pratiquant Clarinette et ayant un niveau proche de Cycle 3, cette pièce se classe dans la catégorie Classique sous la référence HAYD01693. / Clarinette / niveau : Cycle 3 / Partition

Par ROLLA ALESSANDRO. Trois duos concertants pour violon et alto. 4e livre de duos de violon et alto. Edition : Paris, Imbault, s.d. (=c.1809).Edition originale en deux parties séparées : Violon - Alto.Page de titre de la partie de violon : une collette anglaise couvre le nom de l'éditeur (que l'on trouve sur la partie d'alto). / Niveau : Facile / Répertoire / Violon et Alto, Duos et/ou Pour 2 Altos (Fac-simil

Edition : Paris, Le Duc, 1784.Présentation par les Etudiants du CeFEdeM-Île-de-France (Laurence Baldini, Audrey Jacques) : Importance du phrasé à la charnières XVIIIe-XIXe siècles.Deux parties instrumentales séparées : Flûte, alto.Ces duos concernent une formation très rare. Ce sont des oeuvres de qualité dans lesquelles l'alto a une partie réellement concertante. La préface traite du phrasé à la charnière des 18e et 19e siècles, élément essentiel de l'interprétation à cette époque. / Flûte Et Alto / 44 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33

Avec la partition répertoriée sous l'ISMN M049501163 voilà tous les amateurs de Fac-Similé qui vont être comblés. Commandez cette partition musicale Devienne François de style Classique composée par 50116 dès aujourd'hui et dans moins de 7 jours, elle sera entre vos mains. / 2 Bassons / 32 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7

Toute personne qui ouvre ce 'trésor de duos' jouira pierres précieuses de la littérature pour deux enregistreurs descant. Ce volume contient des compositions originales de la Renaissance, baroque et moderne. Le présent volume est destiné aux joueurs de flûte à bec qui possèdent une connaissance approfondie de base. Comme matériau à être utilisé dans les cours, les pièces forment le sentiment du joueur du style et de l'interprétation de la musique de différentes époques. En outre, ils traitent de tous les aspects de jeu en duo, comme la confiance en menant sa propre partie, la performance pour un son équilibré, l'intonation et l'amélioration de la condition physique du joueur. Ces pièces originales sont également parfaits pour des concerts, des auditions et des concours. / Flûte A Bec

Par REED PRESTON. Preston Reed a développé un style de guitare c'est tout son propre. En combinant la polyvalence de fingerstyle avec une remarquable bibliothèque ont percutant et inhabituelle de trucs, ses arrangements et compositions la complexité fo une performance pleine bande, tous joué sur une guitare unique ! Son énergie physique et complexes inventions rythmiques et mélodiques tout en exécutant ambidextrously sur le cou, haut, corps, côtés et idéogramme de sa musique de guitare visibles en croit. Ce DVD puissant vous offre une chance très spéciale pour assister le style de guitare magique de Preston Reed dans une performance live débordant de ses techniques et de sons de la marque de commerce. Comme un traitement supplémentaire, Laurence Juber rejoint Preston pour deux duos dynamiques ! / Concert/Doc anglais / Date parution : 2006-05-10/ Accessoire / Guitare

Greg Anderson et Elizabeth Joy Roe sont peut-être le jeune duo le plus excitant effectuer aujourd'hui, offrant des concerts de musique classique adrenalized qui révolutionnent l'expérience du duo de piano pour le 21e siècle. Décrit comme 'Fred Astaire et Ginger Rogers transposée de la piste de danse au clavier' (Le Southampton Press) et 'la synchronisation intense de génie' (Thirdcoast Digest), Greg et Liz apporter leur camaraderie joyeuse et l'art raffiné de la scène de concert, auditoires éblouissants à travers le monde comme une équipe à quatre mains et deux pianos.Le Anderson and Roe Duos and Duets série comporte arrangements inspirants interprétée par le duo --- du réglages des mélodies d'opéra précieux aux pots-pourris de la musique de film populaire. Les pièces sont éditées avec doigté et d'autres directions qui facilitent la répétition et la performance, ce qui les rend accessibles pour faire avancer les étudiants ainsi que pour les concertistes.Trois Valses pour deux pianos: un pot-pourri de valses rendu célèbre dans les films de Disney combine astucieusement 'Chim Chim Cher-ee', 'Someday My Prince Will Come' et 'Gaston' dans une pièce de concert virtuose, qui culmine dans une finale showstopping que superpose les trois mélodies sur le dessus de l'autre. Techniques de jeu de piano étendues, telles que gratter les cordes à l'intérieur du piano et de jouer des groupes de notes avec le poing, ainsi que des morceaux de bravoure qui englobe l'ensemble des deux pianos font l'un des Anderson and Roe arrangements plus excitantes. / 2 Pianos 4 Mains

Greg Anderson et Elizabeth Joy Roe sont peut-être le duo le plus excitant jeune fonctionne aujourd'hui, offrant des concerts de musique classique adrenalized qui révolutionnent l'expérience duo de piano pour le 21e siècle. Décrit comme 'Fred Astaire et Ginger Rogers transposée de la piste de danse au clavier' (La Presse Southampton) et 'la synchronisation intense de génie' (ThirdCoast Digest), Greg et Liz apporter leur camaraderie joyeuse et artistique raffiné à la scène de concert, l'admiration des spectateurs du monde entier comme une équipe à quatre mains et deux pianos.Le Duos Anderson and Roe and Duets série met en scène les arrangements inspirants interprétée par le duo --- à partir des paramètres de mélodies lyriques précieux aux pots-pourris de musique de film populaire. Les pièces sont éditées avec doigté et d'autres directions qui facilitent répétitions et des représentations, en les rendant accessibles pour faire avancer les étudiants ainsi que pour les concertistes.Johann Sebastian Bach Passion selon saint Matthieu, considéré comme l'un des monuments de la littérature musicale, est rempli avec des niveaux multidimensionnels de symbolisme, de la compréhension théologique, et la perspicacité psychologique. Dans ce dispositif impressionnant pour deux pianos, quatre mains, cinq mouvements de l'oeuvre originale ont été soigneusement sélectionnés. Ensemble, ils conservent l'arc dramatique de l'histoire, mais rogner la musique vers le bas pour une durée plus approprié pour gérer la performance des récitals. Deux exemplaires requis. / 2 Pianos 4 Mains

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet ?] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée ?] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Original Works from the Classical and Romantic eras. Par . Quiconque ouvre ce ?Coffre au trésor? aura le plaisir d?y trouver de précieux joyaux de la littérature pour deux clarinettes. Le recueil contient des compositions originales des époques classique et romantique. À côté d??uvres connues il contient aussi des raretés qui depuis leur première publication sont restées en sommeil pendant près de deux cents ans et qui sont maintenant pour la première fois de nouveau disponibles. Le volume s?adresse à des clarinettistes possédant de bonnes connaissances de base. Utilisés dans les cours les morceaux aident à former le sens du style et de l?interprétation de la musique des périodes classique et romantique. Tous les aspects du jeu en duo y sont encouragés comme la sûreté dans la conduite de sa propre partie la réalisation d?une sonorité équilibrée l?intonation et l?amélioration de la condition physique. Ces pièces originales sont parfaites pour les concerts les auditions et les concours.Ce recueil était auparavant publié en tant que 'Duo-Schatzkiste' (Un coffre à trésors de duos). / Niveau : facile - moyen / Date parution : 2023-03-11/ Recueil / 2 Clarinettes

The volume for intermediate players in the Ad libitum series offers duos from the Renaissance to the Late Romantic Period, which can be performed in a varied ensemble of instruments. The publication also contains works by less well-known composers, including two pieces by Bertalotti which were originally written for solfege yet are valuable as concert pieces and can be well played, as well as a composition by Jacques-Christophe Naudot and one by Carl Friedrich Weidemann. / Ensemble Mixte

ISMN: 9790560240305 Méthode pour claviers à percussion. Cet ouvrage s'adresse aux élèves qui débutent les claviers à percussion. Il est conçu afin d'aborder le maximum d'éléments rencontrés dans l'apprentissage des claviers à 2 baguettes... Examens et concours FFEM 2012. Cycle 1, 1ere année. Méthode pour claviers à percussion. Cet ouvrage s'adresse aux élèves qui débutent les claviers à percussion. Il est conçu afin d'aborder le maximum d'éléments rencontrés dans l'apprentissage des claviers à 2 baguettes. Appliqué depuis plusieurs années au Conservatoire National de Région de Strasbourg, où enseigne Thomas Vandevenne, ce travail est le fruit de la pratique, des expériences et des réflexions pédagogiques de l'auteur. Un accent particulier est mis sur les axes pédagogiques suivants : - la créativité, l'initiative et l'autonomie grâce à l'improvisation et l'écriture - la pédagogie de groupe: tout l'ouvrage est conçu pour être travaillé à plusieurs (élève et professeur réunis). - le travail des dissociations et la préparation aux 4 baguettes en particulier avec les exercices d'indépendance mais également avec l'utilisation de la voix afin de privilégier le développement de l'oreille et l'intention musicale. - la découverte d'un répertoire musical large afin de s'ouvrir dès le début de l'apprentissage instrumental aux différentes cultures et aux différentes époques de l'histoire de la musique. - l'adéquation et l'application des connaissances abordées lors du cours de Formation Musicale afin d'aider l'élève à mieux faire le lien entre ces deux disciplines. Véritable outil de travail vivant il constitue un point de départ qui invite à la découverte et à l'exploration de l'univers musical. ?.L'intérêt du bouquin, c'est qu'il est intelligent, clair et tourné tout de suite vers le plus important : La Musique. Emmanuel Séjourné. 56 pages, nombreuses illustrations, répertoire avec deux duos, trois trios, trois quatuor à aborder en parallèle aux leçons, en particulier pour les concerts et les auditions.

Le Monde des Ensembles est une série pour instruments à cordes qui permet aux élèves de jouer ensemble dès le début. Des morceaux sont déjà disponibles pour ceux qui connaissent les rudiments du solfège.

La série contient des pièces pour violon, alto, violoncelle et piano, et pour duos, trios, orchestres à corde ou autres ensembles. Elle offre au professeur la possibilité de démontrer ludiquement le résultat des leçons avec un ou plusieurs élèves lors d?une audition ou d?un concert.

Le Monde des Ensembles s?apparente aux méthodes en deux volumes Le Monde du Violon et Le Monde de l'Alto, mais peut également être utilisé séparément.

Notre premier concert ! est un recueil de sept courtes pièces tirées des méthodes Le Monde du Violon (vol. 1) et Le Monde de l'Alto (vol. 1) et arrangées pour orchestre à cordes, afin que les débutants puissent jouer avec des musiciens plus avancés. Les parties pour débutants se limitent au jeu sur cordes à vide et avec la première doigt. Les autres parties sont jouable en première position. L?instrumentation se compose des parties suivantes : violon (débutant), alto (débutant), violoncelle (débutant), violon 1, violon 2, alto (violon 3 ad lib.), violoncelle 1, contrebasse (violoncelle 2 ad lib. .) et piano ad lib. L?ensemble se compose d?une partition et de 11 parties. Les pistes de démonstration sont également disponibles en ligne. Ceux-ci servent d?exemple pour les débutants, particulièrement pour le travail à la maison.

/ Partitions classique / Ensemble et orchestre / Orchestre / HAL LEONARD