Mezzo forte Vol. 2

String ensembles can enjoy the uniqueness of this collection of 7 short pieces none reaching more than a mezzo-forte but offering plenty of contrast between pianissimo and mezzo-forte. (7 Short Movements)

With Performance Strategies-In Recital Throughout The Year is a series that focuses on fabulous repertoire with musically engaging pieces by leading FJH composers and arrangers. This series of books is carefully levelled to ensure that goals are attainable which is essential in motivating students. Providing excellent teaching material these books address the strengths and weaknesses of students with progressive discussions by Dr. Helen Marlais on the art of performance and an analysis of performance strategies.The pieces presented in these books provide repertoire for the entire year including pieces for Halloween and Christmas as well as arrangements of famous classicalthemes with original solos and duets.The accompanying CD includes demonstrations of the pieces presented in this book allowing the student to develop their interpretive skills.Volume Two Book 3 is suitable for Late Elementary pianists and covers many basic principles including:Eighth notes and those basic notes and rests introduced in books 1 and 2 dotted quarter notes are also introduced at the end of the bookPlaying different articulations such as legato and staccato at the same timePlaying pieces in a variety of different moods tempos and formPlaying block and broken major minor and diminished chordsPieces which reinforce five-finger scales as well as scale patterns that extend from the usual five-finger patterns (with finger crossing)Playing blocked intervals up to a sixth double thirds and hand-over-hand arpeggiosContinued movement up and down the keyboard and using the pedal artisticallyReinforcing basic musical terminology and symbols such as crescendo decrescendo ritardando fermata mezzo forte mezzo piano forte piano fortissimo pianissimo and D.S. al CodaKeys C G F A minor and D minor.

Classique / Sélection : Béatrice Quoniam / Doigtés : Béatrice / Partition / Spirale / Morceaux originaux choisis et doigtés par Béatrice Quoniam, Beata Suranyi et Marie-Josée Saladin de Nuglar.

Danzas del infierno est la bande originale dun film imaginaire. Les images ne sont pas concrètes mais formées dans les imaginations successives du compositeur du chef dorchestre du musicien et enfin de lauditeur.Le scénario pourrait se dérouler comme suit :The devils dance hallAprès une vie agréable mais marquée par le péché les âmes dAlbert et Englebert descendent jusquaux tréfonds obscurs de lenfer. Derrière eux dans le lointain résonnent encore les échos de lamentations terrestres. Au sol et dans lair évolue une vermine venimeuse et gluante.Lorsque soudain sallume une lumière aveuglante ils se trouvent parmi des millions de compagnons dinfortune dans une gigantesquesalle de bal avec 6 immenses piliers et 6 énormes lustres. 6 laquais annoncent solennellement le diable (leitmotiv) et soudain apparaît sa grande silhouette : Lucifrina ! Une robe de soirée noire profondément décolletée dans le dos. La fente de la robe sur son interminable jambe gauche laisse deviner des jarretelles rouge sang. Elle regarde Albert droit dans les yeux et linvite à ouvrir le bal avec elle.The devils tangoCest par le biais du tango que nous faisons la connaissance de la personnalité double de la diablesse. Séduisante et sophistiquée à lextérieur et fondamentalement mauvaise et rusée à lintérieur. La danse commence de façon très subtile les motifs thématiques de fugue servant de métaphore pour son jeu de jambes virtuose. Mais très vite elle emmène le pauvre Albert aux quatre coins de la piste jusquà ce que ce dernier sécroule épuisé.IntermezzoCherchant un nouveau cavalier Lucifrina se fraie un chemin parmi ses pupilles fraîchement arrivés. Englebert fait tout pour éviter de se faire remarquer mais il néchappe pas à son attention.The devils waltzDès les premières mesures de la valse cest la grande sauvagerie. Les forces centrifuges font complètement perdre pied à Englebert qui ne touche presque plus le sol. Sous la violence de sa partenaire trop grande et trop forte il se fait piétiner à tel point que les autres résidents de lenfer

Il s'agit de l'aboutissement du Concours international de composition 'Présence en Chine' organisé par le Festival Présences de Radio France et le Festival Printemps de Shanghai. Les trois étapes de ce concours ont eu lieu en 2007, 2008 et 2009. Krystof Maratka est l'un des trois finalistes pour 2010 et c'est donc l'achèvement d'un processus qui aura permis à vingt-quatre compositeurs d'écrire une oeuvre pour instrument traditionnel chinois et orchestre.'Je me suis beaucoup intéressé au 'Suona' suite à l'invitation à ce concours qui a été suivie de ma rencontre avec Hu Chenyun, - joueur de suona et soliste de l'Orchestre d'instruments traditionnels de Shanghai. Son jeu spectaculaire, puis l'art de parler de son instrument et tout simplement sa personnalité passionnée de musicien, ont fortement exalté mon inspiration.Quand j'ai achevé la partition, j'ai réalisé qu'on pouvait y voir un reflet de l'évolution de l'instrument Suona et de son parcours historique en Chine :- L'arrivée de Suona en Chine (grand solo du début)- Suona, répandu en Chine du Nord (trompes du Tibet),- L'expansion de Suona dans tout le pays (mélismes d'un chant doux et intime joué par le soliste sur le 'Khou-sie', instrument traditionnel de l'Opéra de Pékin)- Nature (évocation de chants d'oiseaux)- Pour un monde meilleur...? (bref intermezzo théâtral)- Shanghai, Suona dans la ville moderne et active d'aujourd'hui (partie finale).'Krystof Maratka / Suona et Orchestre

13 solistes, choeur, orchestre et dispositif électronique Nomenclature : 3(flA).0.3(clB).0 / 4.2(trpB).1.1 / 4perc / pno / 5 claviers MIDI / guit élect / strings Durée : 105' Genre : Contemporain Média : Partition Nombre de pages : 249 (A3) Editeur : Lemoine Date de parution : 20/01/2003 Librettiste : textes d'après Les Nègres de Jean Genet Création : 20/01/2004 - Opéra National de Lyon - Bernhard Kontarsky (dir.) - Stanislas Nordey (mise en scène) - Emmanuel Clolus (décors) - Raoul Fernandez (costumes) - Ircam-Centre Pompidou (informatique Musicale) - Gilbert Nouno (assistant musical) - Franck Rossi (ingénieur du son) - Co-production: Opéra National de Lyon, Grand Théâtre de Genève (Les Nègres Gallimard) Les Nègres, ce n'est pas une simple pièce de théâtre. C'est une clownerie selon les mots mêmes de Genet, une mascarade à la fois tragique et grotesque, qui voit treize Africains revêtir des costumes de juge, de reine ou de missionnaire afin de former une cour fantasque à qui la magie des tréteaux offre un espace de parole. Plus de quarante ans après que ce chant de souffrance et de révolte a éclaté à nos oreilles, Michaël Lévinas en fait un opéra: Les Nègres, ce n'est pas une simple pièce de théâtre... Presse Cette partition, la plus forte, la plus violente que j'aie jamais écrite, a été extrêmement dure. L'ouverture m'a pris deux ans de travail ! Chaque étape de la composition m'a donné la sensation d'un vertige. Michaël Lévinas, Le Monde de la Musique, janvier 2004 Dès l'ouverture, ultrapolyphonique et très pulsée, on est physiquement aspiré vers cet ailleurs absolu du théâtre de Genet. Au coeur de son dispositif ironique, de son écriture profuse et mutante. (...) le deuxième opéra de Lévinas donne à voir et à entendre à bloc la clownerie radicalement jouissive de Genet Eric Dahan, Libération, 24 janvier 2004 J'ai découvert qu'un compositeur d'opéra n'est pas quelqu'un qui met un texte en musique, c'est quelqu'un qui ne peut s'empêcher d'entendre de la musique quand il lit un texte. Michaël Lévinas, Libération, 24 janvier 2004 Fasciné par la pièce de Jean Genet, le compositeur en fait un opéra étourdissant. Et fidèle. Gilles Macassar, Télérama, 14 janvier 2004 Entre nous et Genet, la musique de Michaël Lévinas est une entremetteuse. ...une réussite comme peu d'opéras contemporains (...) Marie-Aude Roux, Le Monde, 29 janvier 2004 (...) Lévinas puise à toutes les sources pour mieux varier les climats, du répétitif américain à la technologie de l'Ircam. On admire son art d'intégrer le tout avec une grande sensibilité. Ne manque ni la citation ni le clin d'oeil en forme de pastiche dans cet humour grimaçant: Levinas connaît son monde musical, de Bach à Messiaen ! Il nous y promène avec une gourmandise qui s'accroît au fil de la soirée. Il sait aussi s'attendrir comme dans le nocturne de Dahomey entonné par Félicité, la superbe mezzo Bonita Hyman. Jacques Doucelin, Le Figaro, 24 janvier 2004 Sous-titrés clownerie par Jean genet, Les Nègres trouvent en Michaël Lévinas la figure idéale et inattendue de l'Auguste, avec son art coloré de l'acrobatie et de la transformation sonore et son sens de la parodie, des formes comme du style: Puccini et Offenbach. Confié à une majorité de chanteurs noirs américains, l'opéra est dirigé avec talent par le chef Bernhard Kontarsky, spécialiste du répertoire contemporain. Franck Mallet, Le Monde de la Musique, mars 2004 Le compositeur français Michaël Lévinas, dont c'est le troisième opéra, fait partie d'une avant-garde qui renonce à tout post-modernisme. Il a adapté lui-même le texte original, scindant le livret en trois actes. Côté musique, il opte pour la mixité entre électronique et acoustique. En effet, pas moins de cinq claviers midi (ou synthétiseurs) ainsi que des bandes électroacoustiques élaborées à l'Ircam, à partir d'échantillons sonores importés d'Afrique, s'adjoignent à l'orchestre de l'Opéra. Guillaum