Jules Massenet: Jules Massenet: Serenade du Passant: Soprano or Tenor: Score

Compositeur/Auteur : MASSENET JulesDiscipline/Instrument : pianoSupport : PartitionStyle/Genre : classiqueDate de parution : janv.-00

Par MASSENET JULES. Cendrillon (Cinderella), with a libretto by Henri Cain based on Perrault's fairytale, premiered in 1899 in Paris. Best known for composing over thirty operas, the composer, Jules Massenet (1842-1912) purposely did not attend the premiere, but received a telegram the following day from baritone Fugère recording its triumph. Incorporating the composer's sense of humour and wit, the use of recurrent motifs is subtle and often thought to be inspired by Richard Wagner. Cendrillon contains musical echoes of the 18th century, incorporating gallant music, the use of the Lute and Viola D'Amore and a series of Balletentrees. The Opera is in four acts with 19 characters and a chorus. The role of Prince Charming is a breeches role whilst the melody lines of the Fairy Godmother are characterised by trills and arpeggios. Massenet 's Cendrillon remains popular to this day and was notably performed at the Royal Opera House in 2011. / Opéra-opérette / Répertoire / Chant et Piano

Arrgt: Sarah Labrousse-Baert. Par MASSENET JULES. Formation : Musique de Chambre, Duo, Solo and Accompagnement Piano - Instrumentation : 1 Violon 1 Piano - Niveau de Difficulté : 4/6 - Intermédiaire/Avancé - Durée : 4 mns 05 s - Style Musical : Classique, Pédagogique - Catégorie : Arrangement - Compositeur : Jules MASSENET - Arrangeur : Sarah LABROUSSE-BAERT / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classique, Pédagogique / Répertoire / Violon et Piano

The instantly recognisable and ever-popular Méditation from the opera Thaïs by Jules Massenet (1842-1912) remains a strong favourite in the classical repertoire superbly arranged for Flute and Piano by French flautist Paul Taffanel. Massenet first studied music with his mother before entering the Paris Conservatoire. He is best known for his operas of which he composed over thirty. Thaïs was first performed at the Opéra Garnier in Paris in 1894 and continues to be one of the composer's most performed operas. The famous Méditation isan intermezzo originally for Violin and Orchestra which has since been arranged for many different instruments making it a frequent concert piece. The arrangement for Flute and Piano remains in the original key of D major and displays the passionate religious intentions. Taffanel's adaptions include breath marks phrasing changing octaves for some notes and articulation among other aspects. Massenet's Méditation is challenging through its use of lyricism in the upper register yet it remains a favoured and popular piece in the Flute's repertoire.

Cendrillon (Cinderella) with a libretto by Henri Cain based on Perrault's fairytale premiered in 1899 in Paris. Best known for composing over thirty operas the composer Jules Massenet (1842-1912) purposely did not attend the premiere but received a telegram the following day from baritone Fugère recording its triumph. Incorporating the composer's sense of humour and wit the use of recurrent motifs is subtle and often thought to be inspired by Richard Wagner. Cendrillon contains musical echoes of the 18th century incorporating gallant music the use of the Lute and Viola D'Amore and a series of Balletentrées. The Opera is in four acts with 19 characters and a chorus. The role of Prince Charming is a breeches role whilst the melody lines of the Fairy Godmother are characterised by trills and arpeggios. Massenet's Cendrillon remains popular to this day and was notably performed at the Royal Opera House in 2011.

Contents : Verdi: Rittorna vincitor! (Aida) - Oh patria mia (Aida) - Tu che le vanita (Don Carlo) - Ernani, involami (Ernani) - Madre, pietosa Vergine (La Forza del Destino) - Pace, pace Mio Dio (La Forza del Destino) - Salce, Salce and Ave Maria (Otello) - Come in quest' ora bruna (Simon Boccanegra) - Tacea la Notte placida (Il Trovatore) - D'amor sull'ali rosee (Il Trovatore) - Gluck: Divinites du Styx (Alceste) - Smetana: Marenka's Aria (The Bartered Bride) - Puccini: Mi chiamano Mimì (La Bohème) - In quelle trine morbide (Manon Lescaut) - Bizet: Je dis que rien ne m'epouvante (Carmen) - Massenet: Pleurez! pleurez, mes yeux! (Le Cid) - Il est doux, il est bon (Herodiade) - Obeissons quand leur voix appelle (Manon) - Offenbach: Elle a fui, la tourterelle (Les Contes D'Hoffmann) - Mozart: Come scoglio (Così fan tutte) - Non mi dir (Don Giovanni) - Deh vieni, non tardar (Le Nozze di Figaro) - Porgi, amor, qualche ristoro (Le Nozze di Figaro) - Ach, ich fühl's (Die Zauberflöte) - Tchaikovsky: Tatiana's Letter Scene (Eugene Onegin) - Gounod: The King of Thule and the Jewel Song (Faust) - Beethoven: Abscheulicher! wo eilst du hin? (Fidelio) - J. Strauss: Klange der Heimat (Die Fledermaus) - Mein Herr Marquis (Adele's Laughing Song) (Die Fledermaus) - Wagner: Traft ihr das Schiff? (Der Fliegender Hollander) - Einsam in truben Tagen (Lohengrin) - Euch Luften (Lohengrin) - Dich, theure Halle (Tannhäuser) - Allmacht'ge Jungfrau (Tannhäuser) - Mild und leise (Tristan und Isolde) - Der Manner Sippe (Die Walkure) - C.M. von Weber: Und ob die Wolke (Der Freischütz) - Wie nahte mir der Schlummer (Der Freischütz) - Ozean! du Ungeheuer (Oberon) - Meyerbeer: Parmi les pleurs (Les Huguenots) - Leoncavallo: Stridono lassu (Pagliacci) - Monsigny: Il regardait mon bouquet (Le Roi et le Fermier).

Par PROST NICOLAS. Adolphe Sax, inventeur génial du saxophone (breveté en 1846) est nommé au poste de Directeur de la Musique de Scène à l'Opéra de Paris entre 1847 et 1894. C'est la place idéale pour promouvoir et expérimenter ses instruments à l'orchestre - l'inventeur finit par imposer le saxophone dans certaines oeuvres lyriques, symphoniques, musiques de ballets et bien sûr les musiques régimentaires. On recense de nombreuses apparitions de l'instrument, d'abord timidement mêlé à l'orchestre puis dans de véritables solos pittoresques. Si l'intervention des saxophones dans la Corona d'Italia de G. Rossini, Tannhaüser de R. Wagner, la Damnation de Faust de H. Berlioz, Ondine et le pêcheur de P. Dukas, Hulda de C. Franck ou la 1re symphonie de A. Magnard demeure une tentative anecdotique, d'autres compositeurs comme G. Bizet, C. Saint-Saëns, A. Thomas, V. D'Indy, L. Delibes, G. Charpentier ou J. Massenet offrent à l'instrument de belles phrases chantées au sein même de l'orchestre. On ne compte guère qu'une poignée d'oeuvres de musique de chambre mixte avant 1900. En revanche, la formule saxophone accompagné d'un piano (ou d'une fanfare) est d'usage courant. Les musiques sont écrites principalement par les amis de l'inventeur, souvent chefs de musiques régimentaires qui utilisent un style simple et classique pour les besoins du divertissement de plein air (thèmes et variations virtuoses loin des grands chefs d'oeuvre romantiques de l'époque). Cette petite suite musicale retrace un parcours chronologique des solos de saxophone avant 1900, à découvrir avec une réduction de piano comme support harmonique. Hector Berlioz (1803-1869), véritable défenseur des inventions de Sax, vante les mérites du saxophone dans son Traité d'instrumentation. C'est lui qui utilise la 1re fois l'instrument dans une oeuvre pour 6 instruments à vent afin de saluer avec enthousiasme les inventions du célèbre facteur belge. Hymne pour les instruments de Sax sera donné en public le 3 février 1844 à Paris salle Hertz, Adolphe Sax jouant lui-même la partie de saxophone basse en Mib. La partition demeurant malheureusement introuvable, on sait néanmoins que l'Hymne était une adaptation de son Chant sacré pour choeur composé quelques mois plus tôt. Le 1er solo présenté ici est une possible reconstitution du solo de saxophone. La Berceuse, solo originellement joué au saxophone soprano, est extraite de Santa Claus Symphony (1853) de William Henry Fry (1813-1854). Le compositeur né américain était un fervent admirateur d'Adolphe Sax et le 1er compositeur américain à écrire pour grand orchestre. Ce solo est symbolique : il s'agirait de la première intégration du saxophone aux Etats-Unis, 50 ans avant le jazz dixieland. Récit est une véritable cadence consacrée au saxophone alto sur un accompagnement de pizzicati de cordes et tenues de cuivres. Ce récit est extrait du récit et prologue du 2nd tableau de l'Acte II de l'opéra Hamlet (1868) de Ambroise Thomas (1811-1896). Les deux chants du Pérou (1865) sont originellement harmonisés habilement pour 3 saxophones d'après des chants joués par les Indiens sur 'la Quena', leur instrument national. Orient est un solo de saxophone tiré de la grande marche militaire pour orchestre à vents Orient et Occident opus 25 (1869). Camille Saint-Saëns (1835-1921) a souvent utilisé le pupitre de saxophones, tant dans ses ouvrages symphoniques que lyriques. L'Ouverture et l'Intermezzo de Georges Bizet (1838-1875) sont des solos de saxophone alto des plus remarquables. Ils sont extraits des suites pour orchestre de la musique de scène de l'Arlésienne (1872). La Barcarolle de Léo Delibes (1836-1891) est tirée de son ballet séduisant Sylvia (1876). On y entend un solo très élégant au saxophone alto. Jules Massenet (1842-1912) utilise le saxophone de nombreuses fois. On apprécie bien sûr la valse avec saxophone dans son opéra Le Roi de Lahore, mais c'est surtout grâce à son opéra Werther que le saxophone a été reconnu. Dans l'Air des larmes de Werther (1892), le saxophone dialogue superbement avec le personnage de Charlotte. Le solo de Vision est un chant au saxophone alto qui donne la réplique à Hérode dans l'opéra Hérodiade (1881). La Fantaisie de ce recueil est un extrait de la Fantaisie variée pour saxophone et piano (1889). Elément du patrimoine historique du saxophoniste, cette pièce est typique des musiques légères et décontractées de l'époque. Léon Wettge (1844-1909) était chef de musique du 28e régiment d'artillerie de Versailles avant d'être chef de la Garde Républicaine. / classique / Répertoire / Saxophone et Piano