En 1884, peu après la création
de son opéra Henry VIII,
Saint-Saëns complété à la fois
le Allegro appassionato, Opus
70 (à ne pas confondre avec
un travail du même titre pour
violoncelle, Opus 43) et la
Rapsodie d'Auvergne, Opus
73.
Une personnalité marquante
dans l'histoire de la musique
romantique française, Camille
Saint-Saëns (1835-1921) était
aussi l'un des plus grands
prodiges des claviers des 200
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En 1884, peu après la création
de son opéra Henry VIII,
Saint-Saëns complété à la fois
le Allegro appassionato, Opus
70 (à ne pas confondre avec
un travail du même titre pour
violoncelle, Opus 43) et la
Rapsodie d'Auvergne, Opus
73.
Une personnalité marquante
dans l'histoire de la musique
romantique française, Camille
Saint-Saëns (1835-1921) était
aussi l'un des plus grands
prodiges des claviers des 200
dernières années.
Quand il a fait ses débuts en
récital de piano à l'âge de 10
ans dans la Salle Pleyel, il a
annoncé à l'auditoire qu'il
serait heureux d'accomplir un
de Beethoven 32 sonates
comme un rappel. Une bonne
partie plus tard, Liszt
référence à lui comme le plus
grand organiste de la terre.
Saint-Saëns fut un
compositeur prolifique dans
tous les genres, et il n'est
donc pas du tout surprenant
que il a créé un corps
généreux des œuvres à la fois
pour orgue et le piano.
Non seulement Camille Saint-
Saëns un virtuose du piano,
fait l'éloge de Liszt parmi
beaucoup d'autres, mais il a
été l'un des compositeurs les
plus passionnants et
imaginative de pour
l'instrument. Il aimait prendre
des formes baroques et
classiques et en les traduisant
dans sa propre marque de la
langue romantique, qualités
que Geoffrey Burleson explore
si adroitement dans ce
deuxième volume de la
musique pour piano complet.
Ses Six Fugues, op. 161 sont
des études de caractère
magistral et complexe,
dépourvue de tendances
académiques, tandis que son
célèbre Allegro appassionato,
op. 70 possède la brillance et
la profondeur lyrique.