Proposée par l'auteur au public avec peu de succès en
1824, cette pièce a été rééditée onze ans plus
tard à Paris avec la fausse attribution à Franz
Schubert, transmise jusqu'à nos jours.
PAROLES Voici, l'instant supreme.
L'instant de nos adieux!
Ô toi! Seul bien que j'aime!
Sans moi retourne aux cieux!
La mort est une amie
Qui rende la liberté;
Au ciel reçois la vie
Et pour l'eternité!
Adieu, tu vas m'attendre:
Bientôt je dois partir.
Mon cœur fidèle et tendre
Te garde un souvenir.
Adieu jusqu'à l'aurore
Du jour en qui j'ai foi,
Du jour qui doit encore
Me réunir à toi.
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