Waldorf Iridium

-- Présentation --
Pour mon home-studio, je recherchais une machine de recherche compacte, puissante, complexe et capable d'importer des samples. L'Iridium est tout cela et bien plus...

-- Découverte --
Au déballage, la machine est lourde et robuste. A la première mise sous tension, on reste en admiration devant la façade, bien que celle-ci soit moins impressionnante que celle de son grand frère Quantum. La mise à jour est effectuée à partir d'une carte microSD (carte 64 GB utilisée). Elle est très simple et rapide. L'écran tactile réagit parfaitement, sans aucune latence.

-- Edition/Traitement --
L'interface de l'Iridium a été pensée pour éditer les sons de manière logique, intuitive et rapide. A tout moment de l'édition, on sait à quel endroit on se trouve. En section filtres, un outil permet de visualiser la structure du layer en cours d'édition. Très didactique.
Les cinq types de synthèse disponibles sont aussi passionnants les uns que les autres mais la synthèse à noyau est particulièrement puissante. Dans cette forme de synthèse, un seul oscillateur comprend jusqu'à 6 opérateurs ou noyaux (kernels), sachant qu'un kernel peut être une forme d'onde, du bruit, un résonateur ou une table d'onde.
La sections effets est très bien. La réverb est la meilleure que j'ai trouvée jusqu'à présent sur un synthé. Le chorus, en position stage 2, permet de créer de très beaux effets de phasing que l'on peut animer en utilisant LFO et enveloppes.
Concernant le traitement des samples, il manque deux fonctions intéressantes : time stretching et pitch shift. J'espère que cela sera implanté lors d'une prochaine mise à jour.

J'arrive maintenant au plus "dingue" de l'Iridium : le step sequencer. La combinaison de celui-ci, des différentes formes de synthèse, de la matrice de modulation et des effets permet de réaliser des structures rythmiques et évolutives hallucinantes. Un signal audio externe peut même être exploité par le step sequencer !

-- Son --
Les possibilités de création sonore sont vraiment énormes et illimitées. Comme son grand frère Quantum, l'Iridium excelle dans les sons évolutifs, les ambiances, les climats étranges mais il serait dommage de le cantonner à cela car il est capable de produire bien d'autres types de sons, analogiques, strings, percussions, rythmiques, etc.

-- Problème --
Un écran blanc est apparu plusieurs fois, jusqu'au jour où l'Iridium n'a plus voulu redémarrer du tout. J'ai dû le retourner en réparation mais heureusement tout le monde a été compétent et très réactif.

-- Conclusion --
Lorsque j'ai commandé l'Iridium, je craignais d'être déçu et de regretter mon achat. Mais depuis son installation, il n'y a plus qu'un synthé qui s'allume ou presque : l'Iridium. C'est le plus passionnant que j'ai eu jusqu'à présent et un des meilleurs numériques jamais construits. Bravo à Waldorf.

After 4 decades of synths I have finally arrived at the final frontier. I use this synth primarily for ambient alien dark sci-fi soundscapes. THE GOOD: All glitches (of the first release) but one have been cleaned-out, except for the infamous occasional blank screen, but power off/on brings it where left off. No wonky knobs, no light leak, lovely structured file management, touch screen (I left the foil on top) responds well (a slightly moist fingertip really does help). The user interface is easy as never seen before. I yet need to open the manual. Also import is a piece of cake, no computer utility needed! Already only playing one note on the first patch and tweaking made my jaw drop. Never experienced such depth of sound tweaking. I do not use any keyboard, just three analog old school sequencers (Doepfer Dark Time from Thomann DE thank you Thomann) to control both Iridium layers and one other wave synth. There's a latch button to keep the gate pitch open constantly, by pressing one of the pads once. THE BAD: Occasionally the lcd screen goes completely blank white and the machine stops. Okay, power off/on and the machine continuous where left off. Not good when playing live. So it is a studio machine only, too bad. The internal BPM range starts at 20 BPM, but I need to go even below 1 BPM for my soundscapes. So I use a modular clock with clock divider/multiplier to control the BPM. I wish the internal BPM could go as low as 1, seriously, it would give lovely sequencing. THE UGLY: The pads leds are hideous those colours that do not contribute in any way to music making. No keyboard classic or modern not even a telephone has coloured keys, just black&white, so why coloured pads beats me. Yes I can dim or turn off all leds, but heck then nothing lights up to remind me what button I have pushed. Why Waldorf not let us separately switch off/on the pads coloured leds, well, I mailed them but no reply. Why having pads at all, they're useless. Everybody has already MIDI keys, no? So I'm gonna stick self adhesive black furniture pads onto the Iridium pads. Better have a simple drone switch. THE VERDICT: Of course there's always something to complain about, but in the end it is the sound that matters. And I can tell you that after 4 decades of synthing, this Iridium produces very good hi-fi sound, the best I have ever heard from over a hundred synths I have played with. Yes it is all digital this Iridium, but you know, if I only take into account the filters, they are so clean and pure that make the Iridium as the highest standard for sound quality. So now I'm gonna go from this frontier to boldly go sound design where no synth has taken me before.

Superlativo, facile da programmare intuitivo e lineare, solo il motore kernel deve essere studiato per essere capito ( e non è detto che lo si capisca appieno ), fare modulazione carrier con una wavetable ha dei risultati difficilmente prevedibili ma questa è la sua magia. Fosse stato multitimbrico a 4 parti avrebbe toccato la perfezione.
Non eccezionalmente solidi i 6 encoder a lato del display. a voler essere pignoli è l'unica pecca, ma stiamo parlando di una macchina davvero libidinosa