Musique de film N°1

Très attendu, le second recueil de Gonzales ! Complément du Notebook Vol.1, ce recueil contient les 8 autres pièces issues du fameux album `Solo Piano` 3 Inédits : tout d'abord, One Evening de Feist version piano Solo de Gonzales, et pour tous ceux qui auront eu la chance de voir Gonzales sur Scène, Chilly in F Minor et Take me To Broadway retranscrits note à note dans leur version Live. En collaboration avec les Films Jack Fébus, les Editions Bourgès R. ont pensé à tous les autres pianistes, à tous les autres musiciens qui auront manqué l'évenenement : 1 DVD de 58 minutes, présentant le Show `Piano Vision` enregistré le 19 novembre 2005 au Théâtre d'Angoulême, Scène nationale dans le cadre du festival Piano en Valois. Le film réalisé par Eric Michaud a été remonté pour vous présenter le maximum de pièces contenues dans les 2 recueils de partitions. Conception du Piano Vision créée par Ninja Pleasure.

15 titres arrangés pour piano solo and 4 mains / Apprendre le piano ne signifie plus étudier et travailler uniquement de la musique « classique». L'héritage de grands compositeurs, tels que Beethoven, Mozart, Chopin ou Ravel est certes immense et merveilleux pour tous les pianistes. Mais voici enfin de véritables morceaux tirés des mélodies populaires : chanson, musique de films, jazz, etc., écrits, arrangés et pensés pour le piano et par un pianiste. Avec cette nouvelle collection, Franck LANONE nous propose d'emmener les élèves pianistes vers des terres jusque-là interdites, et cependant dans une approche très sérieuse et pédagogique. Les difficultés spécifiques à chaque pièce sont énoncées au début du morceau, avec des pistes de travail et d'interprétation, à étudier seul ou avec son professeur. Il devient possible de travailler son piano en jouant autre chose que de la musique classique, dans des styles très variés, mais dans la grande tradition de l'exigence d'une écriture pianistique. Bref, comme de vraies pièces du répertoire ! Que ces partitions vous suivent dans votre apprentissage du piano, et vous fassent encore plus aimer cet instrument résolument moderne, et présent dans tous les genres de musique. Un CD inséré dans les recueils vous offrira la possibilité de vous inspirer pour votre interprétation, ou vous donnera tout simplement le plaisir de l'écouter...

Né en 1928 à Rome Ennio Morricone a donné à la musique de film ses lettres de noblesse. Il collabore dans les années 60 avec Sergio Leone et ses compositions pour les westerns italiens feront sa gloire. De très grands chefs-d?œuvre comme Il était une fois dans l?Ouest ou Il était une fois la révolution lui ont permis de se faire connaître auprès d?un large public et de composer les bandes sonores de films de grands réalisateurs tels que Pasolini Bertolucci Brian de Palma (Les incorruptibles Mission to Mars) et Roland Joffe (Mission Vatel). Ennio Morricone est l?auteur de plus de 200 musiques de film. A Morricone Portrait rassemble trois mélodies de ce grandcompositeur italien : My name is nobody (Mon nom est personne) - Metello et Here?s to you (La ballade de Sacco et Vanzetti).

Né en 1928 à Rome Ennio Morricone a donné à la musique de film ses lettres de noblesse. Il collabore dans les années 60 avec Sergio Leone et ses compositions pour les westerns italiens feront sa gloire. De très grands chefs-d?œuvre comme Il était une fois dans l?Ouest ou Il était une fois la révolution lui ont permis de se faire connaître auprès d?un large public et de composer les bandes sonores de films de grands réalisateurs tels que Pasolini Bertolucci Brian de Palma (Les incorruptibles Mission to Mars) et Roland Joffe (Mission Vatel). Ennio Morricone est l?auteur de plus de 200 musiques de film. A Morricone Portrait rassemble trois mélodies de ce grandcompositeur italien : My name is nobody (Mon nom est personne) - Metello et Here?s to you (La ballade de Sacco et Vanzetti).

for flute and clarinet-Dimitri Chostakovitch (1906-1975) fut un compositeur et pianiste russe. Sa personnalité novatrice s?affirma très tôt avec ses deux premières symphonies et son opéra Le Nez (1928). En 1936 il achève la composition de son second opéra Lady Macbeth qui fut violemment critiqué dans la Pravda. Chostakovitch devint ainsi officiellement un 'ennemi du peuple' accusation qui dans l?URSS des années 30 précédait bien souvent une déportation. Il est hanté par des idées de suicide qui ne cesseront de le tourmenter toute sa vie. La Symphonie n° 4 (1935-1936) est le reflet de son état psychologique de l?époque. Cette œuvre bouleversante ne sera créée qu?un 1961.Selon la version officielle Chostakovitch retira de lui-même son œuvre la jugeant imparfaite. Mais il est bien plus vraisemblable qu?il ait cédé à des pressions exercées par des hautes instances. Obligé de faire des concessions Chostakovitch donne à sa musique des accents plus traditionnels. Chostakovitch est l?auteur d?une abondante production : opéras ballets musiques de film oratorios concertos symphonies musique de chambre etc.La carrière de compositeur pour le cinéma débute en 1929 avec La Nouvelle Babylone et se poursuit toute sa vie durant jalonnée de succès comme la trilogie La Jeunesse de Maxime le Retour de Maxime et Du côté de Viborg (1934-1938) qui valut au compositeur le Prix Staline. Cette valse est extraite de la musique du film La Jeunesse de Maxime. Ed Keeley en a réalisé un bel arrangement pour un duo Flûte traversière et Clarinette et Orchestre d?Harmonie.

Aélita (1924) de Yakov Protazanov m'intéresse, car c'est un film situé au croisement de toutes les tendances artistiques les plus importantes en Russie dans les années 1920. Le constructivisme et le futurisme y sont présents (à travers les costumes et les décors) et c'est aussi un témoignage de la vie quotidienne de cette époque. Il s'agit autant d'une peinture impitoyable des moeurs puisée dans la puissante ironie - politiquement incorrecte - du roman de Alexei Tolstoi que d'une comédie mélodramatique pétrie d'éléments absurdes.Je souhaite placer le film dans l'atmosphère acoustique de son époque, c'est-à-dire le temps des constructivistes russes Mosolov et Polovinkin, de l'utopique 'Symphonie des sirènes d'usines' de Arseny Avraamov et des expérimentations bruitistes de Luigi Russolo.Il est naturellement impossible de percevoir aujourd'hui le film comme il a pu l'être alors. La musique se doit donc de n'être pas que stylisation ou illustration. La musique distancie l'image, la plaçant hors du temps et ouvrant de nouvelles perspectives perceptives.J'ai décidé de travailler à la manière d'un pianiste de cinéma muet, sans imaginer de bande son synchronisée avec le film, non pour amplifier musicalement l'action, mais davantage pour créer une atmosphère acoustique générale : des nuages sonores qui réagissent à l'action cinématographique comme un nuage dans le ciel réagit à l'action du vent - même si le vent est très fort, les nuages vont se modifier avec lenteur.J'ai essayé dans le même temps d'achever l'esprit constructiviste. La musique est totalement mécaniste. Au fondement de l'organisation temporelle se trouve une structure pré-établie. Le matériau sonore emplit cette structure comme le ferait de l'eau. La bande son est truffée de processus transitionnels amenant d'un son à un autre (morphing). Nombre d'objets usuels sont utilisés comme des instruments (tuyaux, bouteilles, boîtes de conserve, jouets, etc). La partie instrumentale forme une structure canonique. Ces canons multiples sont des symboles d'une production à la chaîne ou d'une multiplication - comme la célèbre photo de Rodchenko : la multiplication des objets est plus importante que les objets eux-mêmes.Les processus de mécanicité et de récurrence ont toujours été d'une grande importance et d'un grand intérêt pour moi, à tous les points de vue : de la reproduction d'un geste à une impossibilité fatale d'influencer des processus mécaniques (toute interruption du travail en cours d'une machine peut causer sa destruction), en passant par les battements du coeur ou la succession des inspirations et expirations, ou bien encore la course des heures durant la journée, des saisons durant l'année. Mais les idées d'un auteur constructiviste d'aujourd'hui ne peuvent être les mêmes que celles de l'artiste du début du 20ème siècle. Les constructivistes considéraient la machine comme un symbole d'ordre et d'organisation. A présent, la mécanicité nous fait plutôt craindre une sorte de désastre d'origine technologique. Le point de vue historique optimiste a fait place à un point de vue catastrophiste. Dans la bande son d'Aélita, il a été important pour moi de faire l'écho de ces aspects esthétiques.Ce projet fait partie d'une année intense de résidence auprès de l'Ensemble 2e2m, commanditaire de cette pièce.Dmitri Kourliandski(Traduction : Editions Jobert) / Ensemble Instrumental Et Petit Orchestre

Frank Van Baelen a tenté à travers ce morceau d?écrire la musique d?un film qui n?existe pas. Il utilise des éléments typiques de la musique de film américaine. A vous d?imaginer le film qui va avec !