SKU: BO.B.3340
ISBN 9788480207591.
English comments: My dedication to the string instruments has been a constant throughout my compositional career and I knew that sooner or later the time would come to compose a concerto for violin and orchestra. That moment came in the autumn of 2002 and after ten months of uninterrupted work I finished it in August of 2003. It is a work structured similarly to the traditional concertos. An important impetus for the elaboration of my concerto was due to the ill-fated violinist Ginette Neveu. Her version of Sibelius' Concerto has always stayed with me. For this reason the first movement, Moderato-Allegro, begins with a contemplative atmosphere similar to that of Sibelius' Concerto in which the principal thematic ideas appear tentatively. These ideas, two rhythmic and two melodic, are reaffirmed through a broad development that culminates in an orchestral fullness. A calm, mysterious passage recalls the introduction and after becoming blurred, three bars burst in leading to the rapid section of the movement. Soloist and orchestra engage in a dialectic struggle of a dramatic nature. The agitation subsides leaving only a tranquil and suggestive clarinet phrase. This will be taken up by the soloist who leads up to the movement's most dramatic moment playing an accelerating triplet figure supported by an orchestral pedal in crescendo. From here the soloist's cadenza emerges beginning with soft double notes. It finishes with an ascending progression and the soloist settles into the high register to elicit the orchestra's intervention in a soft and transfigured atmosphere. Once internalised the second movement, Adagio poco sostenuto e leggero begins. It has a solemn character and opens with two trumpet calls answered by the violoncellos and the contrabasses. The violin soloist introduces and plays two nostalgic themes, the first in the low register and the second, more extensive, in the middle register. The soft and delicate Misterioso e leggero begins with the violin singing on high. The rhythm of the constant quaver figures gradually accelerates until the soloist provokes a dramatic full orchestra as in a cadenza. Once again, the Calmo, in which the soloist with less and less orchestral attire serenely bids farewell. A rising series of double stops by the soloist serves to initiate the Finale-Scherzo. In 6/8 rhythm and with the character of a rondo it carries us along in a carefree, virtuosic ambiance. The principal motives, brief and concise, emerge from the happy, playful theme presented by the soloist. With an intricate progression of rapid sixths in double stops it reaches a tense and somewhat combative moment. However this resolves itself in a diminuendo that the soloist peacefully takes up with the notes re-la to commence the cadenza. This culminates in a series of tied notes to reintroduce the principal theme. A moment of melodic suspension serves as a farewell before the brief and jovial final coda. --The authorComentarios del Espanol:A lo largo de mi carrera compositiva mi dedicacion a los instrumentos de cuerda ha sido constante y sabia que, tarde o temprano, llegaria el momento de componer un concierto para violin y orquesta. Este llego en otono de 2002 y, tras diez meses de trabajo ininterrumpido, lo termine en agosto de 2003. Se trata de una obra estructurada de manera similar a los conciertos tradicionales. Un importante impulso a la elaboracion de mi concierto lo debo al recuerdo de la malograda violinista Ginette Neveu. Su version del concierto de Sibelius ha permanecido siempre dentro de mi. Por ese motivo, el primer movimiento Moderato-Allegro se inicia con una atmosfera contemplativa cercana a la del mencionado Concierto, en la que aparecen cautamente las principales ideas tematicas. Con un amplio desarrollo se llega a un lleno orquestal en el que estas ideas -dos ritmicas y dos melodicas- quedan reafirmadas. Un pasaje calmo y misterioso rememora la introduccion. Tras desdibujarse, irrumpen tres compases que nos llevan a la parte rapida del movimiento. Solista y orquesta establecen un combate dialectico de caracter dramatico. La inquietud desaparece hasta una tranquila e insinuante frase del clarinete. Esta sera recogida por el solista, quien, a base de una figuracion de tresillos cada vez mas rapidos apoyada por un pedal de la orquesta in crescendo, conduce hacia el momento mas dramatico del movimiento. De aqui nace la cadenza del solista, que se incia con suaves notas dobles. Finaliza con una progresion ascendente y el solista se coloca en el registro agudo para llamar la intervencion de la orquesta dentro de una atmosfera suave y transfigurada. Interiorizado es el segundo movimiento Adagio poco sostenuto e leggero. Con dos llamadas de las trompas respondidas por los violonchelos y contrabajos inicia el Adagio de caracter grave. El violin solista introduce y canta dos temas nostalgicos. El primero en el registro grave y el segundo, mas amplio, en el medio. Inicia el Misterioso e leggero, de caracter suave y delicado. Con el violin cantando en agudo. La constante figuracion de corcheas acelerara poco a poco el ritmo hasta que el solista a modo de cadenza provocara un dramatico lleno orquestal. De nuevo el Calmo, donde el solista, cada vez con menos ropaje orquestal, se despide serenamente. Una subida de dobles cuerdas a cargo del solista sirve para iniciar el Finale-Scherzo. Este, en ritmo de 6/8 y con caracter de rondo, nos transporta en un clima virtuosistico y despreocupado. Del tema alegre y jugueton presentado por el solista nacen los principales motivos, breves y concisos. Con una intrincada sucesion de rapidas sextas en doble cuerda se llega a un momento crispado y algo combativo que, sin embargo, se resolvera en un diminuendo que el solista recoge apaciblemente con las notas re-la para inciar la cadenza. Esta culmina con un suave rosario de notas en ligado para introducir de nuevo el tema principal. Un momento de suspension melodica sirve como despido antes de la breve y jovial coda final. La obra fue estrenada el 23 de septiembre de 2005 en el Teatre Monumental de Madrid por la Orquesta Sinfonica de RTVE con Markus Placci de solista y Uwe Mund de director. Gravacion: RNE y Canal Clasico de TVE. --El Autor.
SKU: BU.EBR-A040
ISBN 9790560151113. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Golliwogg's Cake-Walk est la dernière et sixième pièce d'un recueil de suites pour piano intitulé Children's Corner (« le coin des enfants »). Debussy commence à composer en 1906 ce petit recueil plein de féérie, une dédicace à sa fille Claude-Emma, plus connue sous le surnom de Chouchou, en 1908. C'est cette même année que le recueil est publié chez les éditions Durand, avec une couverture originale et plaisante faite par le compositeur lui-même. La première écoute officielle est créée au Cercle Musical à Paris le 18 décembre 1908 par Harold Bauer. Quelques années plus tard, Children's Corner est retranscrit pour orchestre par le compositeur André Caplet. Son audition est conduite par Debussy lui-même le 25 mars 1911. Bien que ces six petites suites soient dédicacées à sa fille avec les mots suivants : « A ma très chère petite Chouchou, avec les tendres excuses de son père pour ce qui va suivre », elles ne s'adressent pas à des mains d'enfants. Car elles possèdent, pour certaines, des difficulté techniques inaccessibles pour de très jeunes éxécutants.Les six pièces ont toutes un titre anglais, peut être faut-il y voir une aimable moquerie à l'anglomanie dominante de cette époque :1) Doctor Gradus ad Parnassum2)Jimbo's Lullaby (Berceuse des éléphants)3)Serenade for the doll (Sérénade à la poupée)4)The snow is dancing (La neige danse)5)The litthe shepherd (Le petit berger)6)Golliwogg's cake-walk Golliwogg's Cake-walk (allegro giusto, mi bémol à 2/4) est la pièce la plus célèbre du recueil, surnommée par le pianiste Alfred Cortot « Ataxique et dégingandée ». Elle représente l'apothéose finale de ce recueil. Il faut noter que le terme Cake-Wake correspond à une danse noire américaine et le mot Golliwogg représente une poupée de nègre en étoffe.Debussy emprunte pour la première fois la musique jazz pour exprimer la danse des gestes articulés et saccadés de cette poupée nègre. Au milieu du Cake-Walk, il cite à demi-ironique les premières mesures de Tristan de Wagner en indiquant une annotation piquante : « avec une grande émotion »! puis reprend une deuxième citation dans l'accord final.Grà ce à cette pièce pleines d'effets musicaux et de contre temps rythmiques, le pianiste interprète développera un touché nuancé, de la sensibilité et de l'imagination dans l'éxécution pour faire vivre une oeuvre sautillante très originale.
SKU: BU.EBR-A031
ISBN 9790560150956. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.L’implication créative de Schubert dans l’écriture du lied l’entraîne à interagir avec d’autres formes compositionnelles. C’est dans cet esprit qu’il faut apercevoir l’apparition de pièces courtes pour piano comme les Impromptus, Kavierstücke, Moments musicaux. Du point de vue historique, Schubert n’est pas le premier à composer sur ce genre mais il lui donnera ses premières plus belles pages.Les six moments musicaux de Schubert sont des pièces brèves pour piano dont l’interprétation requiert approximativement un peu moins de trente minutes. L’élaboration de ses pièces renferme de nombreux points énigmatiques, mais on sait que leurs créations s’échelonnent entre 1823 – date de la parution de « l’allegro moderato » – et 1827 – date de l’édition de ces six moments musicaux.Cette œuvre est constituée de : Moderato n°1 en ut mineur, Andantino n°2 en fa mineur, Allegro moderato n°3 en fa mineur, Moderato n°4 en ut dièse mineur, Allegro Vivace n°5 en fa mineur, Plainte d’un troubadour n°6 en la bémol majeur. Ce dernier a été également publié séparément en 1824.L’allegro moderato appelé communément « l’air russe » est la plus célèbre des six petites pièces. Malgré le fait que son plan soit assez distinct et formel, sa conception ne respecte plus une architecture rigoureuse, ce qui contribue à laisser libre arbitre à l’imagination harmonique et mélodique du musicien. Cette petite pièce est chargée d’exprimer des moments psychologiques par l’alternance d’instants vifs et rythmés très contrastés qui oblige finalement une souplesse formelle.Schubert invite les pianistes à partager cet instant musical par une grande concentration psychologique à travers un décor atmosphérique continuellement en mouvement.