Le travail immense et acclamé de Lutoslawski, commissionné et d'abord exécut�...(+)
Le travail immense et acclamé de Lutoslawski, commissionné et d'abord exécuté par l'orchestre philharmonique de Los Angeles en février 1993, dirigé par le compositeur. En 2 mouvements. Durée 22minutes. Partition orchestrale disponible a la location auprès de Chester Music. / Scores / Partition
Dans cette nouvelle édition de la pièce dramatique maîtresse de Stravinsky, H...(+)
Dans cette nouvelle édition de la pièce dramatique maîtresse de Stravinsky, Histoire du soldat, les publicateurs ont cherchés à rationaliser tous les divers et parfois conflictuels amendements faits par le compositeur durant sa vie. Cette édition convient a ceux qui s'intéressent aux grandes pièces musicales du vingtième siècle. A être lue, jouée et dansée en deux parties. Ecrite pour clarinette, Basson, Cor, Trombone, Violon, Contrebasse et Percussion. / Scores / niveau : Avancé / Partition
Bärenreiter Claude Debussy La Mer – Trois Esquisses Symphoniques: Facsimile o...(+)
Bärenreiter Claude Debussy La Mer – Trois Esquisses Symphoniques: Facsimile of the autograph score in the Bibliothèque Nationale de France, edited by Denis Herlin and Mathias Auclair, from the series ‘Documenta musicologica II/58 / Bärenreiter Facsimile’, ISBN 9783761826508, BVK04019, 33.5 x 47 cm, 198 pages, half leather / Bärenreiter
Par SCRIABINE ALEXANDER. In the early years of our century, when vital new force...(+)
Par SCRIABINE ALEXANDER. In the early years of our century, when vital new forces were revolutionising the arts, Russian-born Alexander Scriabin (1872-1915) was one of the visionary pioneers who sought a new musical language. At least a fulldecade before the advances of Stravinsky and Schoenberg, Scriabin had begun the process of a complete break with all musical conventions. By 1905 he was immersed in a search for a way to express, in sound, the mysticaland theosophical ideas obsessed him.
Scriabin’s last two orchestral works were the products of a virtual delirium of composing. Simultaneously refining his poem called Poem of Ecstasyandcompleting the symphony that grew out of it (and shared its name), Scriabin never forgot the rapture of composing this work about creation and self-fulfilment: “I gasp for breath, but oh, what bliss! The very meterkindles the meaning…”
Prometheus: Poem of Fire – Scriabin’s last and most revolutionary symphony – portrays Man’s epic journey from the mists of beginning timeto a wonderous self-realisation, given the gift of fire and light to make creative vision possible. Massively scored, Prometheus incorporates a “colour Organ” to bathe the performance space in a vast interplay ofcoloured lights.
For the music professional and every student of composition, orchestration and conducting, both scores are strikingly original and instructive. Equally fascinating are Scriabin’s approach tocomposition, the extraordinary sonorities of his orchestra and his fanciful, often supercharged, performance instructions that replace conventional words for tempo, mood and expression. / Date parution : 2025-03-26/ Recueil / Orchestre
Par RASMUSSEN SUNLEIF. Rósan í Vetrarljósi (2024) (Die Rose im Winterlicht ) ...(+)
Par RASMUSSEN SUNLEIF. Rósan í Vetrarljósi (2024) (Die Rose im Winterlicht ) composed by Sunleif Rasmussen / Date parution : 2025-01-21/ Répertoire / Orchestre
A Fragile Hope. Par RATKJE MAJA S. K.. A whisper, or a prayer, or a song (2022) ...(+)
A Fragile Hope. Par RATKJE MAJA S. K.. A whisper, or a prayer, or a song (2022) composed by Maja S. K. Ratkje / Date parution : 2025-01-21/ Répertoire / Orchestre
Par CAMPO REGIS. The Wonder of Life s'inspire du célèbre choral efiehl du dein...(+)
Par CAMPO REGIS. The Wonder of Life s'inspire du célèbre choral efiehl du deine Wege ('Remets à Dieu ta route') de la Passion saint Matthieu de Bach.
'Ce choral me hante depuis mon enfance : j'y vois une idée de transcendance, de résilience, de joie, de sérénité, mais aussi une sorte de réponse à The Unanswered Question (“La Question sans réponse“) de Charles Ives', dit Régis Campo. Qui ajoute : 'Ma réponse se rapproche de celle que propose Leonard Bernstein dans l'une de ses conférences : 'Je ne suis plus très sûr de la question, mais ce que je sais, c'est que la réponse est Oui'.
D'autres illustres compositeurs avant lui sont partis d'un matériau historique et tonal : citons Berio (Sinfonia, Rendering), Webern (dans son orchestration d'un extrait de L'Offrande musicale), Goubaïdoulina (qui cite la même Offrande musicale dans son propre Offertorium), Stravinsky (Variations chorales 'Vom Himmel hoch da komm' ich her'), ou encore Denisov (dans sa Partita d'après Bach). Régis Campo a confié le choral de Bach aux cordes, en l'étirant considérablement et en le transmutant sur une durée de près de douze minutes - la trame harmonique se fonde entièrement sur les accords parfaits de Bach. Le premier rang des cordes est composé d'un petit orchestre de 6 instruments (2 violons I solistes, 2 violons II solistes, 2 altos solistes et 2 violoncelles solistes) à la manière des concertos grosso de Corelli ou des Concertos brandebourgeois de Bach, ce petit groupe formant une manière de concertino. Sur le choral, l'orchestre joue par vagues des motifs sautillants caractéristiques de son univers musical à la manière d'un manège interstellaire : les cuivres apparaissent parfois comme des satellites en orbite autour d'une planète ! The Wonder of Life superpose par ailleurs deux temps : l'un est très lent et méditatif, l'autre est pulsé et joueur. La fin de l'œuvre pourrait donner l'impression d'une musique infinie et exprimant un certain abandon à la foi. Quant au titre de l'œuvre, il combine les titres de deux films de Terrence Malick, cinéaste que le compositeur admire particulièrement : To The Wonder et Tree of Life. Régis Campo a dédié son œuvre à une amie de cœur : la musicienne, comédienne et réalisatrice Coline Serreau, avec laquelle il partage son amour pour Bach.
Christian Wasselin / Date parution : 2025-02-11/ Répertoire / Orchestre
Par CAMPO REGIS. Art Spirit est une commande du Oper Stuttgart pour le Staatsorc...(+)
Par CAMPO REGIS. Art Spirit est une commande du Oper Stuttgart pour le Staatsorchester Stuttgart sous la direction Cornelius Meister.
Le titre m'a été inspiré en 2021 par le documentaire sur David Lynch 'The Art Life' : l'artiste américain faisait allusion à son livre de chevet qui l'a accompagné toute sa vie d'artiste : The Art Spirit de Robert Henri. L'oeuvre retrace la simple vie de l'artiste, sa simple vie d'homme, de manière émotionnelle. Cette oeuvre pour orchestre est liée à une oeuvre récente The Wonder Of Life pour orchestre par la proximité de ses harmonies et de ses ritournelles.
Art Spirit est dédiée au chef Cornelius Meister.
Régis Campo, juillet 2021 / Date parution : 2025-02-11/ Répertoire / Orchestre
Par BERLIOZ HECTOR. Chef-d'oeuvre de la musique sacrée première réalisée en ...(+)
Par BERLIOZ HECTOR. Chef-d'oeuvre de la musique sacrée première réalisée en 1854, est en trois parties et a marqué sept voix solistes (soprano, deux ténors, baryton, trois basses), choeur et orchestre. Le texte de la chanson apparaît en français et en allemand./ Répertoire / Partition D'Orchestre
Par TCHAIKOVSKI PIOTR ILITCH. Along with Swan Lake, The Nutcracker represents on...(+)
Par TCHAIKOVSKI PIOTR ILITCH. Along with Swan Lake, The Nutcracker represents one of Tchaikovsky's most popular and most-performed works. Based on E. T. A. Hoffman's The Nutcracker And The Mouse King, the piece was commissioned in 1891 and first performed in St Petersberg the following year. The story of enchanted toys and Christmas magic has become a firm favourite, and the piece was the first historically to make orchestral use of the Celesta. As a work of previously unrivalled orchestration, the piece has become vital reading for those studying the development of the orchestra, or important Romantic works./ Répertoire / Orchestre
Par DUTILLEUX HENRI. Composed in 1978 by Henri Dutilleux, Timbres, Espace, Mouve...(+)
Par DUTILLEUX HENRI. Composed in 1978 by Henri Dutilleux, Timbres, Espace, Mouvement Ou La Nuit Etoileé is a work for Orchestra, also named “The Starry Night” after the painting by Van Gogh. It was commissioned by Mstislav Rostropovich for the National Symphony Orchestraof Washington and is dedicated to Charles Münch. This work for Orchestra lasts approximately 20 minutes and depicts the content of the painting. It is scored for a full Orchestra without Violins or Violas. The Cellos serve to represent space, with swirling solos alongside calmer sections, while thelack of Violins and Violas epitomises for the quiet and motionless sections of the painting. The solo of the Wind instruments and Drums characterizes the clouds and the light of the moon and stars. It is divided into two parts: 1. Nébuleuse (Nebula) and 2. Constellations, which are divided by a Cello interlude. Composed in 1978 by Henri Dutilleux, Timbres, Espace, Mouvement Ou La Nuit Etoilee is a work for Orchestra, also named ; The Starry Night after the painting by Van Gogh. It was commissioned by Mstislav Rostropovich for the National Symphony Orchestra of Washington and is dedicated to Charles Munch. This work for Orchestra lasts approximately 20 minutes and depicts the content of the painting. It is scored for a full Orchestra without Violins or Violas. The Cellos serve to represent space, with swirling solos alongside calmer sections, while the lack of Violins and Violas epitomises for the quiet andmotionless sections of the painting. The solo of the Wind instruments and Drums characterizes the clouds and the light of the moon and stars. It is divided into two parts: 1. Nebuleuse (Nebula) and 2. Constellations, which are divided by a Cello interlude. Henri Dutilleux was internationally acclaimed for his work, winning prizes such as the Gold Medal of the Royal Philharmonic Society and the UNESCO's International Rostrum of Composers, among many others. His work also includes a Piano sonata, two symphonies, the Violin concerto 'L'Arbre Des Songes' (The Tree Of Dreams) and the Cello concerto 'Tout Un Monde Lointain' (A Whole Distant Word)./ Répertoire / Orchestre
Par HAYDN JOSEPH. Haydn Symphony No.69 in C major (Laudon) (Hob.I:69) (Full Scor...(+)
Par HAYDN JOSEPH. Haydn Symphony No.69 in C major (Laudon) (Hob.I:69) (Full Score) Letters of the composer have come down to us only on a few of Haydn’s symphonies, amongst them the “Laudon” Symphony Hob. I:69. In one of these letters, Haydn agrees to the publisher’s suggestion to name the symphony after the widely known and favoured general Gideon Ernst von Laudon (1717-1790). By using this name, both composer and publisher hoped to increase the commercial success of the work which possibly deserved a military eponym considering its instrumentation with timpani and trumpets. Also, the symphony requires two bassoons, but no flutes, corresponding with the available musicians at the court of Esterházy between 1775 and 1776. In continuation of the collaboration between Bärenreiter and G. Henle Verlag, this edition is based on the Urtext of the Complete Edition “Joseph Haydn Works” published by G. Henle Verlag. - First performing Urtext edition - Urtext of the Complete Edition “Joseph Haydn Works” published by G. Henle Verlag - Orchestral parts in the format 25.5 cm x 32.5 cm / Date parution : 2022-07-20/ Répertoire / Orchestre
Par GOUNOD CHARLES. Face à l’évolution de la symphonie impulsée par Beethov...(+)
Par GOUNOD CHARLES. Face à l’évolution de la symphonie impulsée par Beethoven au début du xixe siècle, nombreux furent les compositeurs à se détourner de ce genre considérant ses neuf symphonies comme un idéal insurpassable. Les plus audacieux associeront un contenu extra-musical (poème, texte, conte, légende…) pour faire évoluer le genre vers la symphonie à programme (Berlioz, La Symphonie Fantastique en 1830) ou vers le poème symphonique (Liszt, Mazeppa en 1851). Malgré le creux apparent de la production symphonique française entre 1830 et 1860, il faut souligner que la symphonie, bien que subissant un certain désintérêt, n’a pas cessé d’exister. Farrenc, Reber, Bizet et Gounod par exemple sont de ceux à s’être penchés sur le genre symphonique dans l’héritage beethovénien sans pour autant avoir cherché à le développer outre mesure.
Cette Première Symphonie, datant de 1855, semble être l’un des premiers succès consolateurs de Gounod après l’échec de ses deux œuvres lyriques, La Nonne sanglante et Sapho. Sa bonne réception incite d’ailleurs le compositeur à écrire sa Deuxième Symphonie comme il le dit lui- même au travers de ses Mémoires d’un artiste :
« Je me consolai de mon déboire en écrivant une symphonie (no 1, en ré) pour la Société des Jeunes artistes, qui venait d’être fondée par Pasdeloup et dont tous les concerts avaient lieu salle Herz, rue de la Victoire. Cette symphonie fut bien accueillie, et cet accueil me décida à en écrire pour la même société, une seconde (no 2, en mi bémol), qui obtint aussi un certain succès. »
Ces deux œuvres montrent des traits similaires comme la découpe traditionnelle en quatre mouvements ou encore l’effectif instrumental. Pour autant, la Première Symphonie ne mérite pas de s’éclipser devant la seconde composée la même année. Elle déploie une qualité mélodique remarquable dans son premier mouvement. Le travail orchestral et l’énergie poignante du compositeur laissent également entrevoir le caractère théâtral qu’il développera dans sa Deuxième Symphonie et ses opéras. Le deuxième mouvement emprunte sans doute son caractère et son inspiration au second mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven. Gounod fait preuve ici d’une grande finesse orchestrale et d’une certaine sobriété, proposant même un passage fugué. Le Scherzo, quant à lui, semble puiser son énergie dans de multiples contrastes, somme toute opératiques. Il souligne avec fluidité l’intérêt marqué du compositeur pour le genre dramatique. Le quatrième mouvement, commençant par une introduction dans un tempo plus lent, ne manque pas de dévoiler son infatigable vivacité. Gounod n’hésite d’ailleurs pas à déployer l’intégralité de l’orchestre lorsque nécessaire.
Fidèle au modèle classique et assurément différente de sa sœur, cette Première Symphonie, d’une énergie remarquable, mérite une écoute attentive afin d’en saisir toutes les richesses.
Sommaire
I. Allegro molto
II. Allegretto moderato
III. Non troppo presto
IV. Adagio
/ Date parution : 2022-02-15/ Répertoire / Orchestre
Par GOUNOD CHARLES. Face à l’évolution de la symphonie impulsée par Beethov...(+)
Par GOUNOD CHARLES. Face à l’évolution de la symphonie impulsée par Beethoven au début du xixe siècle, nombreux furent les compositeurs à se détourner de ce genre considérant ses neuf symphonies comme un idéal insurpassable. Les plus audacieux associeront un contenu extra-musical (poème, texte, conte, légende…) pour faire évoluer le genre vers la symphonie à programme (Berlioz, La Symphonie Fantastique en 1830) ou vers le poème symphonique (Liszt, Mazeppa en 1851). Malgré le creux apparent de la production symphonique française entre 1830 et 1860, il faut souligner que la symphonie, bien que subissant un certain désintérêt, n’a pas cessé d’exister. Farrenc, Reber, Bizet et Gounod par exemple sont de ceux à s’être penchés sur le genre symphonique dans l’héritage beethovénien sans pour autant avoir cherché à le développer outre mesure.
Cette Première Symphonie, datant de 1855, semble être l’un des premiers succès consolateurs de Gounod après l’échec de ses deux œuvres lyriques, La Nonne sanglante et Sapho. Sa bonne réception incite d’ailleurs le compositeur à écrire sa Deuxième Symphonie comme il le dit lui- même au travers de ses Mémoires d’un artiste :
« Je me consolai de mon déboire en écrivant une symphonie (no 1, en ré) pour la Société des Jeunes artistes, qui venait d’être fondée par Pasdeloup et dont tous les concerts avaient lieu salle Herz, rue de la Victoire. Cette symphonie fut bien accueillie, et cet accueil me décida à en écrire pour la même société, une seconde (no 2, en mi bémol), qui obtint aussi un certain succès. »
Ces deux œuvres montrent des traits similaires comme la découpe traditionnelle en quatre mouvements ou encore l’effectif instrumental. Pour autant, la Première Symphonie ne mérite pas de s’éclipser devant la seconde composée la même année. Elle déploie une qualité mélodique remarquable dans son premier mouvement. Le travail orchestral et l’énergie poignante du compositeur laissent également entrevoir le caractère théâtral qu’il développera dans sa Deuxième Symphonie et ses opéras. Le deuxième mouvement emprunte sans doute son caractère et son inspiration au second mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven. Gounod fait preuve ici d’une grande finesse orchestrale et d’une certaine sobriété, proposant même un passage fugué. Le Scherzo, quant à lui, semble puiser son énergie dans de multiples contrastes, somme toute opératiques. Il souligne avec fluidité l’intérêt marqué du compositeur pour le genre dramatique. Le quatrième mouvement, commençant par une introduction dans un tempo plus lent, ne manque pas de dévoiler son infatigable vivacité. Gounod n’hésite d’ailleurs pas à déployer l’intégralité de l’orchestre lorsque nécessaire.
Fidèle au modèle classique et assurément différente de sa sœur, cette Première Symphonie, d’une énergie remarquable, mérite une écoute attentive afin d’en saisir toutes les richesses.
Sommaire
I. Allegro molto
II. Allegretto moderato
III. Non troppo presto
IV. Adagio
/ Date parution : 2022-02-15/ Répertoire / Orchestre
Par OFFENBACH JACQUES. This is the last of nearly 100 operettas created by Frenc...(+)
Par OFFENBACH JACQUES. This is the last of nearly 100 operettas created by French composer Jacques Offenbach, a native of Germany whose works were most prominent in the latter half of the nineteenth century. His three-act drama Les Contes d'Hoffmann (The Tales of Hoffmann), which includes a prologue and epilogue, recounts dramatic stories of passion, murder, and revenge. Left incomplete at the composer's death, the operetta debuted in 1881 and remains popular to this day for its many memorable melodies. A masterpiece of French Romanticism, Les Contes d'Hoffmann embodies Offenbach's wish to transcend the limitations of his popular operettas and achieve success among the lofty heights of grand opera. This imaginative score presents an artful blend of fantasy, emotion, and the supernatural as well as elements of satire and the grotesque. Hoffmann, the narrator and protagonist, relates three stories to his drinking companions. The tales concern Olympia, who is revealed as a mechanical doll- Antonia, a gifted vocalist in danger of singing herself to death- and Giulietta, a Venetian courtesan who uses a magic mirror to purloin others' reflections. Reproduced from an authoritative score, this edition offers musicians and music lovers a modestly priced edition of Offenbach's enduring work./ Répertoire / Orchestre