Par DE SARASATE PABLO. / Date parution : 2022-11-29/ Répertoire / Concert Band et Flûte

Ce concerto pour flûte reflète les courants les plus modernistes des années 1920 et a été composée pour et créé par le flûtiste Gilbert Jespersen. / Scores / Partition

Ce concerto pour flûte est un voyage musical dans l'esprit humain qui a toujours à découvrir des moyens pour faire face aux bouleversements, le besoin et la misère. Le premier mouvement où le vent soufflait libre 'a été inspiré par une citation de l'Indien Geronimo chef (1829-1909):' Je suis né dans les prairies où le vent soufflait libre et il n'y avait rien pour briser la lumière du soleil 'tandis que la fin de ce mouvement, avec son turbulent instrumentale coda, est devenu un mort mars, le 'Trail of Tears'. 'Incantation' Le mouvement de réflexion deuxième médite sur la mort de personnes chères et l'espoir d'une meilleure vie après la mort. 'Danse du soleil' Le dernier mouvement évoque l'une des cérémonies les plus spectaculaires et les plus importantes de danse religieuses des Indiens d'Amérique du Nord des Prairies du 19ème siècle qui se pratique encore aujourd'hui, après plusieurs années de détention aux réserves indiennes. / Flûte Et Orchestre

Study score with solo flute part. The Flute Concerto was commissioned by the London Symphony Orchestra first performed by James Galway at the Barbican Centre Concert Hall London on 20 September 1990.Arranged for solo flute (doubling alto flute)and orchestra. Duration 23 minutes.

Aria Antigua for flute and string orchestra was first performed by Bernard Wystraete and The Instrumental Soloists Ensemble B W on 23 March 1999 in Versailles. Includes score and parts.

The solo flute here is kept in high profile by the absence from the orchestra not only of other flutes but also of violins and oboes; in addition the trumpets are used sparingly (they do not for instance play in the slowmovement) so that for much of the time the flute is playing against a mellow ensemble of clarinets horns bassoons and low strings. If this is nevertheless one of Davies's most open-spirited pieces that comes partly from theready flights of the soloist partly from its glockenspiel accompaniments in the outer movements (replaced by ticking claves in the Adagio) partly from the dancing character of so much of the music and partly from the harmonicclarity in a light region not far from C minor.