Nicolas de flue

Gombert's In illo tempore: loquente Jesu is a six-part unaccompanied study in intricate part-writing with sinuous stepwise motion and persistent imitative entries. The optimism of the text taken from the Gospel of Luke is reflected in the music of this buoyant motet and the dashes of harmonic colour unexpected cadences and elaborate textures make this highly rewarding counterpoint to sing.Francis SteeleFrancis Steele was born in Liverpool the son of a docker. Christ's Hospital School nurtured his early musical interests and while at Magdalen College Oxford he studied with David Wulstan and Dr BernardRose two remarkable mentors who combined scholarship with performance. This influence pervaded a singing career spanning nearly three decades during which Francis sang with and furnished editions for the foremost British ensembles. Travelling and performing extensively he has developed an intimate practical knowledge of Renaissance repertoire and his main concern is an imaginative fidelity to musical and verbal text. Francis now lives at La Maison Verte in southern France where he runs courses advocating this approach; he also coaches groups throughout Europe and in the USA.

Travail de Nabokov est une évocation de retour de Pouchkine en 1835 à la succession de pays où quelque dix ans auparavant, il avait subi un exil de deux ans. Le texte, en russe, est le poème de Pouchkine sur le sujet. La musique est nostalgique et poétique, sereine, pour l'essentiel et psychologiquement, plutôt que sur le plan géographique, atmosphérique. Son ton est élevé, sa composition élégante. Néo-romantisme est son école, Henri Sauguet est son influence plus perceptible. C'est un travail remarquable et une belle. (Virgil Thomson) / Voix Elevée(s) Et Orchestre

sur un poème d?Étienne de Jouy. Par SAINT-SAENS CAMILLE. Bien loin de constituer un ouvrage isolé dans l??uvre de Camille Saint-Saëns, le Ch?ur de sylphes appartient à un petit ensemble réalisé au début de sa carrière dans le contexte particulier du concours pour le prix de Rome. Institué en 1803, supprimé dans la foulée des événements de mai 1968, ce dernier fut pendant plus d?un siècle et demi le plus convoité des prix français de composition musicale. Organisé par l?Institut, il garantissait à ses lauréats, à défaut de l?assurance d?une future carrière sans embûches, du moins l?entrée par la grande porte dans le monde artistique et quelques années de pension en Italie, à la villa Médicis. De fait, bien peu résistèrent à l?attrait de cette récompense susceptible de marquer avec éclat l?aboutissement de longues années d?études. Qu?une personnalité comme Saint-Saëns s?y soit présenté n?a finalement rien d?étonnant. Mais bien qu?appelé à devenir au tournant du siècle l?un des plus illustres représentants de l?art académique, il n?obtint jamais, malgré deux participations, le fameux premier grand prix. Le concours était alors organisé en deux épreuves distinctes : la première, éliminatoire, consistait en la réalisation d?une fugue et d?un ch?ur avec accompagnement d?orchestre sur un poème donné, la seconde en la composition d?une grande cantate pour trois voix solistes. Saint-Saëns lui-même en écrira deux, Le Retour de Virginie (1852) puis Ivanhoé (1864). C?est entre le 5 et le 11 juin 1852, pour sa première participation au concours, que Saint-Saëns composa le Ch?ur de sylphes. Favorablement accueilli, il permit au musicien d?être placé en tête des six candidats admis pour l?épreuve finale. Mais il est vrai qu?objectivement le poème proposé avait tout pour lui permettre de briller. Tiré d?un livret d?Étienne de Jouy et de Nicolas Lefebvre, Zirphile et Fleur de myrte, déjà mis en musique par Charles-Simon Catel (1818), l?extrait choisi (acte I, scène 4) était particulièrement adapté à l?exercice. En quelques pages fermement tracées, Saint-Saëns parvient à transcrire l?atmosphère merveilleuse, toute en légèreté, du monde des esprits de l?air. Sous bien des aspects, le résultat obtenu n?est pas sans rappeler le « Scherzo » du Songe d?une nuit d?été de Mendelssohn (1843), compositeur auquel il vouait un véritable culte. Certes, comme toute ?uvre de jeunesse, le Ch?ur de sylphes fut écrit sous influence. Dans la perspective du prix de Rome, le morceau avait en outre été pensé pour répondre à diverses exigences que d?aucuns dénoncèrent par principe comme passéistes. Au-delà de ces réserves un peu simplistes, l?ouvrage n?en reste pas moins un exemple abouti de la grande tradition académique française et de son idéal d?élégance et de clarté. Derrière son indéniable maîtrise de la forme et de l?écriture, l?auteur nous dévoile un travail qui, sans être révolutionnaire, recèle d?indéniables beautés. / Date parution : 2024-01-10/ Répertoire / Choeur SATB et Piano

Par NUORVALA JUHANI. Juhani Nuorvala (b. 1961) wrote The Five Chords That Shook My World (2020) for pianist Nicolas Horvath's Hommage à Glass project and it is dedicated to him. It's a fantasy meditation on the Train/Spaceship chords in Einstein, that repeating five-chord progression (Fm - Db - A - B7 - E) about which the composer has said that there's something strange, because it never fails to lift the audience to its feet. The duration of the piece is c. 6'30'', and it was premiered by Emil Holmström at RUSK festival (Pietarsaari, Finland) 20th November 2020. A notable variety of influences - microtonality, American minimalism, New Romanticism, popular music, techno - has been regarded as a special feature of Nuorvala's idiom. Despite this he is not a collage artist; instead he has blended various ingredients to create a mode of expression entirely his own. Nuorvala's works are often marked with frenzied rhythmic drive. He makes music using elements and materials that both the mind and the body respond to. He finds these elements not only in old or new classical music but in various forms of urban popular music, such as the electronic music of modern dance clubs./ Répertoire / Piano