SKU: PR.510000600
UPC: 680160123452.
SKU: LM.24302
ISBN 9790230943024.
Comptine - Fileuse - Bal des Deb - Jeu de cloches - Complainte - Tic-tac - Menuet en canon - Ronde - A coeur joie - A cloche pied - Sans histoire - Marche.
SKU: LM.24718
ISBN 9790230947183.
Rondeautomne - Dans les bois - Comptine - Bohsan-Bohsan - Etude en arpege - Danse - Prelude - Barcarolle - Ragtime - Histoire sans paroles.
SKU: HL.50417990
UPC: 073999487053. 8.25x11.75x0.072 inches.
Contents: Abandonnee * Mon histoire * Sans feu ni lieu.
SKU: LM.P03492
ISBN 9790230334921.
Une barque sur la mer bleue - La promenade du petit cheval - Le tzigane improvise - Legendes du pays de France - Le gros chat et la petite souris - Danse au jardin - L'infatigable bavarde.
SKU: HL.14079086
SKU: LM.27365D
ISBN 9790231701678.
ALBENIZ : Malaguena - BACH : Scherzo (3e Partita en La min.) - BARTOK : Danse populaire roumaine n. 1 - BEETHOVEN : Bagatelle en Mib Op.33 n. 1 - BOUTRY : Danse de la puce - CHABRIER : Melancolie - CHOPIN : Mazurka en La min. Op.68 n. 2 - Valse Op.69 n. 1 - DEBUSSY : Danse de la poupee (La Boite a joujoux) - DVORAK : Andante en La mineur (Suite Op.98) - GRANADOS : Epilogue - Vals muy lento - GRIEG : Le Lutin Op.71 n. 3 - HAENDEL : Allegro (7e Suite en Sol mineur) - KODALY : Kindertanz - Klavierstucke Op.11 n. 3 - MENDELSSOHN : Romance sans paroles Op.62 n. 1 - MOZART : Allegro (Sonate en Ut maj. KV 545) - POULENC : Le Petit elephant (L'Histoire de Babar) - PROKOFIEV : Visions fugitives op.22 n. 3 - Visions fugitives op.22 n. 10 - Visions fugitives op.22 n. 11 - REGER : Albumblatt - SCARLATTI : Sonate en Si mineur - SCHONBERG : Kleine Klavierstucke Op.19 n. 5 - Le Cavalier - Romance en Sib maj. Op.124 n. 11 - SCRIABINE : Prelude Op.2 n. 2 - SMETANA : Feuillet d'album en Si mineur - TCHAIKOVSKI : Perce-neige (Avril).
SKU: BT.PL3201
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ISBN 9790231036732.
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INSSTR inches. French.
A previously unreleased piece by Francis Poulenc, published with permission from the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris and Benoît Seringe, secretary of the Association des amis de Francis Poulenc [Association of the Friends ofFrancis Poulenc]. Le Voyageur sans bagage [The Traveller Without Luggage], which had been premiered in 1937 with music by Darius Milhaud, was reprised on 1 April 1944 at the Thé tre de la Michodière; Francis Poulenc was asked to compose new stage music. Theentire unpublished score lay undiscovered until Bérengère de l’Épine, a librarian at the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, announced the existence of a manuscript in the Association de la Régie Thé trale collection.Poulenc finalised the score between 19 and 21 March 1944. It contains nine songs, all written for a small instrumental ensemble including oboe, clarinet, cello and piano. However, at the end of the manuscript, the composer echoes the second song Lent [Slow] and creates another version for cello and piano; curiously, the original version of the song has not been erased in the manuscript. Poulenc seems to suggest that we consider the piece for cello and piano, that we have publishedhere, as a different piece of music. It was premiered on Wednesday 23 January 2013 by Marc Coppey, accompanied by Jean-François Heisser, in the organ auditorium of the Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), during thesymposium for the fiftieth anniversary of Poulenc’s death.Given in a dramatic context, some elements allow us to get an idea of the character of the piece, which Benoît Seringe, Poulenc’s beneficiary, judiciously chose to name Souvenirs.The main character of Anouilh’s play, Gaston, is suffering from amnesia at the end of World War One. Several families try to claim him; they want him to be their missing relative. The Renaud family prove to be particularly stubborn, but Gaston doesnot recognize himself in the child and young man they depict: a ruthless and violent person. In Act 1 Scene 3, left alone for a moment, overwhelmed by the story of the “old Gaston†that is gradually coming to light, and outraged by the desire ofthose around him to appropriate him (to the detriment of the person he would like to be from now on), he whispers these words: “You all have proof, photographs that look like me, memories as clear as day… I’ve listened to you all and it’s slowlycausing a hybrid person to rise up in me; a person in which there is a piece of each of your sons and nothing of me.†Poulenc chose to place the second piece from his stage music score as these words are spoken.He borrowed part of the material, as he often did, from an earlier composition. In this particular case, the beginning is a recycled version of the “slow and melancholic†section from L’Histoire de Babar , composed between 1940 and 1945, andpremiered in 1946 (unless it is Babar that reuses the musical idea from Voyageur ).The eponymous elephant decides to leave in search of the great forest. He embraces the old lady, promises her he will return and reassures her that he will never forget her. Left alone, the old lady, feeling sad and pensive, wonders when she’ll seeher friend Babar again. The situation is similar to that in Voyageur sans bagage: solitude, sadness, a distressing and introspective time, fear of oblivion, the presence of memories…Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l’autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l’Association des Amis de Francis Poulenc.Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d’Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Thé tre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d’écrire une nouvelle musique de scène. On ignoraittout de cette partition inédite, jusqu’au jour où Bérengère de l’Épine, conservateur la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l’existence d’un manuscrit dans le fonds de l’Association de la Régie thé trale.Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano.Cependant, la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le no 2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n’est pas biffée dans le manuscrit.Poulenc semble nous inviter considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l’édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant lecolloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d’orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP).Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d’intituler Souvenirs.Le personnage principal de la pièce d’Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces ; maisGaston ne parvient se reconnaître dans l’enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l’acte I, resté seul un moment, écrasé par l’histoire de cet autre lui-même qu’il découvre peu peu, indigné par le désir des personnes qui l’entourent de le ramener elles au détriment de celui qu’il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : « Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis commedes crimes… je vous écoute tous et je sens surgir peu peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi »…C’est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le no 2 de sa partition de musique de scène.Comme il le fait souvent, il emprunte une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section « Lent et mélancolique » de l’Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en1946 ( moins que ce ne soit Babar qui réutilise l’idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s’est décidé partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l’a rassurée : jamais il ne l’oubliera.Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instantde trouble et de retour sur soi, crainte de l’oubli, présence des souvenirs….
SKU: BU.EBR-A047
ISBN 9790560151205. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement à travers ses pièces.En écoutant « à une Smyrniote » comme dans les autres pièces se révèle un orientalisme assez peu oriental pour nous aujourd'hui. A l'origine, l'orientalisme est un mouvement artistique, ce qui signifie qu'il ne peut être fidèlement lié à la reproduction de la réalité.Dans cette pièce, la mélodie est liée sans nul doute à la basse harmonique très mise en valeur par des accentuations rythmiques qui constituent une assise solide. Des reprises de passages musicaux dans l'enchaînement de l'œuvre révèlent des atmosphères complètement différentes, suggérant au pianiste un nouveau fil conducteur dans l'interprétation.
SKU: FZ.50532
ISBN 9782360950041. 17.00 x 24.00 cm inches.
Dans la collection Mnemosis, Anne Fuzeau Classique presente le premier volume d'une serie d'ouvrages consacres aux instruments de musique. Chaque volume traitera de tous les aspects d'un instrument des origines a nos jours : histoire, facture, pedagogie, repertoire, interpretes, role dans l'orchestre et dans la musique de chambre. . . Le plan d'ensemble etant toujours chronologique. C'est donc le compagnon indispensable de tous les instrumentistes professionnels ou amateurs, historiens, musicologues. Ce premier ouvrage, consacre a l'alto, est l'oeuvre de Frederic Laine, brillant pedagogue, interprete et historien de cet instrument. Cet ouvrage presente, en une soixantaine de chapitres, un parcours chronologique de l'alto, des origines au XXe siecle. L'histoire de l'alto est singuliere comme l'est le parcours de cet instrument trop proche du violon, et qui pour cette raison a ete tardivement considere comme une specialite. Tout violoniste peut jouer facilement de l'alto, sans etudes particulieres, pense-t-on jusqu'a l'oree du XXe siecle. Ainsi, il parait inutile de s'y consacrer exclusivement et il est souvent considere au mieux comme un instrument d'appoint. Son histoire est donc ecrite par des violonistes qui le servent au gre des occasions, parfois avec enthousiasme, souvent sans grande conviction. Longtemps voue au second role, il va pourtant entamer, en particulier a partir du derniers tiers du XVIIIe siecle, une veritable quete d'identite qui va lui permettre peu a peu de s'echapper de la tutelle violonistique. Ainsi, grace a ceux qui ont percu la richesse de son timbre et de son potentiel (Bach, Mozart, Berlioz, Wagner, Richard Strauss. . . ), aux interpretes qui ont servi sa cause (Rolla, Urhan, Tertis, Hindemith, Vieux, Primrose. . . ), l'alto est aujourd'hui un instrument reconnu, desormais servi par une brillante generation d'interpretes. Cet ouvrage traite les differentes facettes de l'histoire de l'alto (facture, repertoire, interpretes, pedagogie). Il consacre notamment une partie importante au groupe (orchestre et musique de chambre), element essentiel de l'evolution de l'alto et du role musical de l'altiste. Il est complete par un chapitre anatomie de l'instrument (figures et glossaire des termes de lutherie) ainsi que par une importante bibliographie, des illustrations et de nombreux exemples musicaux. L'auteur: Frederic Laine. Apres des etudes d'alto au CNSM de Lyon et d'histoire de la musique au CNSM de Paris, Frederic Laine mene une triple activite d'altiste, d'enseignant et de musicologue. Docteur en musicologie de l'universite de Tours, il a publie en 2002 corpus pedagogique pour l'alto chez Mardaga, et a contribue a plusieurs ouvrages edites chez Fayard, Buchet-Chastel, Symetrie ou par la Cite de la Musique et les Presses universitaires de France. Altiste du trio Cappa, auteur de nombreuses publications pedagogiques (dont une ecole de l'alto en six volumes), il enseigne l'alto et la musique de chambre dans les conservatoires du centre et du XIIIe arrondissement de Paris et au Cefedem de Rueil-Malmaison. Delve into the memory of music with the Mnemosis collection from Anne Fuzeau Classique. Only in French. Delve into the memory of music with the Mnemosis collection from Anne Fuzeau Classique.
SKU: BT.DHP-1094445-010
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Marsyas ist ein Satyr aus den Metamorphosen des griechischen Dichters Ovid (43 v. Chr.-17 n. Chr.). Er findet eine von der Göttin Athene weggeworfene Flöte und spielt bald so gut, dass ihn Apollo zu einem musikalischen Wettstreit zwischen Flöte und Lyra herausfordert. Durch einen üblen Trick verliert Marsyas und erleidet eine grausame Strafe. Diese Sage bot eine ausgezeichnete Vorlage für ein spannendes Solowerk für Flöte, in welchem auch die Harfe (Lyra) erklingt.Si les récits de métamorphoses furent très populaires dans l’Antiquité gréco-romaine, le recueil du poète latin Ovide [43 av. J.-C./17 apr. J.-C.] est de loin le plus célèbre. Les quinze livres des Métamorphoses racontent la formation du monde et les transformations légendaires des dieux et des hommes en animaux, en plantes ou en objets. Parmi les nombreuses histoires de métamorphoses relatées par Ovide, on trouve celle de Marsyas, un satyre originaire de Célènes en Phrygie. Fils d’Hyagnis, considéré comme l’inventeur de l’harmonie phrygienne, Marsyas excellait dans la musique. Un jour, Athéna fit une fl te double et en joua un banquet des dieux. Tournée en dérisionpar Héra et Aphrodite, et ayant constaté elle-même, en voyant le reflet de son visage dans l’eau, que l’instrument, quand elle en jouait, lui déformait les traits, elle jeta la fl te en maudissant quiconque la ramasserait. Cette malédiction frappa le satyre Marsyas qui la trouva et en joua magnifiquement, au grand plaisir des paysans des contrées phrygiennes qui l’écoutaient et qui prétendirent que le dieu Apollon en personne n’aurait pu mieux faire avec sa lyre. Apollon entra dans une colère formidable et proposa l’insolent satyre un concours musical dont le vainqueur pourrait faire subir au vaincu le ch timent de son choix. Les Muses et le roi Midas, choisis comme juges, ne réussirent pas départager les concurrents. Alors, Apollon joua de la lyre l’envers et demanda Marsyas d’en faire autant avec son instrument. Cela était impossible. Marsyas n’y parvint pas, et Apollon fut déclaré vainqueur. Il se vengea du satyre de la plus cruelle façon : il l’attacha un pin et l’écorcha vif.Certains racontent qu’Apollon, se repentant de sa vengeance, métamorphosa en fleuve le corps de Marsyas. D’autres prétendent que le sang de Marsyas ou les larmes versées par les nymphes et les satyres, privés des enchantements de sa fl te, formèrent le fleuve de Phrygie qui porte son nom. / Marsyas fut créé le 22 juillet 2005 Bordes sur Arize en Ariège par le.
SKU: HL.44010560
UPC: 884088481704. 9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Marsyas ist ein Satyr aus den Metamorphosen des griechischen Dichters Ovid (43 v. Chr.-17 n. Chr.). Er findet eine von der Gottin Athene weggeworfene Flote und spielt bald so gut, dass ihn Apollo zu einem musikalischen Wettstreit zwischen Flote und Lyra herausfordert. Durch einen üblen Trick verliert Marsyas und erleidet eine grausame Strafe. Diese Sage bot eine ausgezeichnete Vorlage für ein spannendes Solowerk für Flote, in welchem auch die Harfe (Lyra) erklingt.Si les recits de metamorphoses furent tres populaires dans l'Antiquite greco-romaine, le recueil du poete latin Ovide [43 av. J.-C./17 apr. J.-C.] est de loin le plus celebre. Les quinze livres des Metamorphoses racontent la formation du monde et les transformations legendaires des dieux et des hommes en animaux, en plantes ou en objets. Parmi les nombreuses histoires de metamorphoses relatees par Ovide, on trouve celle de Marsyas, un satyre originaire de Celenes en Phrygie. Fils d'Hyagnis, considere comme l'inventeur de l'harmonie phrygienne, Marsyas excellait dans la musique. Un jour, Athena fit une flute double et en joua a un banquet des dieux. Tournee en derisionpar Hera et Aphrodite, et ayant constate elle-meme, en voyant le reflet de son visage dans l'eau, que l'instrument, quand elle en jouait, lui deformait les traits, elle jeta la flute en maudissant quiconque la ramasserait. Cette malediction frappa le satyre Marsyas qui la trouva et en joua magnifiquement, au grand plaisir des paysans des contrees phrygiennes qui l'ecoutaient et qui pretendirent que le dieu Apollon en personne n'aurait pu mieux faire avec sa lyre. Apollon entra dans une colere formidable et proposa a l'insolent satyre un concours musical dont le vainqueur pourrait faire subir au vaincu le chatiment de son choix. Les Muses et le roi Midas, choisis comme juges, ne reussirent pas a departager les concurrents. Alors, Apollon joua de la lyre a l'envers et demanda a Marsyas d'en faire autant avec son instrument. Cela etait impossible. Marsyas n'y parvint pas, et Apollon fut declare vainqueur. Il se vengea du satyre de la plus cruelle facon : il l'attacha a un pin et l'ecorcha vif.Certains racontent qu'Apollon, se repentant de sa vengeance, metamorphosa en fleuve le corps de Marsyas. D'autres pretendent que le sang de Marsyas ou les larmes versees par les nymphes et les satyres, prives des enchantements de sa flute, formerent le fleuve de Phrygie qui porte son nom. / Marsyas fut cree le 22 juillet 2005 a Bordes sur Arize en Ariege par le.
SKU: BT.DHP-1094445-140