Douze fugues pour le piano, 1800

Par REICHA ANTON. Douze fugues pour le piano.Edition : - Paris, Imbault, (s.d. = 1800).Présentation par Joël Pontet : Anton Reicha : un compositeur pédagogue - douze fugues pour le piano - quelques remarques concernant les douze fugues de 1800 - correction et suggestions.Ces douzes pièces ne sont pas des fugues d'école mais des oeuvres musicales souvent très audacieuses et novatrices.Préface et avertissement de Reicha.Les tonalités indiquées sont celles par lesquelles les fugues se terminent. Elles commencent souvent dans une toute autre tonalité. / Niveau : Facile / Répertoire / Piano ou Pianoforte (Fac-similé)

Le cycle de fugues est introduit et conclut par un Praeludium et Postludium, le second formé par tourner le Praeludium upside down et lire en arrière. Dans la résolution de problèmes techniques, qu'il représentait lui-même, Hindemith créé pas un exercice sec mais une oeuvre d'imagination considérable. Réalisation intellectuelle et pur plaisir à jouer apparaissent ne pas d'être mutuellement exclusives. Le Ludus est un graphc exemple de plaisir du compositeur dans le fantastique, a offert à son épouse, né sous le signe du Lion, comme cadeau d'anniversaire. Il a illustré les travaux avec le crayon coloré, entre autres choses un lion pour chaque entrée du sujet des fugues et pour chacun des douze de dessin en un autre type de lion, selon le caractère de la musique, initialement publié dans une édition limitée mais offrant une analyse formelle instructive de la musique. / Piano