Wein, Weib und Gesang
Wine, Women and Song, op. 333
by Johann Strauss Jr.
Concert Band - Sheet Music

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Concert Band/Harmonie - Grade 3

SKU: BT.DHP-1094863-010

Wine, Women and Song, op. 333. Composed by Johann Strauss Jr. Arranged by Wil van der Beek. Great Classics. Waltz. Set (Score & Parts). Composed 2009. De Haske Publications #DHP 1094863-010. Published by De Haske Publications (BT.DHP-1094863-010).

9x12 inches.

Der "Walzerkönig“ Johann Strauss (Sohn) hinterließ über 500 Werke, davon 165 Walzer, die er zu vollwertigen Konzertstücken ausarbeitete. Beim Komponieren von Wein, Weib und Gesang ließ er sich von einem Satz, der Martin Luther zugeschrieben wird, inspirieren: "Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang“. Ein lebhafter, charmanter Konzertwalzer, der in einer feurigen Coda endet!

l’instar du Beau Danube bleu, la valse Wein, Weib und Gesang, op. 333 (Aimer, boire et chanter, 1869), a été composée, l’origine, pour le Wiener Männergesangverein (Chœur d’Hommes de Vienne). Johann Strauss s’est inspiré d’une citation attribuée Martin Luther « Qui n'aime point le vin, les femmes ni le chant restera sot toute sa vie » (“Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang”).La version originale de Strauss s’ouvre avec un long passage d’ouverture de près de cent mesures (Quasi religioso, suivie d’un Allegro), très rarement joué. Cette transcription pour Orchestre d’Harmonie en est égalementdépourvue, mais débute néanmoins avec une introduction brillante (Maestoso) d’où se détache la première ligne mélodique qui revient plus tard, dans le quatrième air de valse. Le premier thème représente la quintessence de l’art de vivre viennois ; Strauss s’appuie sur la chanson boire "Stoß an, stoß an, du Liebchen mein" (“Trinquons, ma bien-aimée”) extraite de son opérette Wiener Blut (Sang viennois). Les trois airs qui suivent font également preuve de vivacité et d’élégance. Et bien entendu, comme dans toutes les autres valses de concert, le thème initial revient dans le passage de fin. Une courte cadence endiablée clôt l’œuvre.