L'Art Du Violon 25 Caprices

La partition L'ART DU VIOLON 25 CAPRICES a été composée pour Violon. Cette partition musicale est éditée par une des nombreuses maisons d'édition française à savoir Billaudot. Cette oeuvre musicale fait partie intégrante des oeuvres de style Classique. / Violon / Partition

Paris, Baillon, 178723 caprices numérotés de 1 à 23 - 6 airs variés numérotés de 18 à 23. La pagination de la page 2 à la page 29 est par contre régulière. Cette anomalie correspond à l'édition originale française de 1787. / Violon / 32 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7

La Méthode Violonrama est une nouvelle méthode de violon particulièrement progressive, adaptée au travail professeur-élève, respectant le rythme d?assimilation des apprentis. Conçue par Bruno Garlej, celle méthode est un outil pratique et structuré, qui s?articule autour d?un plan cohérent qui permettra à l?élève de se repérer au mieux. - Exercices de tous les jours (main droite et main gauche spécifiques) - Petites études, caprices - Incitations à l?improvisation... ...le parcours est pensé pour maintenir la motivation de l?élève et son envie de progresser, au fil d?un apprentissage fidèle aux bases. Des étapes intermédiaires, ainsi que des duos professeur/élève jalonnent la méthode afin que justesse et oreille soient développées autant que possible... avec le célèbre Boléro de Ravel comme but à atteindre ! La méthode Violonrama propose une signature esthétique forte, tant par la recherche de musicalité dans le contenu pédagogique, que par l?univers inspirant des nombreuses toiles de maîtres dédiées au violon, au fil d?une mise en page claire et aérée. Méthode de 104 pages, illustrations couleur, reliure spirale, papier sans reflet ; conçue et fabriquée en France.

Composées en 1963, les Cinq Séquences pour quatuor à cordes de Maurice Ohana affirment l'orientation que le langage de ce compositeur poursuivait depuis quelques années à la recherche d'un 'tempérament perdu'.Ce sont en effet les cordes, autant que la voix humaine et la percussion, qui offrent, parmi les moyens non électroniques d'expression, les plus grandes possibilités d'explorer l'univers sonore compris entre les notes de la gamme tempérée. Ici, l'échelle en tiers de ton crée le climat mélodique et harmonique de l'ouvrage.Dès le premier mouvement, Polyphonie, le contour mélodique échappe à l'échelle tempérée, la rythmique enchevêtre en cordes pincées un contrepoint libre, l'évocation de la percussion apparaît. Le second mouvement, Monodie, donne à chaque instrument, ponctué par les trois autres, son tour d'improvisation acrobatique, humoristique ou tendre. La péroraison emprunte aux instruments d'Extrême-Orient la couleur de corde pincée métallique.Le troisième mouvement, Tympanum, est un épisode percutant où le rythme seul règne, amenant les lentes volutes du Déchant, quatrième mouvement, tout en ombres et en éclats, qui rappelle les caprices goyesques, chers à son auteur. L'hymne, qui achève l'ouvrage, carillonne et éclate en lumière dans une écriture à la fois dense et scintillante. / Quatuor A Cordes

Les maîtres du violon nous ont laissé un héritage de nombreux livres d'études et de caprices remarquables. Mais l'abondance même de ce précieux héritage fait qu'une partie importante de celui-ci reste sans but lucratif, car il est impossible pour les élèves d'acquérir ou d'étudier ces quelques études de milliers dispersés dans une cinquantaine de grands volumes.Très souvent , cependant , ces études ne sont pas classés d'une manière progressive. Résultat d'une inspiration qui l'esprit pédagogique ne peut pas toujours dominer ou guider comme il aimait , les premières études s'adressent parfois aux élèves qui combine encore leurs premiers quarts de travail avec les coups d'archet plus facile, tandis que les derniers sont toujours de la difficulté transcendante .Quelles que soient les études choisies , une fois la première étape est sourmounted , les élèves doivent faire de grands efforts pour réaliser imparfaitement et dans les mouvements divisés , les difficultés qui les dépassent . Le résultat de ceci est : une perte de temps considérable et parfois même de découragement .Il en résulte , en tout cas , qui au lieu de pratiquer cinquante ou soixante études caprice dans le délai d'un an , les élèves peuvent étudier à peine trente ans.C'est le désir de remédier à ces multiples inconvénients , qui nous a incité à réaliser ce travail et pour accomplir de rechercher dans les plus grandes oeuvres des maîtres, les éléments les plus aptes à assurer rapidement aux jeunes violonistes , le plus compléter mécanisme de la main gauche et l'arc.Ces éléments extrêmement nombreux et variés choisis dans les anciennes éditions , ont été réexaminés , pointé du doigt et parfois les nuances ( ombres ) que nous avons établies avec le plus grand soin , puis classées par degrés de la deuxième à la huitième année d'études dans un manière progressive .Ces livres d'études ne porteront pas leurs fruits mais , sauf si le travail est réglementé de la deuxième à la cinquième année de l'enseignement, par une bonne méthode et les exercices appropriés. Les études ne peuvent , en réalité, au cours de cette période, remplacer ni une méthode , ni les exercices, ils doivent être considérés plutôt comme une répétition amplifiée d'éléments apprises ailleurs , mais encore mal assimilés. / Violon

Lorsque, en avril 1981, je jouai quelques-uns des 24 Caprices de N. Paganini au saxophone sopranino à Radio-France, j'imaginai réaliser une expérience trop personnelle pour mériter une large diffusion - l'exécution au saxophone de ces caprices me paraissait à l'extrême limite du possible.

Grande fut ma surprise lorsque, en 1989, Didier Vadrot, alors étudiant en première année au Conservatoire de Paris, joua semaine après semaine chacun de ces redoutables Caprices dans une version parfaitement conforme à l'original. Très impressionnés, les autres étudiants de la classe de saxophone mettaient leurs pas sur ce chemin ardu au cours des mois suivants. L'immense bénéfice que chacun a retiré de ce travail, sur le plan technique - grands intervalles, détachés, perfectionnement du suraigu - et musical - longs phrasés, souplesse de l'expression associée à une grande vélocité - m'a convaincu qu'il était temps de présenter ce travail à un plus large public.

Nous ne possédions pas à ce jour d'études transcendantes du niveau de celles proposées aux pianistes, violonistes, flûtistes. Après avoir travaillé les études de Mule, Loyon, Lacour, Bozza, Samyn et s'être déjà largement familiarisé avec le registre suraigu, tout saxophoniste peut se mesurer avec ce monument que Niccolo Paganini ne dédie pas aux violonistes, mais aux artistes !

Claude Delangle, Professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris Contenu : Compositeur/Auteur : PAGANINI Niccolo Discipline/Instrument : saxophone solo Collection : Delangle Claude Support : Partition Style/Genre : classique Date de parution : juin-93 Nombre de pages : 40

Par PAGANINI NICCOLO. Lorsque, en avril 1981, je jouai quelques-uns des 24 Caprices de N. Paganini au saxophone sopranino à Radio-France, j'imaginai réaliser une expérience trop personnelle pour mériter une large diffusion - l'exécution au saxophone de ces caprices me paraissait à l'extrême limite du possible. Grande fut ma surprise lorsque, en 1989, Didier Vadrot, alors étudiant en première année au Conservatoire de Paris, joua semaine après semaine chacun de ces redoutables Caprices dans une version parfaitement conforme à l'original. Très impressionnés, les autres étudiants de la classe de saxophone mettaient leurs pas sur ce chemin ardu au cours des mois suivants. L'immense bénéfice que chacun a retiré de ce travail, sur le plan technique - grands intervalles, détachés, perfectionnement du suraigu - et musical - longs phrasés, souplesse de l'expression associée à une grande vélocité - m'a convaincu qu'il était temps de présenter ce travail à un plus large public. Nous ne possédions pas à ce jour d'études transcendantes du niveau de celles proposées aux pianistes, violonistes, flûtistes. Après avoir travaillé les études de Mule, Loyon, Lacour, Bozza, Samyn et s'être déjà largement familiarisé avec le registre suraigu, tout saxophoniste peut se mesurer avec ce monument que Niccolo Paganini ne dédie pas aux violonistes, mais 'aux artistes'! Claude Delangle, Professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris / Niveau : Difficile / classique / Répertoire / Saxophone

Les maîtres du violon nous ont laissé un héritage de nombreux livres d'études remarquables et de caprices. Mais l'abondance même de cet héritage précieux rend qu'une partie importante de celle-ci reste sans but lucratif, parce qu'il est impossible pour le pup / Violon