Matériel : PartitionLangue : Français
/ Guitare
SKU: BR.OB-5693-03
He re you will find Nudo for piano solo.
ISBN 9790004347232. 10 x 12.5 inches.
A Musical Portrait In 2012 Nicola Campogrande received a rather singular commission when a total stranger asked him to compose a musical portrait of his fiancee. The man knew exactly what he wanted: a concerto for piano and orchestra. After some reflection, Campogrande realised that he would be able to paint with music. It would never be possible, of course, to recognise the shape of the woman's face or the colour of her hair, but the score could evoke the way in which she occupied space and time, and the different movements of the composition would be like the faces on a rotating prism. Campogrande thus accepted the commission and the stranger sent him a few photos of his fiancee, spoke to him about her and, finally, introduced him to her. This is how R (A portrait for piano and orchestra) was born, first performed in April 2013 by Lilya Zilberstein with the Orchestra Verdi in Milan. Subsequently, following other performances and a TV documentary, a number of different pianists asked Campogrande to write a version for solo piano. Hence Nudo emerged, a piece that would be very similar to R, were it not for the fact that, as the title suggests, the pianist is naked, without orchestral clothing.Un portrait musical En 2012, Nicola Campogrande s'est vu proposer une commission fort singuliere ; un parfait etranger lui demandait de composer le portrait musical de sa compagne. L'homme savait exactement ce qu'il voulait : un concert pour piano et orchestre. Apres quelques hesitations, Campogrande s'est rendu compte qu'il pouvait se servir de la musique comme d'un pinceau. Bien entendu, il ne serait jamais possible de reconnaitre la forme du visage de la femme ou la couleur de ses cheveux, mais la partition pourrait evoquer la facon dont elle se deplacait dans l'espace et dans le temps, et les differents mouvements de la piece seraient comme les figures d'un prisme en rotation. Campogrande a donc accepte la commission ; l'etranger lui a envoye des photos de sa compagne, il lui a parle d'elle, avant de les faire se rencontrer personnellement. Ainsi est ne R (Un portrait pour piano et orchestre), interprete pour la premiere fois en avril 2013 par Lilya Zilberstein et l'orchestre Verdi de Milan. D'autres executions ont suivi, ainsi qu'un documentaire televise, apres quoi plusieurs pianistes ont prie Campogrande d'ecrire une version pour piano seul. C'est ainsi que Nudo a vu le jour : un << nu >> tres semblable au premier portrait, si ce n'est que le piano s'y trouve, comme le suggere le titre, depouille de son vetement orchestral. Ritrarre con la musica Nel 2012 Nicola Campogrande ha ricevuto la piu singolare delle commissioni, quando un perfetto sconosciuto gli ha chiesto di comporre il ritratto musicale della sua fidanzata. L'uomo sapeva esattemente cio che voleva: un concerto per pianoforte e orchestra. Dopo qualche esitazione, Campogrande si e reso conto di poter dipingere con la musica; certo, non sarebbe stato possibile riconoscere la forma del viso della donna o il colore dei suoi capelli, ma la partitura avrebbe evocato il modo nel quale lei si muoveva nello spazio e nel tempo, e i vari movimenti del brano sarebbero stati come le facce di un prisma in rotazione. Campogrande ha dunque accettato la commissione e lo sconosciuto gli ha mandato alcune foto della sua fidanzata, gli ha parlato di lei e, alla fine, gliela ha presentata personalmente. E cosi nato cosi R (Un ritratto per pianoforte e orchestra), eseguito per la prima volta nell'aprile 2013 da Lilya Zilberstein insieme all'Orchestra Verdi di Milano.In seguito, dopo altre esecuzioni e un documentario tv, diversi pianisti hanno chiesto a Campogrande di preparare una versione per pianoforte solo. E stato cosi che ha preso forma Nudo, un brano del tutto simile a R tranne per il fatto che, come suggerisce il titolo, il pianista e nudo, senza un abito orchestrale. Information on R on the composer's websiteRecording of the premiere of R in Milano (YouTube).
SKU: BT.1883-12-140-MS
9x12 inches. English-German-French-Dut ch.
A few flavoursome introductory bars carry the listener off to a temple garden in Manchuria in North-eastern China. Mysterious incantations of the priests in the temple and the scent of incense set the scene, while the melody tells of two lovers. A Manchurian wedding procession passes by outside. In the street the coolies are becoming restless. Within the temple, all is calm. Again we hear the incantations of the priest before the lovers’ theme is heard in birdsong, with short quotes from the temple theme and coolie theme to end the piece.Vocal score available separately: 1883-12-050 MSDe sfeervolle inleidende maten van dit werk nemen de luisteraar mee naar een tempelhof in Mantsjoerije, in het noordoosten van China. Mysterieuze bezweringen van de priesters in de tempel en de geur van wierook vormen het decor, terwijl de melodie het verhaal van twee geliefden vertelt. Een Mantsoerijse bruiloftsstoet komt buiten langs. Op straat worden de koelies onrustig. In de tempel heerst een kalme sfeer. Opnieuw horen we de bezweringen van de priesters voordat het thema van de geliefden te horen is in vogelzang, met korte citaten uit het tempel- en het koeliethema ter afsluiting van de compositie.Vocal score available separately: 1883-12-050 MSAlbert Ketèlby entführt schon in den ersten Takten seines Werkes den Zuhörer in einen Tempelgarten in der Mandschurei im Nordosten Chinas. Geheimnisvolle Beschwörungen der Priester im Tempel, eine vorüber ziehende mandschurische Hochzeitsprozession und Unruhen unter den Kulis, die von einem Tempelgong beendet werden, kreieren eine exotische Szenerie, in der die Melodie die Geschichte zweier Liebender erzählt.Chorstimmen separat erhältlich: 1883-12-050 MSDès les premières mesures de l’introduction, Albert Ketèlby emporte l’auditeur dans le jardin d’un temple mandchou, dans le nord-est de la Chine. Les incantations mystérieuses des prêtres et le parfum de l’encens forment une toile de fond d’où se détache une mélodie qui parle de deux amants. Dehors passe un cortège nuptial. Dans la rue, les coolies s’affairent tandis que, dans le temple, le calme règne. C’est ainsi que se raconte l’histoire des heureux élus.Vocal score available separately: 1883-12-050 MSUn’introduzio ne di alcune battute ci accompagna nel giardino di un tempio in Manciuria, nel nord est della Cina. I segreti dei monaci e il profumo penetrante dell’incenso fanno da sottofondo ad una melodia che racconta di due amanti. All’esterno sfila un corteo nuziale. Un viaggio musicale in questa, a noi poco conosciuta, regione della Cina.Vocal score available separately: 1883-12-050 MS.
SKU: LM.27236
ISBN 9790230972369.
Ah ! Vous dirai-je Maman - Ainsi font, font, font - Alouette - C'est la Mere Michel - Do, do l'enfant do - Fais dodo, Colas mon p'tit frere - Heigh Ho ! - Il court, il court, le furet - J'ai du bon tabac - Joyeux anniversaire - Marguerite - Savez-vous planter les choux - Sur le Pont d'Avignon - Te Deum - Trois jeunes tambours - Une souris verte.
SKU: LM.28103
ISBN 9790230981033.
Une poule sur un mur - Pic-nic douille - C'est demain dimanche - Prom'nons nous dans les bois - La Barbichette - Dansons la capucine - Un, deux, trois - Au clair de la lune - A la claire fontaine - Au feu les pompiers - Pomme de reinette - Arlequin dans sa boutique - Mon ane - Bateau sur l'eau - Alouette - Trois poules - Gentil coquelicot - Nous n'irons plus au bois - Jean de la lune - Dans la foret lointaine - V'la l'bon vent - Ah ! les crocodiles - Ainsi font font font - Aux marches du palais - Fais dodo - Un canard - Savez-vous planter les choux ? - Sur le pont d'Avignon - J'ai vu le loup - Il etait un petit homme - Il etait un petit navire - J'aime la galette - Trois jeunes tambours - Un elephant - La Bonne Aventure.
SKU: BT.DHP-1033412-010
Zu Johannes Brahms' berühmtesten Kompositionen zählen neben zahlreichen Liedern und Klavierwerken auch vier Sinfonien. Andrew Watkin wählte das Hauptthema aus der 1. Sinfonie und schuf daraus ein leicht spielbares, sehr schönes Arrangement für Jugendblasorchester. Der lyrische Stil, den man von Brahms so gut kennt, ist in dieser Bearbeitung deutlich zu erkennen, die Andrew Watkin mit viel Sorgfalt und Rücksicht auf das Originalwerk schrieb. « Vingt ans de réflexion, quatorze années de création et lâ??attente dâ??une vie ». Câ??est ainsi que lâ??on peut résumer la Symphonie n° 1 qui eut une gestation particulièrement longue. Commencée en 1854, peu après la rencontre de Brahms avec Schumann, elle ne sera reprise et menée bien quâ?? lâ??automne 1876. Elle se compose de quatre mouvements de construction classique. Andrew Watkin a réalisé un arrangement de lâ??Allegro extrait du premier mouvement. Le climat est sombre mais dâ??une grande profondeur sonore. Les courbes sont fluides et souples. Du grand classique la portée des plus jeunes !
SKU: BT.DHP-1033412-140
Zu Johannes Brahms' berühmtesten Kompositionen zählen neben zahlreichen Liedern und Klavierwerken auch vier Sinfonien. Andrew Watkin wählte das Hauptthema aus der 1. Sinfonie und schuf daraus ein leicht spielbares, sehr schönes Arrangement für Jugendblasorchester. Der lyrische Stil, den man von Brahms so gut kennt, ist in dieser Bearbeitung deutlich zu erkennen, die Andrew Watkin mit viel Sorgfalt und Rücksicht auf das Originalwerk schrieb. « Vingt ans de réflexion, quatorze années de création et l’attente d’une vie ». C’est ainsi que l’on peut résumer la Symphonie n° 1 qui eut une gestation particulièrement longue. Commencée en 1854, peu après la rencontre de Brahms avec Schumann, elle ne sera reprise et menée bien qu’ l’automne 1876. Elle se compose de quatre mouvements de construction classique. Andrew Watkin a réalisé un arrangement de l’Allegro extrait du premier mouvement. Le climat est sombre mais d’une grande profondeur sonore. Les courbes sont fluides et souples. Du grand classique la portée des plus jeunes !
SKU: BT.DHP-1033412-040
Zu Johannes Brahms berühmtesten Kompositionen zählen neben zahlreichen Liedern und Klavierwerken auch vier Sinfonien. Andrew Watkin wählte das Hauptthema aus der 1. Sinfonie und schuf daraus ein leicht spielbares, sehr schönes Arrangement für Jugendblasorchester. Der lyrische Stil, den man von Brahms so gut kennt, ist in dieser Bearbeitung deutlich zu erkennen, die Andrew Watkin mit viel Sorgfalt und Rücksicht auf das Originalwerk schrieb. « Vingt ans de réflexion, quatorze années de création et lâ??attente dâ??une vie ». Câ??est ainsi que lâ??on peut résumer la Symphonie n° 1 qui eut une gestation particulièrement longue. Commencée en 1854, peu après la rencontre de Brahms avec Schumann, elle ne sera reprise et menée bien quâ?? lâ??automne 1876. Elle se compose de quatre mouvements de construction classique. Andrew Watkin a réalisé un arrangement de lâ??Allegro extrait du premier mouvement. Le climat est sombre mais dâ??une grande profondeur sonore. Les courbes sont fluides et souples. Du grand classique la portée des plus jeunes !
SKU: BT.DHP-1094661-140
Puttin’ on the Ritz, dessen Titel sich vom mondänen Ritz- Hotel ableitet und so viel bedeutet, wie sich schick und modern kleiden“, ist ein Lied von Irving Berlin, das erstmals im gleichnamigen Musikfi lm von 1930 erschien. Seither wurde es oft interpretiert, zum Beispiel von Fred Astaire oder in der Top-Ten-Version aus den 80er-Jahren von Taco. Lorenzo Bocci setzte das rhythmisch sehr interessante, swingende Stück für Blasorchester um. “Putting on the Ritz : c'est ainsi que les Anglo-Saxons se « mettent sur leur 31 », consacrant, au passage, le mondialement célèbre palace comme éternel symbole de du luxe et de la perfection. Irving Berlin célèbrera cet art de vivre avec la chanson Puttin’ on the Ritz, reprise par de nombreux artistes. Lorenzo Bocci en a réalisé un arrangement absolument “ritzy.
SKU: BT.DHP-1094661-010
SKU: BR.EB-8990
He re you will find the concerto R (A Portrait for Piano and Orchestra).
ISBN 9790004187197. 9 x 12 inches.
A Musical Portrait In 2012 Nicola Campogrande received a rather singular commission when a total stranger asked him to compose a musical portrait of his fiancee. The man knew exactly what he wanted: a concerto for piano and orchestra. After some reflection, Campogrande realised that he would be able to paint with music. It would never be possible, of course, to recognise the shape of the woman's face or the colour of her hair, but the score could evoke the way in which she occupied space and time, and the different movements of the composition would be like the faces on a rotating prism. Campogrande thus accepted the commission and the stranger sent him a few photos of his fiancee, spoke to him about her and, finally, introduced him to her. This is how R (A portrait for piano and orchestra) was born, first performed in April 2013 by Lilya Zilberstein with the Orchestra Verdi in Milan. Subsequently, following other performances and a TV documentary, a number of different pianists asked Campogrande to write a version for solo piano. Hence Nudo emerged, a piece that would be very similar to R , were it not for the fact that, as the title suggests, the pianist is naked, without orchestral clothing. Information on Nudo on the composer's website Audio recording of Nudo (YouTube) Un portrait musical En 2012, Nicola Campogrande s'est vu proposer une commission fort singuliere ; un parfait etranger lui demandait de composer le portrait musical de sa compagne. L'homme savait exactement ce qu'il voulait : un concert pour piano et orchestre. Apres quelques hesitations, Campogrande s'est rendu compte qu'il pouvait se servir de la musique comme d'un pinceau. Bien entendu, il ne serait jamais possible de reconnaitre la forme du visage de la femme ou la couleur de ses cheveux, mais la partition pourrait evoquer la facon dont elle se deplacait dans l'espace et dans le temps, et les differents mouvements de la piece seraient comme les figures d'un prisme en rotation. Campogrande a donc accepte la commission ; l'etranger lui a envoye des photos de sa compagne, il lui a parle d'elle, avant de les faire se rencontrer personnellement. Ainsi est ne R (Un portrait pour piano et orchestre) , interprete pour la premiere fois en avril 2013 par Lilya Zilberstein et l'orchestre Verdi de Milan. D'autres executions ont suivi, ainsi qu'un documentaire televise, apres quoi plusieurs pianistes ont prie Campogrande d'ecrire une version pour piano seul. C'est ainsi que Nudo a vu le jour : un << nu >> tres semblable au premier portrait, si ce n'est que le piano s'y trouve, comme le suggere le titre, depouille de son vetement orchestral. Ritrarre con la musica Nel 2012 Nicola Campogrande ha ricevuto la piu singolare delle commissioni, quando un perfetto sconosciuto gli ha chiesto di comporre il ritratto musicale della sUrauffuhrung fidanzata. L'uomo sapeva esattemente cio che voleva: un concerto per pianoforte e orchestra. Dopo qualche esitazione, Campogrande si e reso conto di poter dipingere con la musica; certo, non sarebbe stato possibile riconoscere la forma del viso della donna o il colore dei suoi capelli, ma la partitura avrebbe evocato il modo nel quale lei si muoveva nello spazio e nel tempo, e i vari movimenti del brano sarebbero stati come le facce di un prisma in rotazione. Campogrande ha dunque accettato la commissione e lo sconosciuto gli ha mandato alcune foto della sUrauffuhrung fidanzata, gli ha parlato di lei e, alla fine, gliela ha presentata personalmente. E cosi nato cosi R (Un ritratto per pianoforte e orchestra ), eseguito per la prima volta nell'aprile 2013 da Lilya Zilberstein insieme all'Orchestra Verdi di Milano.In seguito, dopo altre esecuzioni e un documentario tv, diversi pianisti hanno chiesto a Campogrande di preparare una versione per pianoforte solo. E stato cosi che ha preso forma Nudo , un brano del tutto simile a R tranne per il fatto che, come suggerisce il titolo, il pianista e nudo, senza un abito orchestrale. 'Nudo' is a scintillating work that paints a vivid and fascinating sequence of musical portraits of its subject. And the Breitkopf score is simply superb. (www.pianodao.com).
SKU: BT.BMP8095417
A lot is known about the American composer Leroy Anderson. This son of Swedish immigrants played the piano, organ, accordion, trombone, tuba and double bass. He spoke several languages fluently and graduated from Harvard with first-class honours.While on military service, the army also commissioned him to write a manual on Icelandic grammar.He already started writing musical arrangements as a student, and from his 30th year arranged and composed for the Boston Pops Orchestra. Such melodiesas Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride and Bugler�s Holiday made him world famous. His best-known work, Blue Tango, reached number one in the US charts in 1952, and it sold more than a million copies. In 1975, a year after hisdeath, he was given a star at the Walk of Fame in Hollywood.Most of his works last no longer than three minutes, about the maximum length of a single at that time. One work that lasts longer is his 1953 Piano Concerto in C for piano and orchestra.The first performance was in Chicago, conducted by the composer and with Eugene List at the piano. However, after three performances he was no longer happy with the work and withdrew it. He always intended to revise it, but never got round to it. Itwas only in 1989 that the Anderson family decided to republish the work.This three-part composition is on the one hand characterised by a careless elegance, but on the other one can hear the influence of Rachmaninoff, Copland, Gershwin, and evenBeethoven and Mozart, as well as the Viennese classics.Anderson used the sonata form for the first movement. It ends with a cadenza that carries us on into the second part (in e minor). The third part is a typically cheerful American folk dance in2/4 time, a so-called Hoe Down, with a lilting, lyrical passage as its middle section. At the end comes a solo passage followed by a rapid close.In this piano concerto, Anderson combines a rigidly classical form of composition with simple andappealing themes and elements from light music. So this work is a perfect synthesis of light music and what is called serious music, in the same way as Gershwin�s Rhapsody in Blue. A work that can be played equally well in a concerthall, at an open-air concert or even a pop concert.Over de Amerikaanse componist Leroy Anderson is veel bekend. Deze zoon van Zweedse immigranten speelde piano, orgel, accordeon, trombone, tuba en contrabas. Hij sprak vloeiend verschillende talen en studeerde met grote onderscheidingaf aan Harvard en schreef tijdens zijn legerdienst in opdracht van het leger een handboek grammatica Ijslands.Al in zijn studententijd begon hij met het maken van arrangementen, en vanaf zijn 30ste arrangeerde en componeerde hijvoor het Boston Pops Orchestra. Melodieën zoals Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride en Bugler's Holiday maakte hem wereldberoemd. Zijn bekendste werk Blue Tango stond in 1952 op nummer één in de VS Charts, ener werden meer dan een miljoen exemplaren van verkocht. Een jaar na zijn dood in 1975 kreeg hij een ster op de Walk of Fame in Hollywood.Zijn meeste werken duren niet langer dan drie minuten, ongeveer de maximumduur van een singletoen. Een werk dat wel langer duurt, is het pianoconcerto in C voor piano en orkest uit 1953. Het werd in Chicago gecreëerd onder zijn leiding met Eugene List aan de piano. Na drie uitvoeringen echter, was hij niet meer tevredenover zijn werk en trok dit terug. Hij had zijn leven lang de intentie het te herwerken doch kwam er niet meer toe. Pas in 1989 besliste de Anderson Familie zijn pianoconcerto toch opnieuw uit te geven.Dit driedelige werk wordtenerzijds getypeerd door een zorgeloze elegantie, maar anderzijds zijn invloeden van Rachmaninoff, Copland, Gerschwin en zelfs Beethoven en Mozart alsook de Weense klassiekers te horen.Voor de eerste beweging, past Anderson de sonatevormtoe. Op het einde volgt een cadenza die ons in het tweede deel (in mi klein) voert. Het derde deel is een typische Amerikaanse, vrolijke volksdans in 2/4, een zogenaamde Hoe Down met als middengedeelte een zangerige, lyrischeÜber den amerikanischen Komponisten Leroy Anderson lässt sich vieles berichten: Der Sohn schwedischer Immigranten spielte Klavier, Orgel, Akkordeon, Posaune, Tuba und Kontrabass, sprach neun Sprachen fließend, absolvierte mit einemMagna-cum-laude-Absc hluss die Harvard Universität und verfasste während seiner Militärzeit im Zweiten Weltkrieg für die amerikanische Armee eine Grammatik des Isländischen. Schon während seiner Studentenzeit begann er zu arrangieren, ab Mitte der30er Jahre des letzten Jahrhunderts arrangierte und komponierte er für das Boston Pops Orchestra. Aus seiner Feder stammen so bekannte Werke der leichten Muse wie Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride oder Bugler�s Holiday. Sein wohlbekanntestes Stück, Blue Tango, wurde als erste Instrumentalkomposition über eine Million Mal verkauft und belegte im Jahr 1952 Platz 1 der US-Charts. Für seine Verdienste um die Schallplattenindustrie erhielt er ein Jahr nach seinem Tod einenStern auf dem Walk of Fame in Hollywood.Charakteristisc h für seine Werke ist die Dauer: die meisten sind rund drei Minuten lang � mehr passte nicht auf den damals gebräuchlichen Tonträger, eine Singleschallplatte. Nur wenige seinerKompositionen sprengen diesen Zeitrahmen. Dazu gehört sein Konzert C-Dur für Klavier und Orchester. Er komponierte es 1953, die Uraufführung fand unter seiner Leitung und mit Eugene List am Klavier im selben Jahr in Chicago statt. Da Anderson mit demWerk aber nicht zufrieden war, zog er es im Sommer 1954, nach nur drei Aufführungen, wieder ein. Er hatte zeitlebens die Absicht, es zu überarbeiten, allein, es kam nicht mehr dazu. Erst 1989 entschied sich die Anderson-Familie dazu, dasKlavierkonzert wieder zu veröffentlichen.Das dreisätzige Werk zeigt die Unbeschwertheit und Eleganz, die Andersons sämtliche Kompositionen auszeichnen. Dennoch findet man darin auch Anklänge an Komponisten wie Rachmaninoff, Copland, Gershwin, undeben Beethoven und Mozart, sowie die Wiener Klassiker. Der erste Satz folgt der Sonatenhauptsatzform. An seinem Ende steht eine Klavierkadenz, die direkt in den langsamen zweiten Satz (in e-Moll) überleitet. Der dritte Satz schließlich ist einwaschechter Hoe Down, ein fröhlicher amerikanischer Volkstanz im 2/4-Takt, in dessen Zentrum aber eine lyrisch-gesangliche Passage steht. Eine weitere Solo-Kadenz führt das Werk in einen spritzigen Schlussabschnitt.In seinem Klavierkonzertvereinigt Anderson einen klassisch-traditionellen Form- und Kompositionsstil mit Elementen der Unterhaltungsmusik und eingängigen Melodien, die schon immer sein Markenzeichen waren. Daher bildet dieses Werk eine perfekte Synthese von ernster undleichter Musik. Es passt � wie beispielsweise auch George Gershwins Rhapsody in Blue � gleichermaßen in einen vornehmen Konzertsaal, wie auch zur zwanglos-lockeren Atmosphäre einer sommerlichen Open-Air-Veranstaltung oder einesPops-Konzertes.< br>Nous savons beaucoup de choses sur le compositeur américain Leroy Anderson. Ce fils dimmigrants suédois jouait du piano, de lorgue, de laccordéon, du trombone, du tuba et de la contrebasse. Il parlait couramment plusieurs langues et était diplômé avec grande distinction de Harvard. Pendant son service militaire, il écrivit un manuel de grammaire islandaise commandé par larmée.Étudiant, il avait déj commencé faire des arrangements et dès l ge de 30 ans, il arrangeait et composait pour le Boston Pops Orchestra. Des mélodies telles que Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride et Buglers Holiday lui valurent une renommée mondiale. Son uvre phare, Blue Tango, fut numéro un descharts américains en 1952 et se vendit plus dun million dexemplaires. Un an après sa mort en 1975, il eut droit son étoile sur le Walk of Fame Hollywood.La plupart de ses uvres nexcèdent pas trois minutes, soit peu près la durée maximale dun single lépoque. Son concerto en ut pour piano et orchestre de 1953 est quant lui plus long. Il fut créé Chicago sous sa direction avec Eugene List au piano. Après trois exécutions, Anderson nétait toutefois plus satisfait de son travail et le retira. Toute sa vie, il eut lintention de le remanier mais ne le fit pas. Ce nest quen 1989 que la famille Anderson décida de tout de m?me rééditer son concerto pour piano.Cette uvre en trois parties se caractérise par son élégance nonchalante mais aussi par linfluence de Rachmaninoff, Copland, Gershwin et m?me de Beethoven et Mozart, ainsi que des classiques viennois.Pour le premier mouvement, Anderson opte pour une sonate. la fin, une cadence nous conduit la deuxième partie (en mi mineur). La troisième partie est une danse populaire joyeuse et typiquement américaine en 2/4, une Hoe Down avec un passage lyrique et mélodieux en son milieu. la fin, un solo est suivi par une clôture rapide.Dans son concerto pour piano, Anderson unit une composition pure et classique des thèmes beaux et simples, sans oublier des éléments de la musique légère. Cette uvre.
SKU: BT.BMP8091417
SKU: BT.DHP-0971085-010
Jacob de Haan was commissioned to compose this concert piece by the St. Peters Wind Symphony from Brisbane, Australia. Ross Roy is the monumental late 19th century villa where St. Peters Lutheran College was founded in 1945. The villa has always remained the school symbol. In this composition, Jacob de Haan sees the Ross Roy as a metaphor for the years spent at school (a monument in time), where one's personality is formed. So, the opening theme the artist calls the Ross Roy theme initially has monumental characteristics.The rhythmic motion, which strides along in the lower register and percussion at the beginning of the next section is typical of Tempo di Marcia. Thismovement, accompanied by repetitions of sound, is a metaphor for the structure and discipline in school. This is the introduction to a march theme, symbolic of passing through the classes up to the final examinations.Then, the Ross Roy theme is dealt with again, now in a playful, humorous variation. As if the composer is saying there should also be time for a smile in school. The same theme can be heard in major key and a slower tempo in the following section, expressing pride and self-confidence. This is also the introduction to the expressive middle section that represents love, friendship and understanding.We then return to the march theme in a slightly altered construction. The oriental sounds, constituting the modulation to the final theme, are symbols of the diversity of cultures in the school. The characteristic final theme first sounds solemn, but turns into a festive apotheosis. It is no coincidence that the final cadence is reminiscent of the close to a traditional overture, for the school years can be considered the overture to the rest of one's life. The premiere of Ross Roy was conducted by Jacob de Haan in Brisbane, on August 22, 1997. Ross Roy is de naam van de monumentale villa in Brisbane (Australië) waar in 1945 het St. Peters Lutheran College is gesticht. In opdracht van het collegeorkest componeerde Jacob de Haan dit gevarieerde concertwerk vol metaforen.De structuur en discipline van de school horen we in de met toonherhaling gepaard gaande ritmische beweging in basregister en slagwerk. Het volgende, martiale thema staat symbool voor het doorlopen van de klassen. Een schertsende,humoristische versie van het hoofdthema ontbreekt niet: op school moet immers ook tijd zijn voor vrolijkheid. Het karakteristieke slotthema mondt uit in een feestelijke apotheose.Ross Roy ist der Name einer monumentalen Villa in Brisbane, Australien, in der 1945 das St. Peter Lutheran College gegründet wurde. Im Auftrag dieses Schulorchesters komponierte Jacob de Haan dieses Konzertwerk, das voll von Metaphern ist. Die Struktur und Disziplin dieser Schule hören wir in der mit Tonwiederholungen gepaarten rhythmischen Bewegung des Bassregisters und des Schlagwerks. Das folgende martialische Thema steht als Symbol für das Durchlaufen der Klassen bis zum Ende der Schulzeit. Eine scherzhafte, humoristische Version des Hauptthemas darf nicht fehlen, denn in der Schule muss auch Zeit für kleine Späße und Lachen sein! Das charakteristische Schlussthemamündet in einem festlichen Höhepunkt. Ross Roy est le symbole grandiose de l’excellence du compositeur. L’œuvre tient son nom de l’imposante villa éponyme située Brisbane en Australie et qui abrite en ses murs le Collège Saint Pierre, une institution luthérienne fondée en 1945. C’est pour l’Orchestre d’Harmonie de cet établissement que Jacob de Haan composa cette œuvre riche en métaphores. « J’ai tenté de décrire les valeurs de cette école. Ainsi, le thème initial se développe-t-il sur un motif rythmique imposant qui alterne entre les instruments graves et la batterie. Ce motif symbolise l’autorité et le cadre structuré de l’école. On retrouve ce thème plusieurs reprises et notamment sousune forme humoristique et espiègle : nous découvrons les bons côtés de l’école, la joie des élèves, les sentiments de fierté, d’amour et d’amitié. Autre élément thématique, une marche qui symbolise la progression des élèves dans leur cursus pour arriver leurs examens de fin d'étude. » En guise de conclusion, Jacob de Haan nous offre un thème grandiose qui s’élargit en apothéose. Commissionato dalla St. Peter’s Wind Symphony Orchestra di Brisbane, è dedicato alla monumentale villa tardo-ottocentesca dove il collegio dell’orchestra ha avuto la sua storica sede. Metafora degli anni della formazione, è caratterizzato da un finale in stile ouverture, come se gli anni della scuola rappresentassero una sorta di ouverture al resto della vita.
SKU: HL.44011072
UPC: 884088646097. 9x12 inches. English-German-French-Dut ch.
Diese Suite in c-Moll zollt einem berühmten klassischen Blaserwerk Tribut - der Ersten Suite in Es-Dur von Gustav Holst von 1909 - und erscheint zu deren 100-jahrigem Jubilaum. Die viersatzige Suite erinnert an die Stilistik von Holst, enthalt aber auch charakteristische Klangidiome sowie Strukturmerkmale von Jacob de Haan. Eine erfrischende originale Komposition, inspiriert von einem durchaus nicht angestaubten Klassiker. En 1909, Gustav Holst composa une œuvre audacieuse et novatrice, la Premiere Suite en Mib Majeur, op. 28 ndeg1 (First Suite in Eb major, Op. 28, No. 1), une suite exclusivement ecrite pour instruments a vent. A l'occasion du centenaire de cette piece, devenue un classique du repertoire pour Orchestre d'Harmonie, Jacob de Haan a compose la Memorial Suite en Ut mineur. Cette composition en quatre mouvements fait reference aux qualites stylistiques de l'œuvre de Holst, tout en s'appuyant sur le langage sonore et l'ecriture caracteristiques du style de Jacob de Haan. Le resultat est original.Comme Gustav Holst, Jacob de Haan a choisi d'ouvrir sasuite avec une chaconne, une forme de variation contrapuntique (a l'origine une danse espagnole a trois temps) dans laquelle un theme revient de facon recurrente accompagne a chaque fois par un nouveau contre-chant. Ce theme ostinato est utilise de differentes manieres tout au long des quatre mouvements, assurant ainsi l'unite de l'œuvre. Le second mouvement est un scherzo. Par sa progression et son caractere, il s'apparente a l'intermezzo central de la suite de Holst. Le troisieme mouvement, Song Without Words (Chanson sans paroles), porte le meme titre que le second mouvement de la Deuxieme Suite en Fa, op. 28 ndeg 2 (Second Suite in F, Op. 28, No. 1) composee par Holst en 1911. A mi-chemin de ce mouvement tres expressif apparait un solo de saxophone alto. Jacob de Haan conclut son œuvre par une Marche comme le fit jadis Gustav Holst.
SKU: BT.DHP-1125039-140
Offenbach (1819 - 1880), who was born in Germany, moved to Paris when he was a teenage boy and remained there for much of his life. He became especially famous as a composer of numerous operettas. and of one famous opera: Les Contes d’Hoffmann (The Tales of Hoffmann). His operettas (or ‘musiquettes’) were often based on comical, or satirical librettos. He makes fun of Parisian daily life, dignitaries, the military, the pretentiousness of the Grand Opéra, and so on. In that respect, Offenbach’s operettas are not really comparable with those of his German-speaking contemporaries, for example, Franz Lehár and Johann Strauss the Younger. Musically speaking, we could callOffenbach’s operettas lively, funny, melodious and catchy.For La Belle Hélène, Offenbach drew from Greek mythology. The story is based on that of Helen of Troy, but is set in France, halfway through the 19th century; it has been turned into a satire on the élite of that time.The overture to La Belle Hélène was (and still is) very successful. Offenbach combined a number of arias and choruses from the operetta to give a taste of what is to follow. Many overtures which follow this form lack unity and structure. However, in this case the composition has been well thought-out. Offenbach (1819-1880), Duitser van geboorte, verhuisde als jongeman naar Parijs, waar hij een groot deel van zijn leven verbleef. Hij werd vooral beroemd als componist van talrijke operettes en een beroemde opera: Les Contes d’Hoffmann. Zijn operettes (of ‘musiquettes’) zijn qua libretto vaak komisch en hilarisch, ja zelfs satirisch. Hij steekt hierin de draak met het Parijse mondaine leven, met hoogwaardigheidsbekleders , met militairen, met de bombast van de Grand Opéra, enzovoort. In dat opzicht zijn Offenbachs operettes nauwelijks te vergelijken met die in Duitsland van bijvoorbeeld Franz Lehár en Johann Strauss jr. Muzikaal gezien kunnen we zijn operettes levendig,geestig, melodieus en goed in het gehoor liggend noemen.Voor La Belle Hélène putte Offenbach uit de Griekse mythologie. Het verhaal draait om Helena van Troje, maar is verplaatst naar Frankrijk, halverwege de negentiende eeuw; het is uitgewerkt tot een satire op de heersende elite.De ouverture van La Belle Hélène was (en is nog altijd) zeer succesvol. Offenbach heeft hierin een aantal aria’s en koren uit de operette samengevoegd - een voorproefje dus op wat komen gaat. Veel ouvertures die zo zijn gemaakt, missen eenheid en structuur. In dit geval is er echter sprake van een goed doordachte opbouw. Der gebürtige Deutsche Jacques Offenbach (1819-1880) zog im Jugendalter nach Paris, wo er den größten Teil seines Lebens verbrachte. Bekannt wurde er vor allem als Komponist zahlreicher Operetten und einer berühmten Oper: Les Contes d’Hoffmann (Hoffmanns Erzählungen). Seine Operetten (oder Musiquettes“) basierte er häufig auf komischen oder gar satirischen Libretti. Darin wird das mondäne Pariser Leben karikiert mit seinen Würdenträgern, Militärs, dem Pomp der Grand Opéra und dergleichen mehr. In dieser Hinsicht sind Offenbachs Operetten vergleichbar mit den deutschen Werken eines Franz Lehár oder Johann Strauss (Sohn). Musikalisch betrachtet können Offenbachs Operetten alslebendig, amüsant, melodiös und eingängig beschrieben werden. Für La Belle Hélène bediente sich Offenbach der griechischen Mythologie. Die Handlung beruht auf Helena von Troja, wurde aber ins Frankreich der Mitte des 19. Jahrhunderts versetzt und in eine Satire auf die damals herrschende Elite verwandelt.Die Ouvertüre von La Belle Hélène war und ist sehr erfolgreich. Offenbach kombinierte darin eine Reihe von Arien und Chorstellen aus der Operette und lieferte so quasi einen Vorgeschmack auf das Folgende. Vielen auf diese Weise entstandene Ouvertüren mangelt es an Einheitlichkeit und Struktur. Diese Ouvertüre zeugt jedoch von einem gut durchdachten Aufbau. Jacques Offenbach est né en Allemagne en 1819. Sa famille s’installe Paris alors qu’il est encore adolescent et c’est l qu’il passe la plus grande partie de sa vie. Il devient particulièrement célèbre pour la composition de nombreuses opérettes et d’un opéra légendaire, Les Contes d’Hoffmann. Ses opéras-bouffes (ou « musiquettes ») s’inspirent souvent de livrets comiques ou satiriques. Il parodie la vie quotidienne Paris, se moque des dignitaires, de l’armée, de la prétention du grand opéra, et ainsi de suite. cet égard, les œuvres d’Offenbach ne sont pas vraiment comparables aux opérettes de ses contemporains germanophones tels que Franz Lehár ou encoreJohann Strauss le jeune. Musicalement parlant, on peut dire que les opéras-bouffes d’Offenbach sont entraînants, spirituels, mélodieux et mémorables.Jacques Offenbach s’est inspiré de la mythologie pour composer La Belle Hélène, dont le livret brosse l’histoire d’Hélène de Troie. Mais parodiant l’une des légendes grecques des plus illustres, cette opérette se veut être une satire sur l’élite de l’époque.L’ouverture de La Belle Hélène a toujours été très populaire. Offenbach y glisse plusieurs arias et chœurs repris ensuite dans l’un ou l’autre acte de l’opérette, afin d’en offrir un avant-go t l’auditoire. De nombreux compositeurs écrivirent par la suite des ouvertures de canevas identique. Bien qu’un grand nombre d’entre elles manquent d’unité et de structure, l’ouverture de La Belle Hélène en est une exception notoire.