| CLAVIER ELECTRONIQUE SANS
PROF En Français
Les claviers électroniques comptent parmi les instruments les plus passionnants...(+)
Les claviers électroniques comptent parmi les instruments les plus passionnants et les plus polyvalents qui soient. A vous qui désirez en jouer, ce livre propose une méthode d'apprentissage aussi facile que stimulante. Vous pourrez interpréter des mélodies populaires après quelques minutes seulement, même si vous n'avez jamais touché à un instrument de musique. Rock, pop, classique ou jazz, vous explorerez tous les genres, à travers un répertoire d'une trentaine de morceaux. Vous progresserez à votre propre rythme en profitant des nombreux conseils et trucs de métier qui vous sont donnés par un musicien professionnel. Grâce à ce livre, vous découvrirez le plaisir de faire de la musique avec ce véritable orchestre de sons et de rythmes que le clavier met au bout de vos doigts.
19.90 EUR - vendu par Amazon | |
| Clavier Jazz Debutant
(ROUX DENIS / JAN T) En Français Clavier ou Orgue Electronique [Partition + CD] Coup de Pouce
Par ROUX DENIS / JAN T.. Piano, Orgue, Clavier portable. Pour débuter le jazz Ã...(+)
Par ROUX DENIS / JAN T.. Piano, Orgue, Clavier portable. Pour débuter le jazz à des clavier dans de bonnes conditions. Sans pour autant remplacer le professeur qualifié, cette méthode a pour mais de vous initier jazz d'UA à l'aide de morceaux divers (boogie woogie, blues, bossa nova, ragtime, etc.). Elle s'adresa fois aux débutants et aux musiciens un peu plus expérimentés voulant se Free. Guidés par le CD, vous étudierez dans le détail chaque morceau de cette méthode. / Pédagogie / Méthode / Clavier ou Orgue Electronique
27.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Cantate Egale Pays #2 -
God's Grandeur
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
God's Grandeur
Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des 'ciels acoustiques', sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui 'entame' l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
37.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Cantate Egale Pays #1 -
Jachère Aidant
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Jachère aidant
La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au 'clavier de sensations' dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
52.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Cantate Egale Pays #3 -
Gd Mmré (PESSON
GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Gd Mmré
La troisième cantate, qui utilise le tutti des instruments et des voix, est sur un texte d'Elena Andreyev (poète et par ailleurs musicienne), Gd Mmré, dont j'ai réalisé, avec son accord et son aide, un découpage. C'est un théâtre choral où la voix parlée, chantonnée (les comédiens Valérie Blanchon et Christophe Brault), donne une dimension dramatique à ce texte convoquant tant d'images, toujours sous la forme d'une introspection ardente, d'un traveling intense, parfois ironique, distancé, souvent questionneur. L'électronique feuillette ici la polyphonie des voix et des paroles - elle dispose les décors nombreux appelés par le texte, qui sont des doublures en plis vifs et cassés, elle ouvre des pistes, qui sont parfois des leurres. L'électronique est la maladresse des mots, sa fragilité digitale. Elle rêve tous les timbres qu'elle synthétise ou qu'elle commente de façon moqueuse, elle 'échantillonne' les résidus de la parole et du souffle, elle s'instille en échos menaçants. L'électronique est le pied de côté, la rime subsidiaire, le sous-titrage asynchrone de ce Grand Murmuré.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
43.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.1 - Jachere
Aidant - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T / B / fl / cl / clav / perc / vl / vla / vlc / electr. Durée : 20' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Mathieu Nuss (1980) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988698 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. Jachère aidant La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au clavier de sensations dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant. Gérard Pesson
52.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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| Wellerman - Intermédiaire De Haske Publications
Recorder Quartet and Accompaniment [opt.] - late intermediate SKU: BT.DHP-121...(+)
Recorder Quartet and
Accompaniment [opt.] -
late intermediate SKU:
BT.DHP-1216356-070
Soon May The Wellerman
Come. Arranged by
Ralf Bienioschek. De
Haske Recorder Series.
Folk Music. Set (Score &
Parts). Composed 2021. De
Haske Publications #DHP
1216356-070. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1216356-070).
ISBN 9789043162210.
English-German-French-Dut
ch. This old New
Zealand folk song, made
popular worldwide by the
Scottish singer Nathan
Evans in 2021, is sure to
put you in a good mood.
This arrangement was made
by the renowned German
recorder soloist and
teacher Ralf Bienioschek
for his special
‘Ralf Bienioschek
Signature Edition’
series. The arrangement
is for a standard quartet
of Soprano, Alto, Tenor
and Bass Recorder, with
additional parts provided
for Great Bass Recorder
or Sub Bass (Contrabass)
Recorder. Optional parts
for
Melodica/Accordion/Keys,
(Electric) Guitar,
(Electric) Bass,
(Electronic) Drum Set,
Cajon and a playback
(available via our
website
www.bandmusicshop.com)
are also included. You
can find a Score Play
demo and a How to Play
video on our YouTube
channel Hal Leonard
Europe Ensemble. There
are several ways to play
the song. In principle,
many options are
conceivable, e.g. -
standard Recorder Quartet
(expandable to quintet)
with (or without) the
Playback - with a band:
Melodica/Accordion/Keys,
E-Guitar, E-Bass,
(E)-Drum Set - with an
acoustic band:
Melodica/Accordion,
Western Guitar, Acoustic
Bass, Cajon - or just the
Melody part with (or
without) the Playback.
Have fun with the song
and enjoy!
Dit
oude Nieuw-Zeelandse
volkslied werd in 2021
over de hele wereld
bekend in de versie van
de Schotse zanger Nathan
Evans. Je krijgt er
gegarandeerd een goed
humeur van! Dit
arrangement werd
geschreven door de
gerenommeerde Duitse
fluitsolist en -docent
Ralf Bienioschek,
speciaal voor zijn serie
Ralf Bienioschek
Signature Edition.
Het arrangement is
geschreven voor een
standaardkwartet van
sopraan-, alt-, tenor- en
basblokfluit, met
aanvullende partijen voor
grootbasblokfluit en
contrabasblokfluit. Er
worden ook optionele
partijen voor
melodica/accordeon/keyboa
rd, (elektrische) gitaar,
(elektrische) basgitaar,
(elektronisch) drumstel,
cajon en een
playbackversie
(beschikbaar op onze
website
www.bandmusicshop.com)
meegeleverd. Op ons
YouTube-kanaal Hal
Leonard Europe Ensemble
zijn een demo met
partituur en een How to
play video te vinden. Er
zijn verschillende
bezettingen mogelijk om
de song te spelen,
bijvoorbeeld - standaard
blokfluitkwartet (uit te
breiden tot kwintet) met
(of zonder) de
playbackversie: - met een
band: (e)-gitaar,
baskeyboard/ e-basgitaar,
(e)-drumset, cowbell -
met een akoestische band:
melodica/accordeon,
westerngitaar,
akoestische bas, cajon -
of alleen de
melodiepartij met (of
zonder) de
playbackversie. Heel veel
speelplezier
gewenst!
Dieses
alte neuseeländische
Volkslied, das 2021 durch
den schottischen Sänger
Nathan Evans weltweit
bekannt wurde, sorgt mit
Sicherheit für gute
Laune. Der renommierte
deutsche Blockflötist
und Lehrer Ralf
Bienioschek hat dieses
Arrangement für seine
Serie Ralf Bienioschek
Signature Edition“
erstellt. Das Arrangement
ist für ein
Standardquartett mit
Sopran-, Alt-, Tenor- und
Bassblockflöte gedacht,
mit zusätzlichen Stimmen
für Großbassblockflöte
oder Subbassblockflöte.
Optionale Stimmen für
Melodica/Akkordeon/Keyboa
rd, (E-)Gitarre,
(E-)Bass,
(elektronisches) Drumset,
Cajón und ein Play-back
(verfügbar auf unserer
Website
www.bandmusicshop.com)
sind ebenfalls enthalten.
Auf unserem YouTube-Kanal
Hal Leonard Europe
Ensemble finden Sie auch
ein Score Play Demo“
(Partitur mit
Probeaufnahme) und ein
How to Play“-Video
(Erklärvideo zu dem
Arrangement). Es gibt
unterschiedliche
Besetzungsmöglichkeiten,
um den Song zu spielen,
z. B. - Standard
Blockflötenquartett
(erweiterbar zum
Quintett) mit (oder ohne)
Play-back - mit einer
Band:
Melodica/Akkordeon/Keyboa
rd, E-Gitarre, E-Bass,
(E)-Drumset - mit einer
Akustikband:
Melodica/Akkordeon,
Westerngitarre,
Akustikbass/Kontrabass,
Cajón - oder einfach nur
die Melodiestimme mit
(oder ohne) Play-back.
Viel Spaß beim
Musizieren!
Cette
vieille chanson populaire
néo-zélandaise, qui a
recueilli un succès
mondial en 2021 gr ce au
chanteur écossais Nathan
Evans, ne manquera pas de
vous mettre de bonne
humeur. Le présent
arrangement a été
réalisé par Ralf
Bienioschek, célèbre
soliste et professeur de
fl te bec, pour sa série
« Ralf Bienioschek
Signature Edition ».
Il est destiné un
quatuor standard de Fl
tes Soprano, Alto, Ténor
et Grande Basse, des
parties supplémentaires
étant fournies pour Fl
tes Basse et Soubasse.
Des parties optionnelles
pour
Mélodica/Accordéon/Clav
ier, Guitare
(Électrique), Basse
(Électrique), Batterie
(Électronique) et Cajón
sont également incluses,
ainsi qu’un play-back
(tous disponibles sur
notre site web
www.bandmusicshop.com).
Vous trouverez aussi une
démo Score Play et une
vidéo « How to Play »
sur notre chaîne YouTube
Hal Leonard Europe
Ensemble. Cette pièce
peut être interprétée
de différentes
manières. En principe,
de nombreuses options
s’offrent vous, par
exemple : - quatuor de fl
tes bec standard
(possibilité de
quintette) avec (ou sans)
le play-back.- avec un
groupe amplifié:
Mélodica/Accordéon/Clav
ier, Guitare et Basse
Électriques, Batterie
(Électronique). - avec
un groupe acoustique:
Mélodica/Accordéon,
Guitare Western, Basse
Acoustique, Cajón. - Ou
simplement la mélodie
avec (ou sans) le
play-back. J’espère
que vous prendrez plaisir
jouer cet
arrangement! $24.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Watermelon Sugar Ensemble De Flûte à bec - Intermédiaire De Haske Publications
Recorder Ensemble, Piano Acc., Guitar, Percussion - intermediate SKU: BT.DHP-...(+)
Recorder Ensemble, Piano
Acc., Guitar, Percussion
- intermediate SKU:
BT.DHP-1216339-070
Arranged by Ralf
Bienioschek. De Haske
Recorder Series. Pop and
Rock. Set (Score and
Parts). Composed 2021. De
Haske Publications #DHP
1216339-070. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1216339-070).
ISBN 9789043161039.
English-German-French-Dut
ch. Harry Styles'
Watermelon Sugar
was a summer hit in 2020
and proved to be a fun
song to groove to! This
arrangement was made by
the renowned German
recorder soloist and
teacher Ralf Bienioschek
for his special Ralf
Bienioschek Signature
Editionâ?? series. The
arrangement is for a
standard quartet of
Soprano, Alto, Tenor and
Great Bass Recorder, with
additional parts provided
Bass Recorder and Sub
Bass (Contrabass)
Recorder. Optional parts
for (Electric) Piano,
(Electric) Guitar,
Western Guitar, Electric
Bass Guitar, (Electric)
Drum Set, Cajon/Shaker,
Cowbell and a playback
(available on our website
www.bandmusicshop.com)
are also included. You
can also find a Score
Play demo and a How to
play video on our YouTube
channel Hal Leonard
Europe Ensemble. There
are several ways to play
the song. In principle,
many options are
conceivable, e.g. - with
a band: (E)-Piano,
(E)-Guitar, Western
Guitar, E-Bass Guitar,
(E)-Drum Set, Cowbell -
with an acoustic band:
Western Guitar, E-Bass
Guitar, Cajon/Shaker,
Cowbell - or just with
the Recorders, a Western
Guitar and with (or
without) the playback.
Have fun with it!
Watermelon
Sugar van Harry
Styles, een groovy song
waar het plezier van
afstraalt, was in 2020
een grote zomerhit. Dit
arrangement werd
geschreven door de
gerenommeerde Duitse
blokfluitsolist en
-docent Ralf Bienioschek,
speciaal voor zijn serie
Ralf Bienioschek
Signature Edition. Het
arrangement is geschreven
voor een standaardkwartet
van sopraan-, alt-,
tenor- en
grootbasblokfluit, met
aanvullende partijen voor
basblokfluit en
contrabasblokfluit. Er
worden ook optionele
partijen voor
(elektrische) piano,
(elektrische) gitaar,
westerngitaar,
elektrische basgitaar,
(elektrische) drumset,
cajon/shaker, cowbell en
een playbackversie
(beschikbaar op onze
website
www.bandmusicshop.com)
meegeleverd. Op ons
YouTube-kanaal Hal
Leonard Europe Ensemble
zijn een demo met
partituur en een How to
play-video te vinden. Er
zijn verschillende
opzetten mogelijk om de
song te spelen,
bijvoorbeeld - met een
band: (e)-piano,
(e)-gitaar,
westerngitaar,
e-basgitaar, (e)-drumset,
cowbell - met een
akoestische band:
westerngitaar,
e-basgitaar,
cajon/shaker, cowbell -
of met alleen de
blokfluiten, een
westerngitaar en met (of
zonder) de
playbackversie. Heel veel
plezier!
Harry
Styles' Song
Watermelon Sugar
war 2020 ein Sommerhit
und es macht einfach
SpaÃ?, den Song zu
spielen. Der renommierte
deutsche Blockflötist
und Lehrer Ralf
Bienioschek hat dieses
Arrangement für seine
Serie Ralf Bienioschek
Signature Editionâ??
erstellt. Das Arrangement
ist für ein
Standardquartett mit
Sopran-, Alt-, Tenor- und
Gro�bassblockflöte
gedacht, mit
zusätzlichen Stimmen
für Bassblockflöte und
Subbassblockflöte.
Optionale Stimmen für
(elektronisches) Klavier,
(elektrische) Gitarre,
Westerngitarre, E-Bass,
(elektronisches) Drumset,
Cajón/Shaker, Cowbell
und ein Play-back
(verfügbar auf unserer
Website
www.bandmusicshop.com)
sind ebenfalls enthalten.
Auf unserem YouTube-Kanal
Hal Leonard Europe
Ensemble finden Sie auch
ein Score Play Demoâ??
(Partitur mit
Probeaufnahme) und ein
How to playâ??-Video
(Erklärvideo zu dem
Arrangement). Es gibt
unterschiedliche
Besetzungsmöglichkeiten,
um den Song zu spielen,
z. B.: - mit einer Band:
(E-)Piano, (E-)Gitarre,
Westerngitarre, E-Bass,
(E-)Drumset, Cowbell -
mit einer Akustikband:
Westerngitarre, E-Bass,
Cajón/Shaker, Cowbell -
oder einfach nur mit
Blockflöten, einer
Westerngitarre und mit
(oder ohne) Play-back
Viel SpaÃ? beim
Musizieren!
Watermelon
Sugar, la chanson de
Harry Styles, est un tube
de lâ??été 2020 et son
rythme funky est
irrésistible. Cet
arrangement a été
réalisé par Ralf
Bienioschek, un célèbre
soliste et professeur de
fl te bec allemand, pour
sa série « Ralf
Bienioschek Signature
Edition ».
Lâ??arrangement est
destiné un quatuor
standard comprenant
soprano, alto, ténor et
grande-basse, avec des
parties supplémentaires
fournies pour basse et
soubasse (contrebasse).
Le présent ouvrage
comprend des parties
optionnelles pour piano
(électrique), guitare
(électrique), guitare
western, basse
électrique, batterie
(électronique),
cajon/shaker, cloche et
un play-back (tous
disponibles sur notre
site web
www.bandmusicshop.com).
Vous trouverez aussi une
démo Score Play et une
vidéo « Comment jouer
» sur notre chaîne
YouTube Hal Leonard
Europe Ensemble. Cette
pièce peut être
interprétée de
différentes manières.
En principe, de
nombreuses options
sâ??offrent vous, par
exemple : - avec un
groupe amplifié:
clavier, guitare et basse
électriques, guitare
western, batterie
électronique, cloche -
avec un groupe
acoustique: guitare
western, basse
électrique,
cajon/shaker, cloche - ou
simplement fl tes bec et
guitare western avec ou
sans le play-back.
Jâ??espère que vous
prendrez plaisir jouer
cet arrangement ! $24.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
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